Le 18 Octobre Y&T sera en concert à la salle l’Empreinte

Légendes du Hard Rock traditionnel depuis 1974, les musiciens sont décidés à vous faire passer une très bonne soirée en leur compagnie.

Adresse de la salle: L’EMPREINTE   301 AVENUE DE L’EUROPE   77547 SAVIGNY LE TEMPLE CEDEX

Le 11 Octobre L.A Guns sera présent à la salle Le Forum.

Groupe mythique de glam jouant  depuis 1982 et ayant toujours autant de pêche.

Adresse de la salle: LE FORUM  Boulevard de L’Oise  95490 VAUREAL

Note du Soilchroniqueur (Nickox) : 07/10

Ayant connu Scar Symmetry totalement par hasard avec deux albums qui m’avaient à l’époque bien plu (« Symmetric in Design » de 2005 et « Pitchblack Progress » de 2006), c’est avec une certaine joie que je m’attaquais à la cinquième galette de nos productifs suédois. Allaient-ils réussir à me surprendre avec leur death metal mélodique ??

Note Du Soilchroniqueur (MetalPsychoKiller) : 06 / 10

Old Silver Key, pour faire dans les présentations, est le dernier bébé né du fertile cerveau de Ronan Sayenko du groupe ukrainien Drudkh. Le gars est un hyper actif, et si le combo enchaine les opus comme des lettres à la poste, la cadence n’est point encore suffisante pour le sieur. Qu’à cela ne tienne, exit le Black Metal nappé Pagan des racines, et notre bourreau de travail décide d’explorer de nouveaux horizons musicaux. Après le « Handful Of Stars » en 2010, le nouveau projet prendra forme avec Neige, le chanteur français d’Alcest.

WishBone Ash revient en France pour un concert Unique le 05/10/2011

La bande menée par le mythique Andy Powell vient nous faire vibrer sur les innombrables classiques du groupe existant depuis maintenant plus de quarante ans…

Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 08/10

Plus la peine, depuis le temps que Jørn Lande officie dans le milieu métallique, de présenter ce chanteur : véritable chaînon manquant entre Ronnie James Dio, sa principale influence assumée, est David Coverdale.
Non, ce personnage haut en couleurs, que l’on a parfois injustement taxé de plagiaire et auquel bon nombre a fait un véritable mauvais procès d’intention lors de la sortie de son album hommage « Dio », consacré à un Ronnie James encore bien vivant lors de l’enregistrement de ce tribute, est devenu une référence dans son domaine tellement il est un vocaliste d’exception.
Il faut dire que le bonhomme fait tout pour qu’on ne l’oublie pas : pour preuve le nombre incalculable de groupes, projets et autres apparitions live divers et variés.

Note du Soilchroniqueur (MetalPsychoKiller) : 09 / 1O

En cette période précédant la sortie du nouvel opus de la référence mondiale en matière de Metal Progressif, les illustres inconnus de Dream Theater, vous entretenir d’un album sorti maintenant depuis plus d’un trimestre pourrait tenir de la gageure. Quand les amateurs de ce sous style de notre planète musicale sont focalisés sur la nouvelle réalisation à venir de leurs idoles, s’essayer à leur expliciter qu’il peut exister autre chose loin de l’éclat, la notoriété et la luxure… parait vouer à l’échec. Une croisade sans templiers, une quête sans Graal, un Don Quichotte sans moulins ! Mais il n’empêche que souvent, le passionné et découvreur de richesses et talents insoupçonnés ne peut garder le silence quant à sa trouvaille incroyable. L’envie de montrer et vanter sa somptueuse « pépite » est la plus forte, et ce, quels que soient les risques ou l’inflexibilité de la « Vox Populi » quant à laisser un illustre inconnu se permettre de contester l’ordre établi.

Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 07/10

Fondé en 2003, le quintette ricain de Skeletonwitch en est aujourd’hui à son quatrième album après ceux sortis en 2004 (« At one with the shadows »), 2007 (l’excellent « Beyond the permafrost ») et 2009 (« Breathing the fire »).
« Forever abomination », produit par Matt Hyde (Slayer, Hatebreed, Machine Head…) se veut être un excellent album de onze titres pour seulement 33 minutes, c’est dire si les morceaux attaquent directement à l’essentiel : tous les titres oscillent entre 2mn10 et 4mn et ne laissent place à aucun remplissage inutile ni redondance, du moins lorsqu’on écoute chaque titre séparément.

Note du Soilchroniqueur (Fredo) : 08/10

On ne va pas y aller par cinquante chemins : cet album de King Kobra est captivant. Mais comme beaucoup de combos composant l’écurie Frontiers, ce nom risque de ne rien susciter chez les plus jeunes, il est un peu notre devoir à nous, les « anciens », de les motiver pour aller plus loin que cette vilaine pochette. Alors, pour leur donner envie de ressentir comme moi le grand frisson, il va falloir qu’on ouvre ensemble une page dans la grande histoire du Rock.