Ça fait depuis « Shadows of the Sun » que je m’intéresse à Ulver. Faut dire que la pochette, à la fois magnifique et mystérieuse, de cet album a de quoi attirer. Mais bizarrement, je n’avais jamais franchi le pas pour m’y mettre réellement. Je sais pas pourquoi. Ulver était un groupe que je suivais de loin, mais sur lequel je n’avais pas encore posé d’oreille. En tous cas, le mal est réparé, puisque c’est « Childhood’s Ends » que je chronique aujourd’hui, dernier album en date du groupe. Et c’est un album plutôt spécial que les Norvégiens nous présentent ici, puisqu’il est entièrement constitué de reprises.
Comment ? Ulver avec toute une série d’excellents albums se seraient-ils perdus dans la facilité du banal album de reprises ? Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Tremens) : 8/10
Le premier album d’un groupe dont l’Histoire saura se souvenir est souvent insufflé d’une aura particulière. Rarement le meilleur de la discographie, il est un joyau brut que les albums subséquents aident à façonner, polir, transformer. En rétrospective, on réécoute parfois ces premiers essais avec plaisir, entendant en eux les balbutiements d’une intention artistique qui s’est peaufinée par la suite, un cri viscéral débordant de sincérité que les efforts ultérieurs ont étouffé, ou encore une maladroite tentative imputable à l’inexpérience et à la quête de réelle vision musicale.
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Joey l’avais promis, Manowar se met maintenant aussi au jeux vidéos en s’alliant avec Hi-Rez Studio pour un SMITE
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Comment décrire la musique de Hellwell ?
Imaginons Manilla Road sous un côté plus obscur, plus occulte… sensation renforcée par le côté plus doom et surtout cet orgue omniprésent donnant un côté plus solennel à l’ambiance générale de ce « Beyond the boundaries of sin », premier album du trio.
Avec un son très Industrial Metal, ils ont été comparés à de grands groupes tels que Ministry, Front Line Assembly ou White Zombie, mais principalement à des groupe Black Metal comme Dimmu Borgir, Septic Flesh, Behemoth et Moonspell. Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 9/10
Est-il encore possible d’avoir de nos jours des artistes capables de réaliser des chansons aussi accrocheuses, qui nous procurent les mêmes sensations que celles que l’on avait à l’écoute des Black Sabbath ou Deep Purple? Il faut quand même dire que, jusqu’en 1985, les groupes jouaient leur propre musique, ne copiaient personne, se dépassaient à chaque nouvelle parution, repoussant à chaque fois les limites du Bon Hard Rock…
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Et, à dire le vrai, ceux qui apprécient le Power-Metal bien joué et bien interprété seront servis ! Lire l'article
Le dernier jour du Hellfest 2012 avec Son, Gwenn, Celtikwar et Fredo.
Photos : Gwenn.
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Avec la sortie de l’excellent To Nowhere and Beyond, qui deviendra surement la référence du progressif français, comment résister à interroger les artistes qui nous ont fait une si belle oeuvre.
L’entretient a été réalisé par mail.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 7/10
C’est en 1983, que Venom sort ce titre sur un EP du même nom.
22 années plus tard, un trio suédois se sert de ce titre pour fonder son groupe, véritable hommage au trio de Newcastle et ça s’en ressent considérablement dans sa musique.
