Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 5,5/10

Slave Machine est une jeune formation qui a réussit en à peine deux années d’existence à sortir son premier opus « [Disconnected] » en partenariat avec Dooweet et Replica. Ce groupe parisien de Metal Industriel se veut comme une formation montante du style.

Pour le dernier concert de l’année de votre serviteur, autant le faire dans un endroit sympathique avec des groupes dont la générosité n’a d’égal que le talent…

Lordi annonce un nouvel album dans ces voeux pour 2014.

Vous habitez l’Ouest de la France et ne savez pas encore ou vous réunir avec vos copains pour souhaiter la bonne année?

Le Samedi 18 Janvier Tankred et Del Rio font un tour par St Nazaire.

Note du Soilchroniqueur (Arno):7.5/10

Hormis le fait que je ne savais pas que Paris était une zone marécageuse, si aujourd’hui Down jouait du Black Metal, il s’appelleraitGlorior Belli. C’est certes un peu réducteur et ne rend pas totalement justice à l’originalité de cette formation mais c’est le sentiment premier qui m’envahit lorsque j’en écoute.

Note du Soilchroniqueur (Arno):7/10

Si vous n’aimez pas les trucs qui sortent de l’ordinaire en cassant les codes routiniers des musiques institutionnelles, inutile de poursuivre davantage : Angst Skvadron(à vos souhaits) n’est pas pour vous.
Pour ceux qui connaissent le parcours de T. Nefas (décédé en 2012) au sein d’Urgehal et qui espèrent trouver la même chose dans ce projet parallèle, passez également votre chemin.

Dooweet Records annonce la signature d’un nouveau groupe MUR

Note du Soilchroniqueur (Arno):8/10

Zurück In Die Unterwelt débute comme du Opeth : c’est tragiquement beau et l’on sent l’émotion d’Angmar à fleur de peau. Mais la comparaison s’arrête là car sitôt passés les premiers accords, le trio français nous emmène pour plus d’une heure de promenade sur les territoires d’un Black Metal mélancolique où sensibilité et raffinement ne sont heureusement pas synonymes de mièvrerie sirupeuse.

Note du Soilchroniqueur (Arno): 8/0

Angantyr, c’est un homme seul face à son inspiration. Ynleborgaz s’exprime à travers le Viking Black Metal mais, heureusement, point ici de joyeuses ripailles, de chants entonnés dans une taverne de nains ivres ou d’instruments traditionnels. Hormis l’introduction envoûtante des nobles cordes de « Et Varsel Om Død », c’est bien l’aspect formel du Black Metal qui l’emporte dans Hævn, le folklore viking se situant plutôt au niveau du propos, de l’idéologie ou encore de l’iconographie.

Note du Soilchroniqueur (Arno): 9/10

Depuis le début de sa carrière, Temple Of Baal a tout pour s’imposer : une forme irréprochable (logo, artwork, esthétique, discours intelligent), l’on appréciera à ce titre le retour du logo originel qui avait disparu de Lightslaying Rituals, accompagnée d’un fond musical qui justifie amplement leur excellente réputation. Pour ce qui est de Verses Of Fire, je n’ai aucun doute quant au fait que cet album assoira définitivement les Parisiens sur le trône du Metal extrême français, ou leur permettra tout du moins de conforter leur place sur le podium des formations qui comptent.