Note du SoilChroniqueur (Olive Yeah) : 9/10
Le moins que l’on puisse dire c’est que le nouvel album d’Alcest va faire couler beaucoup d’encre et à n’en pas douter cette encre sera parfois plutôt acide.
Pourtant en prenant le temps de bien analyser le parcours du groupe, il y a une certaine logique et une légitimité dans l’évolution artistique entreprise par Neige.
Depuis « Souvenirs d’un autre monde », petit à petit le groupe a évolué en semant des indices sur les évolutions qui l’ont mené là où il en est actuellement.
Tout comme Anathema l’a fait avant lui, Alcest a quitté la sphère métallique pour à présent officier dans un style dans lequel les guitares saturées ne sont plus reines.
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):6,5/10
Le Sludge Metal, voilà un style bien vaste. Un espèce de fourre tout où on y met les groupes que l’on n’arrive pas à définir… Une base de Metal mais loin quand même du Heavy, un côté brouillon et agressif presque Punk, un chant souvent lourd mais on est pas encore dans le Hardcore non plus… Le Sludge est peu être le chaînon manquant de l’évolution du Metal vers les trucs en Core… On y retrouve, pour n’en citer que quelques-uns, les groupes Down, Crowbar et Kingdom Of Sorrow, voilà de quoi vous faire une idée.
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Voici quelques info sur le Fest belge qui tous les ans gagne en notoriété.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Plus black que death ?
Plus death que black ?
Quelle est la dominante ?
On s’en fout, non ?
Toujours est-il que ces quatre parisiens nous assène d’un deuxième album après « 1916 » (2009) pour le moins réussi : il regorge à lui tout seul d’à peu près tout ce que j’aime dans le metal extrême.
Un petit changement de line up avec l’arrivée en 2011 de Nesh (Nydvind) prenant la place d’un A.S.A ne se consacrant désormais plus qu’au chant suite au départ la même année de Derleth, Arkyon prenant pour l’album le poste de batteur et Siegfried (Valland) celui de bassiste.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Ah, le Poitou-Charentes, à l’évocation de cette belle région, le hard rock n’est pas la première chose à laquelle on pense, loin de là.
On penserait à la truffe, au boudin noir ou au chabichou… Mais à Châtellerault, on a aussi un petit groupe de hard rock bien énergique du nom de Heaven’s Colt !
Formé en 2006, ce groupe compte à son actif pas moins de 300 concerts un peu partout en France et à l’étranger, un album de 10 titres en 2009 (« Rien à foutre », autoproduit) et cet EP « Labour du vice » sorti en octobre 2013.
En six titres, Heaven’s Colt arrive à nous coller une patate incroyable : le chaînon manquant entre ZZTop et AC/DC est désormais made in France.
Andi Deris & The Bad Bankers – Million dollar haircuts on ten cent heads ...
par Metalfreak
Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 7/10
Tiens, un OVNI !
A savoir un album solo du vocaliste d’Helloween. Bon ce n’est pas complètement farfelu non plus, Andi Deris – c’est de lui qu’il s’agit, au cas ou vous débarqueriez de la planète Mars ! – en avait déjà commis deux par le passé (« Come in from the Rain » et « Done by Mirrors« ) d’assez inégale valeur il faut bien dire. Pour l’accompagner, le chanteur n’a pas eu à aller chercher bien loin, c’est à Ténériffe où il réside quand il ne tourne pas avec les allemands, qu’il a recruté. Ce sont donc d’illustres inconnus (en tout cas pour moi !) qui seront chargés de faire monter la sauce.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Purée, avec la reformation de Satan et la sortie l’an dernier d’un « Life sentence » de toute beauté, Brian Ross semble avoir décidé de passer la surmultipliée pour le plus grand bonheur des fans de NWOBHM un tant soit peu nostalgiques de la grande époque du genre.
Blitzkrieg, formation ultra culte qui aura influencé entre autres Metallica (qui reprend « Blitzkrieg », notamment), nous revient avec ce bien nommé « Back from Hell » qui ne révolutionnera absolument pas le genre mais qui fait un bien fou par où il passe et pour le coup, je me sens excité comme un acarien apprenant qu’il va assister à son premier salon de la moquette.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
A 57 balais, on peut dire qu’il tient la forme, le père Jake E Lee.
Quel retour !
Pour tout quarantenaire (et au-delà) qui se respecte, le gaillard est quand même celui qui a gratté chez Ozzy Osbourne sur les monumentaux « Bark at the Moon » (1983) et « The ultimate sin » (1986), qui avait fondé le groupe Badlands avec un des ex-chanteur de Black Sabbath Ray Gillen depuis décédé, ou qui a fait quelques passages chez Dio, Ratt, Rough Cutt ou Enuff Z’Nuff… et également quatre albums solo entre 1996 et 2008.
Comme quoi les traversées du désert n’empêche pas un réel talent, il faut reconnaître que cet album éponyme de Red Dragon Cartel a de quoi faire tressaillir de plaisir les fans du guitariste d’origine asiatique.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Sur le papier, Acheron part avec un important capital crédibilité. Le groupe officie depuis les années 90, il a en son sein un musicien qui s’appelle Crowley et qui fut révérend dans l’Eglise de Satan, la pochette (moche) est illustrée d’un pentacle, de femmes nues, d’un bouc, de sang et de feu. Nous sommes quand même à l’extrême limite des gros clichés bien lourds.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
La vache !
Pour leur dixième album, les belges d’Enthroned n’ont pas fait les choses à moitié.
Pourtant, j’avais gueulé, en 2006, lorsque le dernier membre fondateur du groupe, le bassiste / chanteur Lord Sabathan était parti, laissant le bateau à Nornagest pour les voix et la basse à Phorgath.
Bon, en même temps, si on regarde bien, on se demande si Enthroned a un jour sorti deux albums consécutifs avec le même line up hormis pour « Carnage in Worlds beyond » (2002) et « XES Haereticum (2004) ou pour « Pentagrammaton » (2010) et « Obsidium » (2012).
A vérifier.