Le Running Order officiel est disponible .

Quelques changements .

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

La vache !
Parfois, on se prend une telle claque dans la figure de la part d’un groupe dont on n’attendait absolument rien que c’en est atrocement agreeable.
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’on passe trois quarts d’heure de pur plaisir avec ce “Furiosity”, premier album de ce quatuor formé en 2010 à Hamilton (Ontario) après deux EP, “Monster truck” en 2010 et “The brown” l’année suivante, et si on devait le résumer en un seul mot, c’est celui-ci qu’on prendrait : Energique!

Note du Soilchroniqueur (Arno): 8/10

Elements est peut-être à Atheist ce qu’est Spheres à Pestilence. Un album complètement perché qui a dû finir de perdre ceux qui avaient suivi les cours de rattrapage pour comprendre Unquestionable Presence. Tout le monde fait des solos en même temps, il y a des passages Flamencos entre deux rythmiques Thrash (« Water »), de la Samba (« Samba Briza »), le chant baisse d’intensité et s’oriente vers des intonations trafiquées aux effets électroniques, Tony Choy est en roue libre pour une migraine garantie à quiconque essayerait de suivre ses lignes de basse.

Note du Soilchroniqueur (Arno):7/10

Une pochette superbe, des premières notes qui plongent l’auditeur dans une ambiance spatiale puis un déboulé tonitruant de riffs puissants, « God Like Redemption » laisse à penser que World Shapers est un disque plus que prometteur. On se rend vite compte que le trio a densifié son propos : la musique est plus rapide, plus compacte, plus efficace avec en supplément un chant davantage affirmé qui accentue l’aspect Black Métal d’Aurora Borealis, bref, ce premier morceau est fort séduisant d’autant que la formation intègre désormais des bruitages du meilleur effet qui confère enfin une réelle identité à sa musique.

Note du Soilchroniqueur (Arno):8,5/10

Deux ans jour pour jour après la sortie de Piece Of Time, Atheist revient avec ce qui est sans doute la pierre angulaire de leur discographie. Endeuillé par le décès de Roger Patterson, le groupe trouve pourtant en la personne de Tony Choy le bassiste qui contribuera à asseoir leur réputation de techniciens de très haute voltige et de compositeurs hors pair. Il faut dire que T. Choy fait tout sur Unquestionable Presence pour qu’on le remarque. En gros, c’est exactement l’inverse de la prestation de Jason Newsted sur… And Justice For All.

Note du Soilchroniqueur (Arno):7/10

Parfois, il faut savoir retourner à la base, à l’origine des choses. À l’heure où beaucoup de musiciens ne se sentent plus pisser tellement ils arrivent à aligner de notes à la seconde et de riffs dans un seul morceau, il faut remonter aux pionniers pour bien comprendre que ces actuels forts en math n’ont rien inventé, qu’ils se contentent de recopier, en égalant rarement, ce que des mecs ont déjà fait 25 ans avant eux.

Suite à la sortie du très bon ‘Geist’, chroniqué ici:http://www.soilchronicles.fr/chroniques/irminsul-geist, nous étions obligé de nous entretenir avec les membres d’Irminsul. Des détails sur la naissance de l’album, un Track By Track

Une ITW réalisée par Mail.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

On a été nombreux, en 2010, à l’annonce du décès aussi accidentel que prématuré de Steve Lee, à penser que cette disparition allait coïncider avec celle du groupe.
Quand un groupe perd une partie de son âme, il lui est toujours difficile de s’en relever.
2012 voyait la sortie de « Firebirth », accueilli avec autant de curiosité que de compréhension voire d’indulgence par les fans : mais force a été de constater que le petit nouveau Nic Maeder a tenu son rôle avec les honneurs et a su tenir la comparaison avec son regretté prédécesseur, à défaut de le faire oublier.