L’inspiration vient de partout. Ça peut être d’un événement, de la scène d’un film, d’une musique, d’un livre, d’une phrase, d’un mot, d’un objet, d’un paysage… Elle est là, tout autour de nous et il convient à l’artiste de la voir, la cueillir pour la façonner et en faire sa création.
Pour Pierre Carroz, ce déclic est dû à un voyage à Malmö, en 2006, et à l’acquisition d’une guitare baryton. Le climat froid et les étendues de la Suède l’aideront ensuite à composer une dizaine de titres, inspirés des grands noms du Postcore, comme, entre autres, Cult of Luna ou les regrettés Breach.
Mais Herod se forme véritablement en 2011, après un retour de Pierre dans sa Suisse natale et la rencontre avec Fabien Vodoz et David Glassey, puis Bertrand Pot deux ans plus tard. Et ce n’est qu’en 2014 que le groupe franchit son premier palier, avec la sortie de son album « They Were None« , au digipack de grande élégance. Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : All Men play on 10/10
C’est rare d’entendre de si belles choses.
Ce n’est un secret pour personne, le Heavy Metal c’est la vie du Celte… Un groupe comme Sabaton la lui rallonge de dix (centimètres) ans.
La machine de guerre a déjà fait parler d’elle, cette formation suédoise a le vent en poupe depuis quelques années. En 2008 avec la signature chez Nuclear Blast pour l’album ‘The Art of War‘, elle s’est lancée dans la conquête du monde, et est bien partie pour revenir victorieuse de cette croisade.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Là, il y a du dossier !
Voyons voir : Peter Stjärnvind (Krux, Pest, ex-Entombed, ex-Merciless, ex-Nifelheim), Johan Bergebäck (ex-Necrophobic, ex-Nifelheim, ex-Dismember), Joseph Tholl (Corrupt, Enforcer), Sebastian Ramstedt (Ordo Inferus, ex-Necrophobic, ex-Nifelheim) et Jonas Wikstrand (Enforcer)…
Est-ce bien utile de préciser qu’un tel rassemblement de CV ne doit sûrement pas officier dans une musique très moderne ?
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 6,5/10
« Simplicity ».
Pour le coup, il n’y a pas mensonge sur la marchandise : Tesla nous revient avec un septième album de titres originaux en trente ans de carrière.
Une telle disette quantitative ne remettra en aucun cas la qualité du groupe et Tesla peut se targuer de réussir à composer des albums intemporels : avec ces sept albums, il faut reconnaître qu’aucun n’est mauvais et sont suffisamment qualitativement riche pour frôler l’exploit d’être tous un classique du genre.
Se réécouter aujourd’hui « Mechanical Resonance » n’a rien d’anachronique : il suffit juste de se rendre compte que des morceaux comme « Modern Day Cowboy », « Little Suzi » ou « Rock me to the Top » pourraient très bien être écrits en 2014.
Note du SoilChroniqueur (Homer_Fry) : 8/10
NOFX, ce n’est pas vraiment le genre de groupe qu’il y a à présenter : existant depuis désormais 31 ans sur la scène Punk, ils ont largement envahi les discothèques des fans avec toutes leurs sorties. Pas moins de 36 depuis leur premier EP en 1985, deux petites années après leur création dans un style plus Hardcore Punk. Au total, c’est 12 albums, 3 splits, 2 lives, 4 compilations, et 15 EPs. Et pas des EPs pourris, qui ne jouent jamais en live, ça non, un peu de chaque époque de leur carrière est mise à contribution que ce soit de l’album format long ou court. Ce fut d’ailleurs le cas au Groezrock dernier, où « Punk In Drublic » était joué dans son intégralité à l’occasion de ses 20 ans, avec un set finissant par « The Shortiest Pier » présent sur « Stoke Extinguisher« . Mais c’est un peu particulier.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):8/10
Un bon petit retour aux sources ne fait jamais de mal.
Quand on parle de sources, bien entendu, il ne s’agit pas de remonter le fleuve comme un saumon pour aller pondre dans les lacs en altitudes. Car sinon, on risquerait de se faire manger par les ours… Enfin bon trêve de plaisanterie. Car avec So What! on ne rigole pas tant que cela. S’il remontait le fleuve, se serait pour coller une baigne à l’Ours.
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Note du Soilchroniqueur (Arno): 7,5/10
Avec les Texans d’Averse Sefira, ça ne rigole pas. Pourvoyeur d’un Black Métal hyper rapide et sans pitié, Advent Parallax conviendra parfaitement aux fans de Dark Funeral, Marduk ou autre Setherial.
De « Descension » à « Vomitorium Angelis », le trio joue à deux cents à l’heure, les quelques ralentissements n’étant là que donner encore plus de relief aux parties blastées. De plus, et c’est un gros point positif pour moi, le groupe n’oublie pas de soigner la production puisque le son est à la fois puissant et clair pour un rendu qui maximise l’ambiance d’agression constante qui caractérise le disque.
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Note du Soilchroniqueur (Arno): 7,5/10
Un album avec Rune Eriksen peut-il être mauvais ? Non. Doit-on avoir des doutes quant à la véritable motivation d’Ava Inferi, sachant que Carmen Susana Simoesest la femme de Rune ? Non plus. La seule chose de sûre, selon moi, c’est que si vous n’avez jamais pu supporter le Gothic Doom Metal, Burdens ne vous fera pas changer d’avis. Quoi que…
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Avis aux habitants d’Avignon et des environs! Les Suisses Elizabeth (Hardcore brutal) seront en concert le 12 juin à 20h au Théâtre des Italiens (salle intra muros), dans le cadre de la tournée promo de leur EP Insomnia. Pour l’occasion, le groupe sera accompagné des excellents Mudbath (Sludge boueux), qui reviennent jouer chez […]
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