Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8/10
C’est comme ça !
Des fois, tu ouvres ta boîte aux lettres et dans l’enveloppe, tu as un CD promo d’un groupe dont tu n’as jamais entendu parler.
Shaman’s Harvest… Mais qu’est-ce que c’est que ce truc ?
Même le nom, ça ne te dit rien. Le label si, quand même ! Mascot Records, en général, c’est relativement un gage de qualité : Philip Sayce, Crippled Black Phoenix, Black Label Society, Flying Colours ou autre Don Airey… Ouais, il y a de quoi faire !
Un message du label du label Finisterian Dead End.
La formation The Ersatz rejoint les rang du label.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 6,5/10
Dans la catégorie des groupes de thrash à classer entre le précédent et le suivant, voici Warstorm.
Quintet italien, le groupe se forme en 2011, enregistre une demo dans la foulée et nous propose son premier album de sept titres pour à peine plus d’une demi-heure.
Au programme, un thrash relativement basique, très old school, suffisamment bien foutu pour attirer l’attention mais qui ne cassera pas trois pattes à un canard.
Les tempi oscillent entre le mid et le speed, sans ne jamais passer le cap de l’intensif.
On arrive régulièrement à secouer la tête, taper du pied mais c’est tout.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Alors là, j’adhère !
Ce n’est plus un secret depuis bien longtemps, je suis un indécrottable fan de thrash et si on ne peut pas m’enlever quelque chose, c’est bien le fait d’avoir écouté et souvent adoré un nombre d’albums de l’ordre de l’incalculable.
Si j’ai la fâcheuse tendance à m’intéresser de près à tout groupe du genre, notamment et surtout dans sa veine la plus old school, il est évident qu’un album d’un groupe comme Burning Nitrum allait titiller ma curiosité : quand en plus on voit que l’artwork est signé Ed Repka, qui aura quand même posé sa signature sur les pochettes de nombreux chefs-d’œuvre du thrash (Megadeth, Suicidal Angels, Death, Nuclear Assault, Possessed, Toxik, Vio-lence…), on peut penser sans prendre beaucoup de risques que le bonhomme n’allait pas s’engager avec un groupe qui n’aurait pas un gros minimum de potentiel.
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Note du Soilchroniqueur ( Arno):7/10
Après un premier album encore trop marqué par des influences évidentes, Meshuggah notamment, on aurait pu attendre de Benea Reach un plus grand effort d’émancipation. Car même si Benea Reach est beaucoup moins brutal et plus porté sur les arpèges, la référence reste encore évidente dans la façon d’agencer les riffs tout en proposant des refrains mélodiques plutôt efficaces tout en restant heureusement hurlés.
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Quatre groupes s’associent pour vous offrir une compil Metal.
TEHORA, DIRTY WINDOW , BERSERKERS et LIGHT GOES DEAD
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On y retourne, quelques nouveautés bien senties en vidéos en guise de news plus parlantes que des phrases :
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Note du Soilchroniqueur (Arno):6,5/10
Peu connu, ce groupe Norvégiens disparu en 2013 a pourtant de sérieux atouts pour satisfaire les amateurs éclairés d’un genre aujourd’hui très en vogue : le Métalcore. Dans une veine plutôt mélodique tout en restant principalement rythmique mais surtout en évitant les refrains chantés, Benea Reach, avec ce premier album, suit les traces d’un Textures voire d’un Meshuggah assagi (« Transmitter », « Purge ») tout en agrémentant ces compositions d’atmosphères que l’on pourrait qualifier de Tooliennes.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8/10
9e album à la pochette somptueuse (Andreas Marschall) sur laquelle on voit le retour du Templier Hector, mascotte officielle du groupe, 3 ans après un « Infected » qui aura pris bon nombre de fans à contre-pied.
Ce n’est pas le seul retour qu’on voit chez Hammerfall à l’écoute de ce nouvel album mais on a bien affaire à un groupe qui revient vers ses racines.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7,5/10
Du Heavy Metal qui fait mal.
On continue encore à prendre des claques par les légendes, mais pour combien de temps ?
Certaines ont déjà perdu de leur superbe et leur dernières productions sont de qualité très limite (Iron Maiden, Manowar, Running Wild), d’autres nous font encore sourire et hurler comme le dernier Grave Digger sur lequel il est impossible de rester de marbre.
Heureusement du côté de la scène, on a rien à leur redire, c’est toujours aussi nickel, mais pour combien de temps?