Backdawn + Exodus + Testament (Grenoble, la Belle Electrique, 26 mai 2015) ...
par Metalfreak
Reporter : Erikillmister
Photos : Metalfreak
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Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Si ce nom, The Dead Daisies, ne vous dit rien, je suis sûre que celui de ses membres vous parlera plus.
A la basse, Marco Mendoza (Thin Lizzy/Whitesnake), au clavier, Dizzy Reed (Guns N’ Roses), aux guitares, David Lowy (MINK, Red Phoenix) et Richard Fortus(Guns N’ Roses/The Psychedelic Furs) et enfin, au chant, John Corabi (Mötley Crüe /Ratt). Les parties de batterie sont assurées par Brian Tichy (Ozzy Osbourne/Billy Idol) et Jackie Barnes (Tin Lids, fils du chanteur Jimmy Barnes) pour l’enregistrement (ne me demandez pas pourquoi il a fallu deux batteurs mais je vous répondrai lorsque je les aurai interviewés). Mais c’est le batteur Tommy Clufetos (Black Sabbath & Ozzy Osbourne) qui tournera avec le groupe. Ils ouvriront d’ailleurs pour KISS le 16 Juin au Zénith de Paris.
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Note du SoilChroniqueur (H.P Hatecraft) : 6.5/10
Si je vous disais qu’un groupe anglais du nom de Mabel Greer’s Toyshop vient de rempiler avec un nouvel album, ça ne vous parlera certainement pas. Mais si je vous dis que le groupe YES (rien à voir avec la musique que vous écoutez, bande de métalleux cracheux), il faudra alors demander à vos papy du rock… Ou alors, si vous jouez de la gratte, peut être reconnaitrez-vous le tube « Owner of lonely heart » et ses quelques accords de l’intro que vous avez sûrement tenté de copier.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8.5/10
J’ai découvert Bärlin comme dans l’ancien temps, celui d’avant l’Internet : à travers une obscure compilation éditée par un Webzine de passionnés (X-Silence pour ne pas le nommer), le genre de production qui permet de se rendre compte à quel point ce pays regorge de groupes de qualité, quel que soit le style.
Je vous vois venir bande de curieux : Bärlin, c’est du Black ? Du Death ? Du Grind ? Rien de tout ça fiers (fières) compagnons (compagnes) de l’électricité assourdissante. Ici, on entre de plain-pied dans… Dans quoi d’ailleurs ? Le qualitatif ça, c’est une certitude à l’écoute des onze titres d’Emerald Sky, mais pour ce qui est du genre ? Vous imaginez bien qu’avec de la clarinette, il va falloir oublier les blasts !
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Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 8/10
Uriah Heep fait partie de ces groupes de la vieille génération, ceux-là même qui ont posé les bases du Heavy Métal actuel, ceux qu’on appelle « les historiques ». Ceux-ci (Deep Purple, Blue Oyster Cult, Alice Cooper…) ont bien souvent en commun, en plus du fait qu’ils continuent à tourner, d’avoir une discographie aussi importante qu’un line-up instable ! Et ce n’est pas Uriah Heep qui dérogera à la règle. De la formation d’origine, qui remonte à l’ère tertiaire du Hard Rock ne subsiste plus que le guitariste moustachu Mike Box, qui a donc été de tous les albums (une quarantaine !) enregistré par le combo. Cependant, si l’on excepte le bassiste Trevor Bolder, parti pour un monde meilleur la faute à une sale maladie, la formation est relativement stable depuis 25 ans, n’ayant subi depuis que peu de changements de personnel.
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Un documentaire époustouflant à voir dans un cinéma près de chez vous le vendredi 5 Juin 2015, à Paris à 20h30 à la Géode §
Plus d’info : https://www.lageode.fr/programme/evenements/wacken-3d/
Durée : 90 minutes / format : 3D
Bande annonce : https://www.youtube.com/watch?v=iQMJ77qyfOo&feature=youtu.be
Informations, liste des villes, des salles et réservations :
www.wackenaucine.fr

Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 8.5/10
Parmi les groupes hyperactifs, Paradise Lost est en pole position avec ses 25 ans de carrière et sa volonté de ne jamais faire patienter ses fans (pas comme les salauds deWintersun…). De plus, comme ils produisent des albums allant du bon à l’excellent, autant dire que ces Anglais-là n’ont jamais connu l’échec.
Ils ont commencé par faire un album par an puis, plus ils vieillissaient, plus l’écart entre deux albums augmentait, jusqu’à atteindre trois ans (les trois derniers albums). Mais notre patience a toujours fini par payer, et « déception », tout comme pour Katatonia, est un mot qu’on ne prononce jamais quand il s’agit de Paradise Lost. Certes, vous me direz que ce n’est pas vraiment le même style, même si tous les deux partagent l’univers du Doom, mais l’effet que produit leur musique est selon moi identique.
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