Quand on m’a demandé d’écrire quelque chose au nom de l’équipe du webzine, j’ai repensé à Janvier, et me suis dis : « pas encore »… Mais cette fois ci, ce n’est plus une histoire de caricatures. Cette fois ci, ce n’est plus une histoire de liberté de penser. Cette fois ci, c’est une histoire de liberté de vivre.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10
Un bon petit live ça vous tente?
Il n’y a rien de mieux qu’un bon concert pour se faire le plein d’énergie. Il faut dire que c’est toujours agréable de se prendre une bonne mousse bien fraîche en écoutant hurler les refrains et headbanguer à en renverser la moitié.
Pour fêter ses vingt-cinq années de carrière, un quart de siècle c’est quand même la grande classe non ? Gang enregistre « Live Is All » auSOS Festival à Manchester. Voilà de quoi faire un beau cadeau pour tous les fans.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Lorsqu’on en vient à parler de Nile, il y a des choses qu’il n’est même plus la peine de dire. S’extasier sur la technique par exemple, ou encore digresser durant des pages entières sur l’Egypte. On a compris que les Américains étaient des monstres, inutile de le rappeler à chaque fois. Parce que si aligner des plans hyper complexes suffit à faire un bon album, autant arrêter toute critique immédiatement.
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L’été, cette saison des festivals, s’est terminée laissant place aux différentes tournées des groupes. Cela dit, si vous êtes en manque de festoches spécialisés et surtout un super petit festival de l’extrême, eh bien, sachez que dans la ville d’Eindhoven, un festival nommé Eindhoven Metal Meeting mêlant thrash, death, black, un peu de doom et une combinaison de ces genres a lieu chaque année. Et pour cette septième édition, l’affiche est très alléchante : que du bon, très bon et de l’excellent.
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Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 9/10
Aucun jour ne passe sans ma dose de Parkway Drive pour bien accompagner mon café à réveil ultra énergétique et bien démarrer ma journée. Parkway Drive, c’est LA valeur metalcore sure qui ne trahit… jamais, puisqu’avec ce nouveau « Ire », ils ont fait, une fois de plus, preuve de talent, de son frais avec la marque déposée Parkway Drive © qu’aucun groupe n’a les couilles ou le niveau pour s’en approcher. Avec qui, peut-on vraiment le comparer ? Hé bien, personne d’autre que lui-même !
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Tout doit aller vite. À peine le temps d’écouter un disque que déjà il faut en parler, en bien ou en mal, le promouvoir, alimenter la machine de l’immédiateté. Si je préfère traiter de vieux disques au détriment de l’actualité souvent trop tiède, c’est qu’il y a une objectivité conférée par les années de possession. Je vois trop souvent des disques encensés de partout ne pas passer l’année tant ils n’ont aucune dimension temporelle autre que la semaine qui les voit sortir. À côté de ça, il y a des albums que j’écoute depuis vingt ans…
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Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 8/10
« Metal is the Law » comme disait Massacration, il y a quelques années… Ce credo semble également être celui de RAM, groupe suédois natif de Göteborg (hé oui, encore un…) qui propose son 4ème album, Svbversvm, dans une veine très metal – que dis-je « heavy metal » – voie de laquelle ils ne se sont pas départis depuis leurs débuts en 1999 sous l’égide de Harry Granroth. Influencés de l’esprit originel du Metal dès le départ, du riff saignant, de l’obscur et du mystique, cet album ne déroge pas à la tradition de l’invitation à la Grand Messe telle qu’en proposaient les groupes fondateurs dans les 70’s, mais ici on est davantage dans l’esprit des 80’s très tourné vers des influences priestiennes et diamondiennes.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Si ça, ce n’est pas un retour aux sources…
Brume, unique membre d’Haeretical Psalmody, nous balance en cet automne un album aussi glacial qu’une bombonne d’hydrogène liquide, avec un son on ne peut plus cru, avec la bonne vieille méthode du do it yourself.
En sept titres dont deux instrumentaux pour 37 minutes de musique, Brume nous renvoie tout au début des années 90, avec une production digne des sonorités les plus glaciales des groupes les plus raw de l’époque, un son incroyablement malsain, un chant écorché à la limite de la saturation et de longues plages musicales, plaintives quoique rapides, et on se retrouve à l’époque des « Transylvanian hunger » et franchement, il y a pire comme comparaison.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7,5/10
C’est dans la fraîcheur du territoire de Rohan que les ténèbres apparaissent.
Avez-vous déjà essayé de vous promener la nuit de la Samain sur les bords du blavet en traversant les landes et les fourrés… Imaginez la brume apparaissant, le vent glacial venant de dos qui vous fait frissonner à chaque bourrasque, le hurlement sombre des animaux invisibles mais dont on devine une présence très proche… On entend surtout un son étrange qui nous poursuit le grincement sinistre et métallique de la roue d’une charrette, on a beau accélérer pour la semer, traverser et retraverser le canal, quand bien même, elle nous suit et reste continuellement à la même distance…
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