Note du SoilChronicles (Wilhelm von Graffenberg) : 8.5/10

« Guest… Encore eux, putain, ils sont trop bons : on les voit sur toutes les affiches, genre les mecs pas du tout sollicités, quoi… » Le mot guest prend toute son ampleur quand on écoute l’album tellement what the fuck du projet solo du batteur hollandais Koen Herfst, projet sobrement et modestement intitulé… « Koen Herfst ». Pourquoi what the fuck ? Parce que c’est un énorme fourre-tout metal au point que je serais incapable de lui coller une quelconque étiquette – ce qui en un sens est plutôt positif – mais qui me rend aussi difficile de décrire cet album, Back to Balance, autrement que par du « c’est l’album solo d’un batteur qui a plein plein plein de potes – hollandais principalement – qu’il a invités »… Des guests, quoi…

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Alors celui-là, il fait un bien fou par là où il passe !

Ceux qui aiment le thrash bien violent, un rien technique, du genre Dark Angel époque « Darkness descends » / « Leave scars », Viking, Razor première époque, Sadus de « Swallowed in black » ou du Coroner des trois premiers albums, avec un côté Atheist pas piqué des vers, ils vont être servis.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Sachant que le chant chez Skindred est assuré par Benji Webbe, frontman complètement allumé de Dub War, je n’ai que des bons sentiments à l’égard de « Volume », d’autant que le vieux Métal Fusion tel qu’il se pratiquait dans les années 90, j’aime assez. J’aime le premier Senser (« Stacked Up »), Downset (« Anger ») que j’ai toujours préféré à Rage Against The Machine, l’éponyme de (Hed)Pe, Faith No More voire même « Significant Other » de Limp Bizkit. Ben ouais mec.

Note du SoilChronicles (Wilhelm von Graffenberg) : 9.5/10

Vous connaissez tous l’heroic fantasy ? Mais siiii… Tolkien (Le Seigneur des Anneaux), Gemmell (Légende, Waylander), Howard (Conan) ou Martin (Le trône de fer), pour ne citer qu’eux… Beaucoup de groupes s’en inspirent pour créer un univers musical (Blind Gardian pour Tolkien, Drenaï pour Gemmell, Domine pour Howard, plein de guitaristes [qui reprennent et arrangent le fameux thème de la version série] pour Martin). Certains groupes créent même leur univers et histoire autour de la fantasy (Rhapsody, pour ne pas les citer, avec leur Saga de l’épée d’émeraude). Place désormais à l’heroic sci-fi !

Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 6/10

Parfois on éprouve du plaisir à chroniquer une œuvre musicale et parfois on la subit en essayant tout de même de mettre en valeur ce qui est bon à garder… même si l’exercice n’est pas toujours simple. La pensée qui nous revient souvent c’est : « mais pourquoi tel ou tel groupe continue à faire une énième version de ce qui a déjà été entendu mille fois ? » ou encore « non mais si tu ne fais pas mieux que ce que tu as fait ou a été fait, alors ferme ta gueule et ne fais rien ! » Et puis après on reprochera à la communauté de metalleux de ne pas soutenir leur scène fétiche, mais il faut qu’aussi ces groupes comprennent que les gens n’ont pas de la thune en illimité pour s’acheter tous les albums quand on est fan d’un certain style, et je ne vous parle même pas des auditeurs éclectiques…

Suite à la sortie du très bon Restless Fire, nous avons décidé de nous entretenir avec Markus Fortunato pour qu’il nous dévoile plus de détails sur cet opus.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Quand il n’est pas dans Carcass, l’ex-Napalm Death Bill Steer s’éclate avec Gentlemans Pistols.
Et quand on parle de la musique de ce quatuor de Leeds, le mot qu’on évitera soigneusement de citer, c’est bien « extrême ».

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Encore ?

Décidément, je ne me rappelle pas avoir, depuis que je suis dans Soil Chronicles, chroniqué trois albums du même groupe en si peu de temps : en juin, je parlais de leur premier méfait « Eternal nightfall », en juillet c’était au tour de « The thrashening » , deux albums sortis initialement en 2008 et 2011 avant de se voir réédités en juin et juillet dernier par Punishment 18 Records, en vue de la sortie de celui-ci !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6/10

Si l’on n’a rien contre le fait d’afficher publiquement un goût prononcé pour tous les clichés du Metal, voici la compilation idéale.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10

Si, par le nom même de son album, Dopethrone revendique son appartenance au Canada et plus particulièrement à Montréal, les accointances s’arrêtent là car, à l’écoute de « Hochelaga », on se serait plutôt attendu à voir le groupe débarquer du fin fond de la Louisiane. De fait, une question se pose : le Sludge sera-t-il un jour en mesure de sonner autrement que comme une pâle copie d’Eyehategod ou de Down ?