
Depuis son heureux retour, Psykup enchaine les concerts un peu partout en France. Samedi 16 janvier, avec l’association Jamais, nos Toulousains adeptes du Metal barré vont venir faire vibrer les murs de la MJC Ô Totem, à Rillieux-la-Pape, près de Lyon. Pour l’occasion, ils seront accompagné de Sombra Y Luz (Fusion Rock/Metal) et de Buy Jupiter (Metal moderne).
Une occasion de bien commencer la saison 2016.
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Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 8/10
Essayez d’imaginer l’hybride qu’on obtiendrait en croisant Silverchair, Soundgarden, Pearl Jam, Faith No More et Nickelback… Imaginez maintenant que le gros son rock issu de cet hybride soit polonais et vous obtiendrez ce que Chemia propose dans son second album, Let me. Un groupe de rock polonais, ça fait bizarre quand on a l’habitude de taper – blaster, devrais-je dire – davantage dans le BM (Vader, Decapitated, etc.)
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Parmi la vague de groupes actuels cherchant à repousser toujours plus loin les limites de la technicité dans le Métal extrême, on peut sans problème inclure les Américains d’Embryonic Devourment, actifs depuis 2003 et auteurs de trois albums, « Reptilian Agenda » étant le dernier en date.
Je ne vais pas m’étendre plus que nécessaire sur tout le délire autour du complot reptilien, en la matière chacun est libre de croire en ce qu’il veut (officiellement en tout cas) et toutes les informations nécessaires sont disponibles sur le Web. Parler musique est bien plus intéressant.
Vektor + Angelus Apatrida + Distillator au Glazart (Paris) le 22/11/2015 ...
par Bloodybarbie
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
L’Australie aurait son groupe de death / black metal ?
Quand on parle de musique du pays des kangourous, ce n’est pas vraiment de ce genre musical auquel on pense en premier lieu, mais bien à tous les AC/DC-like qui pullulent, accessoirement au thrash metal avec les Mortal Sin ou autre In Malice’s Wake.
Et pourtant, un simple tour sur un site recensant les groupes de tous pays et on s’aperçoit que la scène australienne, en matière de metal extrême, n’est pas excessivement en retard sur les autres pays.

Note du Soilchroniqueur (valquest) : 7.5/10
Outch quelle claque ! Comme quoi il ne faut jamais se fier au nom de l’artiste.
En effet c’est un petit peu à reculons que je me suis mis en quête d’écouter Deliverance de Heart of a Coward car le nom du groupe m’inspirait un énième groupe de metalcore qui n’apporterait rien de plus au genre. Grave erreur de ma part car, non seulement les Britanniques arrivent à sortir leur épingle du jeu dans ce style, notamment par des influences Djent, mais en plus le niveau technique des musiciens est loin d’être au rabais.

Note de la SoilChroniqueuse (Zelviroth) : 8/10
Le nouvel et troisième album du groupe suédois Casablanca intitulé « Miskatonic Graffiti » nous plonge dans un univers aussi sombre que magnifique, connu de bon nombre de fans du genre, celui de Cthulhu sorti tout droit de l’imagination du grand maitre H.P. Lovercraft, plus précisément, des pré-humains “Les Originaux”.
Lorsque commence le premier morceau « Enter the Mountains », on se retrouve aussitôt transportés dans un univers sombre et glacial, avançant au rythme de l’orgue et de la guitare sous une pleine lune aussi froide que les hauteurs des montagnes où commence le récit. Fermez les yeux et laissez vous transporter au rythme des riffs et de cette sublime voix, modulée suivant les différentes ambiances portées par cette intro de 10 minutes dont on ne se lasse point.
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Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 5/10
Pourquoi diable Kampfar nous sort un tel album ? Pourquoi un tel intrus dans cette belle discographie, bordel ? Pourquoi utilisé-je ces termes ? Tout simplement parce que c’est le plus mauvais, le pire ! Au revoir – ou adieu ? – le bon vieux Black Folk/Pagan (même s’ils ont eu des périodes de pur Black, mais du bon, alors !) que nous livrait Kampfar et bonjour le Black bancal… Grosse déception de la part d’un groupe que je respectais beaucoup ! Bon, j’exagère légèrement, ça s’écoute mais ça ne se réécoute pas !
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Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 7/10
Les italiens ne font pas que dans le symphonique (Rhapsody, Fleshgod Apocalypse…) mais aussi dans le prog. Last Frontier, avec ses faux airs de heavy metal assez classique pose des bases prog (bon, ok, très teintées de symphonique) sur ce 2ème album, Theta Healing (through the Poison).Après de multiples changements de line up (les précédents bassiste et batteur sont partis – ont fui ? – après l’enregistrement de leurs pistes), cet album, qui a mis plus d’un an à se finaliser, est de bonne facture, efficace, le son est propre sans être transcendant, bref il est plaisant.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Mine de rien, Ancestors Blood fête déjà ses 14 années de carrière sous ce nom-là, après avoir existé quelque peu sous celui de Lost Wisdom jusqu’en 2002.
Le très attendu « Hyperborea » est leur troisième véritable album après « Return of the ancient ones » (2008) et « A moment of clarity » (2013) et compte pas moins de quatre demos, un EP (« When the forest calls » en 2009) et trois splits (avec Hunok, puis Profezia, et Heervader) dans une carrière déjà bien remplie.