Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 7/10
Direction le pays des kangourous, une fois de plus – à dos d’albatros, tels Bernard et Bianca si vous le souhaitez – pour parler cette fois-ci de Death Metal avec Sanzu et leur premier album Heavy over the Home, après un EP, Painless, dans la même veine, paru en avril de la même année.
Si le nom du groupe fait référence à l’équivalent du Styx version bouddhique – le sanzu-no-kawa – leur musique n’est pas du tout un long fleuve tranquille au niveau sonore.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Alors là, on tient quelque chose !
Le Texan Ryan Wilson, penseur de son one-man band The Howling Void, mais aussi gratteux / bassiste du groupe de black metal Hordes Of The Morning Star, multi instrumentiste chez les grindcoreux deIntestinal Disgorge, membre unique de son autre projet black / death Pneuma Hagion, sans parler de ses deux autres groupes Normpeterson (sludge / drone) et Abosranie Bogom (goregrind) parmi encore d’autres, nous envoie son cinquième album de funeral doom sous cette entité depuis 2007, année de sa création.
Après « Megaliths of the abyss » (2009), « Shadows over the cosmos » (2010), « The womb beyond the World » (2012), l’EP « Runa » (2013) et « Nightfall » (2013 aussi), voici « The triumph of ruin » avec six longs titres pour 38 minutes d’un voyage initiatique d’une grande beauté.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
En 2011, ils ont à peine 17 et 18 ans que les deux fils de Max Cavalera décident de fonder Lody Kong après avoir arrêté leur premier projet Mold Breaker.
Un premier EP « No rules » sortira en février 2013, Zyon en profitera pour aller taper ses fûts sur le nouvel album de Soulfly tenu par son père et voilà maintenant qu’arrive le premier véritable album du groupe « Dreams and visions » à la pochette bien dégueulasse qui, à sa seule vision, n’incite pas à l’achat.
Texte et photos : Metalfreak
Pour un premier avril, pas de poisson mais un putain de concert bien thrash tout comme il faut avec deux groupes très efficaces.
Retour en images avec les furieux One Machine, dont le power / thrash est particulièrement percutant et a donné l’occasion d’une belle découverte… avec en prime des musiciens d’une gentillesse et d’une disponibilité dont bon nombre de groupes au vécu moins impressionnant devraient s’influencer.
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Nashville Pussy + Worry Blast + Whisky Of Blood (Grenoble, la Bifurk, 26 mars 20 ...
par Metalfreak
Report + photos : Metalfreak
Décidément, lorsque Metallian Productions touche à quelque chose, il le transforme en or : une fois de plus, soirée sold out.
En même temps, une affiche regroupant trois groupes qui respirent, vivent et transpirent le rock’n’roll à ce point, ça ne pouvait qu’attirer les foules.
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Impericon Festival 2016 : HATEBREED + EMMURE + NORTHLANE + DESPISED ICON + BURY ...
par Bloodybarbie
IMPERICON FESTIVAL 2016 – CABARET SAUVAGE, PARIS
DATE UNIQUE EN FRANCE
■ HATEBREED
■ EMMURE
■ NORTHLANE
■ DESPISED ICON
■ BURY TOMORROW
■ BLESSTHEFALL
■ CHELSEA GRIN
■ ESKIMO CALLIBOY
■ HUNDREDTH
■ HELLIONS
Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 7/10
Je vous rassure, Blood Ceremony n’a rien de sanglant, c’est même tout ce qu’il y a de plus doux et gentil, contrairement à leur nom qui pourrait être une allusion à un groupe death ou black satanique bien gore. Mais on peut imaginer qu’il fait référence à la fête des femmes (une fois par mois) puisqu’il y en a une dans le groupe, presque sang pour sang au micro (aussi à la flûte traversière et au clavier).
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Si je me rappelle bien, j’ai découvert les Toulousains de Zubrowska sur une compilation dont j’ai aujourd’hui oublié le nom. En revanche, ce dont je me souviens parfaitement, c’est d’avoir été soufflé par la rage absolue qui émanait du groupe. Un seul titre, c’est parfois trompeur mais un premier album de la trempe de ce « One On Six » ne saurait mentir.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 5/10
Des fois, je me dis : « Mais pour qui te prends-tu, chroniqueur ? Quelle légitimité as-tu à jauger et juger le travail des autres ? » S’il est vrai que chroniquer un album a forcément attrait à la subjectivité, indéniablement, j’essaye tant qu’à faire de rester objectif et de proposer des critiques constructives. Je pense également que ce questionnement et cette remise en question doit – ou devrait – être fréquente chez mes confrères… Mais là, je me trouve dans une situation kafkaïenne avec l’album Comrades in Death de Stahlsarg.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Vous souvenez-vous d’Yyrkoon ? En 1998, le groupe avait bénéficié d’une jolie promotion pour la sortie de leur premier album, « Oniric Transition » mais, qu’il ait trouvé ou pas son public, les Français me donnent l’impression de n’avoir jamais vraiment réussi à décoller. En écoutant « Occult Medicine », le troisième, on se demande bien pourquoi. En effet, en matière de Death Thrash Metal rapide mais toujours mélodique, même à l’international, il y a peu de disques d’un tel niveau qui, de l’écriture à l’interprétation en passant par la production, ne souffre d’aucune faiblesse.
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