Live report & vidéos : Bloodybarbie

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Qui sont les mauvaises langues qui racontent que le thrash metal est un genre passéiste qui se mord la queue (fourchue) ?
Levez le bras que je vous voie correctement !
Il serait peut-être un peu temps de remarquer qu’il existe des groupes qui savent reprendre les bases de cette musique en y rajoutant des ingrédients tant modernes que personnels tout en gardant les fondamentaux.
Les Lyonnais de Skox font partie de ceux-là et on ne saura trop conseiller l’écoute de ce « Years of legions » pour tout auditeur ayant un peu de folie entre les oreilles !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

“Battre le fer pendant qu’il est chaud”, qu’elle dit, la sagesse populaire et ce, depuis le XVIe siècle quand même !
Black Rainbows a bien compris le principe, et leur musique, si elle n’est pas passéiste au point de reprendre des thèmes chers à Palestrina, William Byrd ou Roland de Lassus, n’en est pas moins restée dans le style fuzzy et psychédélique des années 70 (oui, du vingtième siècle, suivez un peu !!!).
Pouquoi battre le fer pendant qu’il est chaud ?
Parce que le trio italien nous balance déjà son nouveau chef d’œuvre, treize mois après le précédent et excellent « Hawkdope » (lien de la chronique en fin de page).

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Huitième album après le formidable « The art of destruction » sorti il y a déjà quatre ans, « The oath of an iron ritual » prouve une fois de plus que les Allemands de Desaster sont totalement incapables de sortir un mauvais album, ni même un album moyen.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9/10

Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage… Malgré le chant des sirènes, difficile de passer sous silence la parution d’un album qui mérite de faire grand bruit, et pas « beaucoup de bruit pour rien » comme c’est le cas de nombreuses grosses productions dans la langue de Shakespeare.

Parlons peu, parlons bien, les grecs ne sont pas doué que pour les sandwiches idoines mais aussi dans le Metal, Dimlight étant dans la lignée de leur grand frère Specticflesh (les liens sont noués depuis le mixage de leur précédent album Psychosynthesis en 2012 par… Fotis Benardo) avec un The lost Chapters dans une mouvance Death symphonique-sa-(Ho)mère tellement c’est bon qu’on en redemande !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Lorsque j’ai réclamé du VHS au disquaire, il m’a demandé d’où je sortais et répondu que ça faisait 30 ans qu’on n’en fabriquait plus. Je lui ai dit que si et que même ils venaient de sortir « Screaming Mad Gore » en CD. Tu veux du VHS sur CD qu’il m’a demandé ? Tu ne te payerais pas ma fiole des fois ? Je crois que c’est à ce moment que Ratman, alias Ratounet pour ce qui est de la VF, est intervenu, a filé un méchant coup de patte au gérant et m’a tendu en gloussant l’EP « Hi-Fi Horror (Uncut Edition) ».

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Comment fêter dignement ses vingt ans de carrière ?
En sortant un putain de DVD live ?
Tant qu’à faire, autant faire plaisir à ses fans, non ?
C’est chose faite : Danko Jones nous balance un DVD live de son passage au Wacken en 2015, son troisième après ceux de 2006 et 2011.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10

Ce moment pathétique et tragique où tu sens poindre la page blanche, phobie de tout rédacteur… « Il vaut mieux la fermer et passer pour un sombre connard que l’ouvrir et ne laisser aucun doute à ce sujet ». Il y a des fois où l’on n’a tellement rien à dire sur un album… non que celui-ci soit à chier et que l’on essaye vainement de ramasser les miettes de ce pain perdu, ce qui serait peine perdue, mais plutôt quand l’album est tellement bon que l’évocation du moindre détail insipide et subjectivement pointé du doigt passerait pour de la mesquinerie…

Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 7/10

Je sais que beaucoup de gens négligent la scène locale. N’y trouvant pas tout le spectacle que l’on peut voir aux concerts des « gros groupes ».
Alors oui, ça peut se comprendre. On peut préférer la sécurité, rester bien au chaud dans son petit confort, avec l’assurance de regarder un show bien huilé que vient souligner un bon jeu de lumières, dans une grande salle. Oui, je peux le comprendre, car moi aussi, j’aime ça, mais aussi parce que les jeunes formations du coin n’ont pas l’assurance scénique que leurs ainés ont acquise au fil des années et des tournées, parce qu’ils ne jouent que trop rarement sur de belles scènes avec un vrai jeu de lumières. Oui, tout cela est vrai.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

L’équation du jour, c’est de prendre les quatre membres de Worn-Out, d’échanger les instruments du bassiste et du guitariste, de virer les éléments rock ‘n’ roll et industriels de leur musique pour la transformer en un (death) thrash metal fortement teinté hardcore, et vous obtiendrez Khasm !
Bref, les deux acolytes Christophe et Matt, qui avaient fait leurs premières armes avec Force Fed, continuent de s’acoquiner et de partager leur amour du thrash et du hardcore, old school de préférence avec déjà leur troisième formation !
Exit Worn-Out ?