Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Si l’on veut sérieusement causer de Grind, qui sont les incontournables ? La liste pourra varier en fonction des goûts de chacun, même si pour ma part je place d’office Napalm Death, Brutal Truth, Pig Destroyer et Fuck The Facts mais je pense que l’on se rejoindra tous pour inclure les Finlandais de Rotten Sound, véritable institution de la violence sonore depuis 1994.
Autant le dire, je ne suis pas un grand spécialiste de leur carrière mais question Grindcore, je commence à en connaître un rayon et «Abuse To Suffer » me casse la tête. Littéralement. Dans un style proche du « Human 2.0 » de Nasum, c’est dire le niveau du bordel, on a là seize titres bouclés (mais pas bâclés) en vingt-huit minutes et il n’y a rien à ajouter.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 8.5/10
Woody Allen a dit : « Quand j’entends Wagner, j’ai envie d’envahir la Pologne ».
Lustrez votre écu et votre estoc, harnachez solidement votre fier destrier, mettez-vous What will prevail de Thornbridge… Et c’est parti pour la bataille ! Sus !
… Mais là, on va davantage envahir les Terres du Milieu, tant on se sent dans un domaine d’heroic fantasy à base de dragons, de Tour des Mensonges, de malédictions, de nuits sans hiver et j’en passe… L’écriture instrumentale fait énormément penser à un cross over entre le Gamma Ray d’antan (à 80%) et Freedom Call (à 20%) quand l’écriture vocale fait penser à Blind Guardian, Freedom Call et Royal Hunt, à base de voix haut perchées avec grand renfort de chœurs guerriers et hymniques.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.88/10
Alléluia mes frères et sœurs, le jour est idéal pour prêcher la bonne parole de notre sainte mère l’Eglise du Metal.
Une chose est sure, ce qui anime Metal Church – vous auriez bien compris que c’est d’eux dont je parlais – c’est la Passion ! Si « le pape a dit que l’acte d’amour sans être marié est un péché », eux sont mariés au Heavy Thrash depuis des années et forniquent toujours dans le même lit dans la fidélité la plus totale, au niveau du son/grain/couleur (on se croirait sur un CD sorti dans la fin des 80’s) par delà l’esthétique même.
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