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Note du Soilchroniqueur (Valquest) : 8/10
Après l’excellent Chatterbox sorti en 2014, les toulousains de Sidilarsen sont de retour avec Dancefloor Bastards et le moins que l’on puisse dire c’est que ce dernier est un concentré d’énergie pure.
Dès « Spread it » , on retrouve tous les éléments auxquels Sidilarsen nous a habitué : Riffs de guitare catchy , batterie surpuissante et refrains mémorisables dès la 1ere écoute qui rend la composition ultra prenante et addictive.
Le reste de l’album est du même acabit bien que certains morceaux tirent leur épingle du jeu comme « Le Jour Median » avec un tempo beaucoup plus lent et une ambiance beaucoup plus tendre qui permet de calmer le jeu au milieu de l’album avant de retourner s’éclater la nuque sur le reste du disque.
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7/10
Attachez bien votre ceinture, c’est parti pour un petit voyage exoplanètaire à la recherche de nouveaux horizons, vers un autre monde accompagné par de la bonne musique… que demander de mieux ?! Fermez les yeux, mettez vos lunettes 3D (non fournies avec l’album) et surtout votre sono (ou casque), sans oublier le plus important : votre IMAGINATION (si vous en avez une, c’est mieux) ! Un voyage qui ne vous coûterait pas plus de 15-20 euro (le prix du disque, vous l’aurez compris) et une sono (la plus simple fera l’affaire) pour apprécier ces 5 longs titres (pour un total de 45 minutes).
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C’est quand même une chouette idée qu’a eue le Ninkasi. Organiser un concert gratuit. GRATUIT! Et attention, pas un concert avec deux pauvres groupes de lycéens qui viennent nous infliger les trois accords qu’ils arrivent à aligner en croyant être les futures révélations du Metal. Non, l’orga Riot Shows a préféré nous faire venir un groupe culte de Metalcore made in USA. Shai Hulud. Shai Hulud!
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6/10
Bon. Encore un groupe de Death Metal. Je devrais me faire une chronique type pour des albums du genre de « Malevolence ». Il me suffirait de changer les noms, les dates mais le reste ne bougerait pas d’un iota. Il est vrai que Rogash a son petit talent pour mixer un son vieille école avec une approche plus moderne, limite Deathcore, mais si on fait une nouvelle fois abstraction de la forme (comprendre que la production est correcte et que les mecs jouent correctement), il reste un fond qui, lui, n’est pas particulièrement intéressant. Ok, il y a quelques rythmiques groovies plutôt bien senties et le chant guttural a une certaine efficacité. Et alors ? La transition entre l’intro, faussement mystico-symphonique et le premier titre (« To the End ») est complètement foirée avec ce « blanc » qui casse totalement la dynamique souhaitée, le meilleur titre étant finalement « Feed », un instrumental de deux minutes.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6.66/10
Françaises, Français,
Belges, Belges,
Mon frère, ma sœur,
Masseurs, masseuses,
Metalliquiens, metalliquiennes, mets ta liquette (fait pas chaud en ce mois d’avril !)
Mon rédac-chef superbe et redouté, ma rédac’ sous-chef suprême et veloutée, mes collègues gros niqueurs
Public, chéri, mon amour !
Bonjour ma colère, salut ma hargne et mon courroux, coucou !
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 5/10
Chercheurs et savants du 3ème millénaire, an 1, nous avons retrouvé des archives numérisées depuis l’aube de cette technologie disparue depuis. Voici un mémorandum contenant une part de celles-ci…
« Journal de bord du capitaine von Graffenberg, 1er avril 2916.
La musique a dépéri depuis des siècles. La robotisation et la technologie ont pris le pas sur la musicalité et la création à l’ère de l’Astonishing, et l’échec de ce pauvre Gabriel, dont les espoirs de reconquête de l’harmonie ont échoué, a été vanté par un consortium de la planète natale Terre appelé en ce temps le Théâtre du Rêve.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Un groupe allemand qui combine autant les influences teutonnes que celles de la Bay Area dans sa musique, le tout avec une approche très old school – pour ne pas dire eighties – ça a de la gueule !
Sur sa page Facebook, le quatuor se présente comme un grouper de ‘pure true thrash made in Germany’…
Il faut dire que ces six mots suffisent pour les décrire !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Alors là, celui-là, on ne l’a pas vu venir !
Avec un nom qui sonne bien français, avec ce petit quelque chose d’énigmatique, qui aurait pu se douter que ce quatuor formé en 2014 nous vient directement de … Vilnius.
Oui, en Lituanie, s’il vous plait !
Et non seulement on se retrouve avec une formation de black metal lituanien, ce qui quelque part en soi n’est déjà pas si courant que ça, mais Au-Dessus porte bien son nom tellement il se situe… au-dessus du lot !
Voilà qu’ils nous proposent, le temps d’un EP de seulement 30 trop courtes minutes pour 5 morceaux, sobrement intitulés I, II, III, IV et V, d’un post black metal de très haute qualité !
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6.67/10
Il y a des peintres, des danseurs, des musiciens, des compositeurs – des artistes, dirons-nous – qu’on repère de par leur style, resté dans l’histoire comme une espèce de marque notable, un « petit truc» qui les rend reconnaissables entre tous. D’autres sont très volages, plasticiens et consorts ne sachant pas trop sur quelles eaux voguer, expérimentateurs tâtant de tout en tentant de rien, schizophrènes de la création, avec un manque à combler tels des workaholics s’ils n’ont pas une activité prenante ou un message à délivrer par l’art – résilience, quand tu nous tiens… Rogga Johansson fait assurément parti de ceux-là, multipliant ses projets comme les facettes d’une boule, même si à ma connaissance il n’a jamais donné dans le Disco.
Aux peintres, on adresserait un « Accroche-toi au pinceau, j’enlève l’échelle », là ce serait « Accroche-toi à la couleur, je mets un Echelon ».
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Il y en a peut-être qui sont restés scotchés sur l’aube des années 2000 et la vague Neo Métal emmenée par les Korn, Deftones et autreCoal Chamber. Pour ceux-là, les nostalgiques, sachez que si vous êtes passés à côté de l’unique album éponyme de Downthesun, vous manquez un truc qui va vous calciner le calbut.
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