Ce que c’est agréable de pouvoir disséquer des albums, parfois !
Prenez les néerlandais de X-Tinxion par exemple, quintet formé en 2004 et qui sort (enfin) son premier album.
Après deux demos en 2005 et 2006, deux EPs « Act the Injured Innocent » (2010) et « Severed from Heaven » (2015), le groupe nous balance ce « From the Ashes of Eden » qui fleure bon la maturité et la cohésion malgré de (très) nombreux changements de line-up
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Ce qui n’était, à ma connaissance, qu’un side project de Pierrick Valence débuté en 2004 avec « Hate at First Seed » lorsque Scarvelui laissait du temps est depuis devenu un groupe en soi. Ainsi, avec « Scornful of Icons », Phazm en est à son quatrième album, faisant suite aux excellents « Antebellum Death ‘n Roll » (2006) et « Cornerstone of the Macabre » (2008). Du coup, c’est vrai que huit années entre deux disques cela peut sembler long mais j’imagine que les types ont eu d’autres chats noirs à fouetter.
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Photos + texte : Figeur Intemporel
Voilà un mois commençait la grande messe du Metal à Clisson (Loire-Atlantique), Le HELLFEST.
Le record de fréquentation a atteint les 180 000 festivaliers sur 03 jours, soit une hausse de 7%, sur environ 14 hectares, 06 scènes, 03 concerts en même temps de 10h30 à 02h du matin et prés de 150 groupes couvrants tous les styles du Metal, de quoi être heureux dans un décor magique !!!
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Photos : Figeur intemporel
Une fois n’est pas coutume, en attendant les live reports, voilà un florilège d’images d’ambiances du Hellfest.
Entre la déco, le site en lui même et tous les efforts faits par les organisateurs pour que le public se sentent le plus à l’aise possible, il fallait bien montrer que le spectacle n’était pas toujours sur les scènes.
Enjoy !
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Certainement que quand on lui parle de son passé de chanteur dans Journey, Talisman ou même Yngwie Malmsteen – le groupe, hein, pas le guitariste… remarquez, l’idée est marrante – il en rit, Soto – bien qu’il soit d’origines portoricaines et non italiennes – en comparaison avec ce qu’il propose dans son projet éponyme, résolument plus metal, style affirmé dans son deuxième album solo. Allez hop, on enfile ses baskets montantes, v’la du Divak ! (car lui aussi saute haut… Oui, je sais, elle est capilotractée celle-là, mais les fans des Lakers comprendront)
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
En 2002, j’ai acheté cet album juste sur un coup de foudre pour la pochette, complètement extrême et dégueulasse (celle de «Ceremony in Flames » n’est pas non plus). Quand j’ai compris que Wurdulak était le projet Black Métal de Killjoy et Frediablo, les têtes pensantes de Necrophagia, je me suis dit « bonne pioche » et, effectivement, « Severed Eyes of Possession » vaut plus qu’une écoute curieuse.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Malsain !
Si on pouvait résumer cet album en un seul mot, c’est un des premiers qui nous viendrait à l’esprit !
Projet en one-man-band de Lord Sxuperion, boss de Bloody Mountain Records qui a signé le groupe de black metal atmosphérique Garden Of Hesperides et un de ces autres projets Valdur dans lequel il tient la batterie sous le sympathique nom de Matthew, et également derrière les fûts du groupe de black / death metal Weverin, Sxuperion a vu le jour en 1998.
Déjà forts de deux demos en 2003 et 2004, trois EP entre 2011 et 2013, puis deux albums en 2014 (« Through cosmic corridors ») et 2015 (« -EON- »), un split l’an dernier avec Verräter et enfin ce nouveau full length « Cosmic void » de cinq titres pour 35 minutes de violence musicales aux lyrics aimant parler du mal, des ténèbres et d’anti-religion : tout un programme quelque part assez récurrent dans les groupes, formations ou entités du genre.
Le claviériste : « Et moi je fais quoi ? »
Le guitariste : « Bah toi, tu fais la même chose que moi, et tu me suis sur la mélodie »
Le claviériste : « Ok, mais je prends un son d’orgue alors ! »
Le chanteur (qui arrive avec une bière à la main) : « Bon, les mecs, on fait du Thrash ou on s’encule ? »
Le batteur : « Perso, je ferais bien du Thrash ou… »
Le guitariste : « Non ! On avait dit qu’on faisait du Heavy, avec des teintes Black ! »
Le claviériste : « Je croyais qu’on faisait du Prog Rock ? Et toi t’en dis quoi ? »
Le bassiste (posant sa bière sur son ampli) : « Boah, moi j’m’en fous, on m’entendra pas… C’est quoi les cordes, déjà ? »
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6.66/10
« La musique, c’est du bruit qui pense » (V. Hugo). « Je pense donc je suis » (R. Descartes). Prenons ces deux citations et mettons-les en exergue par un syllogisme imparable. Si l’on considère que le Death Metal est une musique bruitiste – si, si, il faut l’admettre, soyons honnêtes – on peut donc considérer que le Death a sa propre conscience de son existence. Si vous avez un Dafalgan, gobez-le vite, on va plancher sur le sujet avec Doomsday Rituals de Centinex.
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