
Texte & Photos : Figeur Intemporel
Retour sur le festival Les Courants 2016 à Amboise (37),
Pour cette 15éme édition, Les Courants nous ont encore proposé une belle affiche ouverte à divers styles musicaux et toujours dans un cadre un peu à part au bout de l’île d’Or .
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Tiens donc, je rentre de vacances avec une tonne de promo en retard, l’une parmi la centaine me réjouissant spécialement… Tiens donc, je ne savais pas que Vader avait/comptait sortir un album aussi tôt, surtout que je n’ai pas entendu le moindre écho à ce sujet. A force de suivre dix mille groupes en fil d’actualité sur les réseaux, on finit par perdre le fil !
J’ouvre ledit dossier, je trouve 4 morceaux… De plus en plus intrigante cette histoire.
Je recompte : oui, oui, c’est bien 4… Bin oui ce n’est que ce truc inutile qu’on appelle EP, la moitié ou le tiers d’un prochain album, qui vous sert de spoiler/pilule bleue, soit pour vous exciter ou vous désexciter… Dans les deux cas, c’est chiant !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Formé en 2010 suite à la réunion de deux ex-Mad Pleasure (Chris Börner et Daniel Brandenburg, respectivement batteur et guitariste) et d’un ex-Chörnyj Woron (Steven Fischer, basse et chant), J.T. Ripper sort son premier album « Depraved Echoes and terrifying Horrors » après une demo (« Death is among us », 2012).
Sorti initialement en octobre 2015 en cassette chez Into Dungeons Records, le groupe se voit signé chez Iron Shield Records pour – enfin – une sortie en CD.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 6/10
C’est tout simple mais ça marche.
L’autre jour, en retapant la maison, on s’est demandés comment il valait mieux peindre les murs. Est-ce qu’on dessinait une fresque avec plein de couleurs ? Après tout, le plafond dans la chambre du petit pourrait, avec quelques reliefs aussi. On hésitait, on s’est dit qu’on ferait bien un mur à effigie de de Winnie pour le petit garçon. C’est vrai quoi, après tout on c’est posé plein de questions.
Les murs sont en blanc (cassé attention), et on a juste mis un pan en bleu histoire d’égayer un peu.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7.5/10
J’en ai rêvé, ils l’ont osé ! Depuis années – plus d’une décade – que j’attendais un featuring d’Yvette Horner avec Cannibal Corpse, j’ai l’équivalent avec le dernier album des teutons de Finsterforst, sans l’artwork sur lequel elle jouerait de l’accordéon avec ses tripes… Allez, #YØLØ !
Oui, vous avez bien lu : si c’est en italique, c’est parce que c’est le titre de l’album ! « Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait ! » et pour le coup, ils osent ! On passe d’une ambiance « voulez-vous slammer, grand-mère » digne des meilleurs bals pogottant du fin fond de la cambrousse à un « Hava Nazgula » de bar-mitsvah jazz metal… Z’ont bien changé les guinguettes de nos jours, non ? Marche dans la Forêt Noire du pied gauche, ça porte bonheur ! Faut croire qu’ils se sont aussi laissé influencer par leurs compatriotes de Berlinski Beat par moments…
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Le Label Finisterian Dead End est fier et honoré de vous présenter Abduction, 20e et talentueux groupe de son roster !!
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Heureusement qu’on ne se fie pas à la pochette d’un album pour l’écouter voire l’acheter parce que cet EP d’Astrophobos risquerait de passer méchamment inaperçu !
Formé en 2009, le trio suédois a déjà, avant « Enthroned in flesh », un autre EP à son actif (« Arcane secrets » en 2010) et un album (« Remnants of forgotten horrors » en 2014) et confirme avec cette nouvelle offrande son black metal mélodique fortement influencé par le Dissection de « The somberlain » / « Storm of the light’s bane » et par le Dawn époque « Slaughtersun (Crown of the triarchy) »
Clairement, Astrophobos ne révolutionne rien avec cet EP, loin de là : on se prend quatre petite raclées de black metal mélodique bien senties dans la poire de façon ultra classique mais toujours aussi efficace.

Note du SoilChroniqueur (RGeneral): 5/10
Pas évident de tenter de sortir son épingle du jeu ou de révolutionner un style old school….
Si tel était le but de Dark Forest, eh bien je dirais que, pour moi, c’est raté!
Faire dans ce que je qualifierais de folk/epic/happy metal, c’est bien joli, mais il me semble que, compte tenu du style, il eut été de bon aloi de ne pas négliger moult paramètres pour, à redire, y trouver le moins possible…