Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10
Il y a ceux qui veulent à tout prix rajeunir, voire vivre leur adolescence tardivement comme In Flames, changer de coupe de cheveux et devenir des hispters – tant qu’ils continuent de sortir de bons albums, je m’en fous -, et ceux qui ne veulent rien changer et rester fidèles à eux-mêmes et leur son d’origine comme Dark Tranquillity. Après avoir expérimenté un nouveau son et styles dans « Construct» (2013), leur dernier album en date que beaucoup d’entre nous avaient du mal à apprécier du premier coup, voilà que DT revient aux origines (tout le reste de la discographie) avec ce « Atoma ». D’abord, parce que Mikael Stanne retrouve sa belle voix de méchant et growle de nouveau sur la quasi-intégralité de l’album (ouf, parce que je n’aime pas son chant clair), mais aussi parce qu’« Atoma » est bien plus séduisant que « Construct ».
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 4/10
Je veux bien admettre qu’il en faille pour tous les gouts, et que ça ne se discute tout autant que les couleurs (de mouche), mais de là à troquer la veste en cuir cloutée pour une tenue de Lapin de Pâques avec des clochettes, j’ai mal à mon Metal. Allez, on entre dans le monde féérique et rose bonbon d’Amaranthe et leur 4ème album, Maximalism.
Lire l'articleBehemoth + Mgla + Secrets Of The Moon (Lyon, Le Transbordeur, 28 octobre 2016) ...
par Metalfreak
Live Report : Valquest
Photos : Metalfreak
Après leur concert en 2014 au CCO, Behemoth est de retour à Villeurbanne au Transbordeur ce 28 Octobre 2016 en compagnie de Mgla et Secrets of The Moon pour un concert qui affiche complet.
Avec la sortie de The Satanist (2014) qui est ni plus ni moins qu’un chef d’œuvre de noirceur et de puissance de la part de Behemoth , il me tardait de voir tout le potentiel du groupe en live . Mais commençons d’abord par Secrets of The Moon qui fait son entrée.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Ils nous viennent de Saint-Etienne, se sont formés en 2004, ont sorti une démo en 2006, un premier album « Creepy Feelings » en 2010 et remettent enfin le couvert cet automne avec ce « The Scepter » de onze titres (dont une intro) pour trois quarts d’heure de thrash bien furieux.
Voilà pour les présentations.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7/10
Ô comment je sature du Hard Rock et à quel point je ne suis pas inspirée quand il s’agit de chroniquer des albums de ce style (on l’est quasi tous chez Soil d’ailleurs), car s’il y a bien un domaine où il est très difficile d’innover de nos jours, c’est bien celui-là. Eh oui, tout a été fait, et les groupes n’ont plus rien à faire que de faire un patchwork de ce qui a été fait – oui, je redonde -, ensuite ils se plaignent qu’ils ne vendent pas assez et font la manche aux fans en pleurnichant sur leur sort… Non mais les gens, il faut arrêter de vouloir (re)faire et réinventer le Hard Rock ! (Enfin, si on commence à parler comme ça, on pourrait dire de même en ce qui concerne le Thrash ou le Black).
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
« Killing fast », qu’ils disent !
Il faut le reconnaitre, ces mecs sont des tueurs et vu la longueur des morceaux, ils vont droit à l’essentiel, sans la moindre fioriture, à une vitesse hallucinante !
Donc oui, « Killing fast », c’est une belle description de ce que l’on peut entendre sur cet album.
Trente-trois minutes réparties sur 13 titres, seuls trois titres dépassant la barre des trois minutes, c’est dire si le quatuor allemand ne s’embarrasse pas de superflu : titres hyper speed, sorte de crossover/thrash mâtiné d’un rien de rock ‘n’ roll histoire de se donner un petit relief en plus. Ils sont allemands mais leur thrash metal old school est typiquement américain, un peu comme si Megadeth ou Metallica avaient envie de se la jouer Suicidal Tendencies de la première heure ou DRI.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
En avril de cette année, si vous étiez amateurs d’Ulcerate, Gorguts, Portal voire un Blut aus Nord dans ce qu’il a de plus extrême, vous n’avez pas pu passer à côté de Zhrine, un quatuor islandais sortant son premier album « Unortheta ». Pourquoi vous n’avez pas pu le manquer ? Tout simplement parce que, dans ce registre obscur et chaotique que l’on affectionne tant, les types ont frappé fort, de suite.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 5/10
Faire une chronique, c’est tenter de rester neutre… mais aussi et surtout concentré. Or, difficile de faire celle de Burning Black, une fois que j’ai eu écorché le titre de leur EP, Flag of Rock, en « Fraggle rock ».
D’autant plus difficile d’enlever de ma tête le générique de l’émission créé par le papa des Muppets, Jim Henson, que j’y avais également Animal en train de brailler « mana, mana » en faisant la partie de batterie.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Bon, « rectal », je ne vous fais pas un dessin. En revanche, peut-être y en a-t-il parmi vous qui reste dubitatif devant le terme « smegma », auquel cas je vole prestement à votre secours : « Dépôt blanchâtre apparaissant sur la vulve ou le gland, le smegma est une substance produite de manière naturelle par l’organisme. Sa présence ne traduit pas nécessairement un défaut d’hygiène et il joue un rôle important pour l’équilibre des zones intimes. » Suite à cette définition claire et concise, une question demeure : comment le smegma s’est-il déposé sur la rondelle ? Je vous laisse cinq minutes pour y réfléchir.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10
Alors là, celui là, il vaudrait mieux ne pas passer à côté.
La France fourmille de talents incroyables dans le metal extrême, qui nous composent des albums pour le moins fabuleux, mais dans le cas de ce « V.I.T.R.I.O.L. » de Pénitence Onirique, on atteint des sommets.
En cinq longs chapitres, Penitence Onirique nous emmène dans un long voyage méditatif où tout n’est qu’onirisme et mystères, à commencer par le nom du duo.
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