Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Con que je suis, j’ai cru à un nouvel album alors qu’il ne s’agit que d’un bon vieux plat réchauffé.
Cela dit, ça a parfois du bon de faire réchauffer les aliments. Regardez la daube, de taureau notamment : plus elle cuit et recuit, meilleure elle est, si bonne qu’avec le porc au caramel « façon grand-mère » du Sarawan, avenue d’Ivry (paris), c’est un des rares plats que je pourrais manger matin midi et soir.
Lire l'article
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 9.5/10
Le coup de foudre (merci Thor) dès la première écoute, dès les premières secondes du sublime « Athens », une belle entrée en matière !
Plus on écoute des albums de Metal, plus notre degré d’exigence augmente. Il faut dire que la scène metal grouille de banalité, et que nous, chroniqueurs, devenons des chasseurs de pépites. J’arrive à en capturer une ou deux par mois parmi des centaines. Pour décembre, voici ma découverte : la formation française Cancel The Apocalypse qui nous offre un album très original que je classerais dans l’avant-garde (ou « post metal acoustique » comme ils se considèrent). Leur secret : adieu (ou asatan) la guitare électrique, bonjour les guitares (électro) acoustiques aux différents accordages en fonction des morceaux pour plus de richesse sonore et ses mille-et-un arpèges que les groupent délaissent.
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 5/10
Ça y est : Napalm a un Epica-like dans son écurie, en la « personne » de Diabulus in Musica. Leur quatrième et dernier album en date, Dirge for the Archons, en est la démonstration flagrante.
On ne va pas s’étendre : si vous aimez Epica dans la période Divine Conspiracy/Design your Universe, vous aimerez cet album des espagnols, avec moins de growl et un peu plus d’inserts électro.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Purée 30 ans ! A ce rythme là, on va finir par avoir plus cher de bougies que de gâteau !
Et tant qu’à faire, on fait plaisir aux fans.
Un petit EP, quatre titres réenregistrés pour un petit quart d’heure histoire de montrer ce que Witches a dans le ventre en 2016.
« Silly symphony » de la première démo du même nom (oui, je sais, tu n’aimes pas le mot ‘éponyme’ !) de 1988, « In the Name of God » de la deuxième démo (qui s’appelle ? mmmh ?) de la même année, « Lessive aggressive » et « Thrashing Witches » de « Aggressive Soap » (1989).
Voilà qui ne nous rajeunit pas !
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6/10
Mon écoute et analyse de Calea du groupe roumain Ashaena m’ont confirmé que je n’étais vraiment pas amateur de folk/pagan, quelle que soit la mixture métallique avec laquelle on tente de le fondre. Cet avis et chronique seront donc très subjectifs : aux lecteurs mécontents, je m’en bats la cornemuse, une chronique étant un avis et n’ayant pas vertu de vérité absolue.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
S’il y a ici des férus de Drone Doom glauque et anxiogène, ils feraient bien de ne pas passer à côté de cette réédition de « Misere Nostri ». En effet, si Mhonos m’a tout l’air d’être un groupe au succès relativement confidentiel, il mérite amplement que l’on s’y intéresse tant sa musique ritualiste est qualitative.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Mesarthim est un obscur duo Australien pratiquant un black metal atmosphérique et spatial, formé par deux personnes ayant un point pour pseudonyme.
Pourquoi pas…
L’intérêt se portant sur la musique, à la limite, on préfèrera parler de l’atmosphère “space black metal”, à savoir très axé sur les ambiances aux claviers.
La guitare fait office d’un mur de bruit, omniprésent, à la manière d’un Elffor, d’un Darkspace ou Battle Dagorath, et c’est un clavier pour le moins hypnotique et hypnotisant qui, principalement, donne la thématique générale du morceau.
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6.65/10
« Winter is coming »… Inéluctablement… Et comme philosophait cette fameuse chanteuse théologienne avec deux cerveaux proéminents : « Il m’en a fallu du temps pour pouvoir trouver ma place. » Je me suis trouvé face à cette même situation pour trouver la place où parler de Vanity unfair de Nerodia.
Si j’avoue avoir apprécié à sa juste valeur, pas actuelle, ce jeu de mots qui a titillé mon cortex de papier glacé, j’écoute cet album depuis juillet, sa date de parution, sans trop savoir quoi en dire. En parler en automne semble adéquat, puisqu’avec le recul, il me parait toujours aussi morne que la saison aux feuilles mortes qui se ramassent à la pelle.
Lire l'article
Note du SoilChroniqeur (Arno) : 4,5/10
Je n’ai déjà parfois pas grand-chose à dire sur des disques que j’aime, les jugeant si évidemment bons qu’il me semble superflu de devoir le préciser aux masses ignorantes, alors je ne vais pas me mettre en quatre pour évoquer un truc aussi quelconque que la tambouille Thrash Métal proposée par Nuclear Detonation qui, en termes d’explosion, tient plus du pet aux fayots que du radioactif.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Je ne sais pas pourquoi, dès que je vois un groupe avec un nom qui finit en « or » ça me fait marrer. Protector, Desecrator, Penetrator, aujourd’hui Aggravator qui a pour influence principale, et plutôt flagrante, les vieux Kreator (en gros jusqu’à « Coma of Souls »). Des Texans qui font du Thrash à l’allemande, j’ai rien contre.
Lire l'article