Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10

Ah la la… Dire qu’on a raté la fin du monde le 21 décembre 2012… Rassurez-vous, pour les déçus : une prochaine séance est prévue courant octobre de cette année ! Quoiqu’il en soit, ce n’est pas une des manières évoquées dans 7 Ways to die, deuxième EP du quintette corrézien Stillborn Slave.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Qu’il est bon de changer de temps en temps de style en laissant de côté tout ce qui est thrah, black et death metal pour s’intéresser à des groupes un peu plus lents. Parce que bon, c’est vrai, la vitesse, c’est mignon un temps ! De temps en temps, la lenteur a du bon : savoir prendre son temps et faire monter tranquillement les plaisirs, toute femme adhèrera à ce principe !

Musicalement aussi : pour le coup, savoir se faire plaisir sur du doom metal on-ne-peut-plus classique, même si on ne va pas arriver forcément à un déglaçage au foutre (merci G. Proust pour ces quelques mots de poésie romantique), on peut clairement affirmer que se prendre les sept titres de cet « Ironclad » entre les oreilles va permettre de passer 43 belles minutes de metal à la lenteur pachydermique et à la lourdeur abyssale !

« Si tu ne viens pas au Hellfest, le Hellfest viendra à toi ! »

En partenariat avec le Jack Jack, nous avons le plaisir d’accueillir sur Lyon le WARM-UP RIDE HELLFEST 2K17 ! On vous donne rendez-vous mardi 16 mai 2017 pour cette soirée très spéciale !

Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 8,5/10

« Corbeaux a passé un cap. »

C’est ce que je me suis dit quand j’ai ouvert le colis contenant Kind Words. Rien qu’à sa vue, avant même de l’écouter. Vous savez, c’est ce genre d’album qu’on peut acheter sur un coup de tête en magasin, sans savoir ce qu’il contient, juste pour avoir la satisfaction de poser l’objet sur ses étagères. Une enveloppe épaisse cartonnée noire et argentée dans laquelle on trouve le livret – dont vous retrouvez l’artwork ci-contre – contenant le CD et une surprise pour ceux qui connaissaient le groupe, puisque les crédits nous informent que Mickaël Pochet et Mathieu Crétier, en plus de la guitare et de la basse, s’occupent dorénavant du chant.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9/10

Accorder du crédit à Max Cavalera qui affirme que « Sepultura sans lui n’a proposé aucun bon album » sera juste chier à la gueule de leur dernier opus Machine Messiah.

Car cet album est très bon et loin de se conforter dans la facilité ou dans le déjà-dit de la part du groupe. Assurément si l’on en reste à la dernière production du groupe et le virage tribal qu’a pris Max avec Roots en 1996, puis en créant Soulfly, cet album de son point de vue pourrait être la pire des merdes. Étant donné que leur querelles de chapelles, justifiées ou non, ne regardent qu’eux (et je suspecte même que ces enfantillages n’aient pour vocation que de créer du buzz pour une sortie d’album), on va allègrement s’en foutre et parler de cette putain de musique, variée que propose ce nouvel album de Sepultura, sans les frangins Cavalera mais avec Derrick Green au chant et Eloy Casagrande à la batterie.

Live report + photos + vidéos : Bloodybarbie

Psykup reviennent enfin avec un nouveau single annonciateur d’un album à paraître au printemps, ils s’expliquent rapidement :

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Puis-je sincèrement dire du mal d’un groupe dont les dernières mesures de l’album sont, en français, une de nos plus charmantes chansons paillardes, à savoir : « L’avion, l’avion, l’avion, ça fait lever les yeux / La femme, la femme, la femme, ça fait lever la queue » ? Et bien non, je m’y refuse.

Il faut dire que Cumbeast est le parfait exemple de tout ce que le Death Métal sait développer en termes de mauvais goût. Des pochettes immondes, des titres rocambolesques (« Vulgar Display of Genitalia »), du brutal à tous les étages. Mais loin d’être aussi basique que les Finlandais veulent le laisser croire, leur style sur « Straight outta Sewer » est plutôt intéressant.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Hier soir, je me suis pris un skud de la part d’un môme de quinze ans à peine. Tu sais, ce genre de cassage en direct qui te fait perdre tout sens de répartie : en moins de temps qu’il faut à Hanouna pour se rendre toujours plus détestable, ce petit con m’a mis KO en l’espace de quelques phrases à la logique déconcertante !
Parlons-en, de ce môme, qui commence à se sentir des ailes alors qu’il a deux poils de moustache tous les six mètres et que j’ai connu alors qu’il ne savait pas encore marcher.
Parce qu’on en a écouté des albums de thrash, son père et moi, on s’est pris quand même « Bonded by Blood » et « Show no Mercy » en pleine poire alors qu’on avait… l’âge qu’il a maintenant ! Putain, trente ans… même plus !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9/10

L’association d’Aidan Baker (Nadja, ARC) et de Tomas Järmyr, batteur freelance, pouvait difficilement sonner autrement que du pur Drone, et il en est bien ainsi sur ce double album qu’est « Werl ». Totalement instrumental et parfaitement expérimental, le duo repousse les limites du style pour atteindre une espèce de perfection, une alchimie aussi étrange que réussie.