Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10

Formé en 2008 et ayant une particularité assez rare de n’avoir jamais change de line up, le trio helvétique FreaKings officie dans un thrash metal old school relativement efficace, certes classique, mais à l’agressivité de tous les instants ! Clairement, ça ne rigole pas : FreaKings ne connait pas le mid tempo et nous exécute à vitesse grand V onze titres percutants, relativement courts, ne dépassant que rarement les quatre minutes, aux riffs incisifs au possible, soli rapides et au tempo restant désespérément ancré dans le full speed.
Troisième album après “No way out” (2011) et “Gladiator” (2014), ce “Toxic End” s’inscrit lui aussi dans la veine old school du genre où seule prévalait l’urgence et l’envie d’en découdre.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 9/10

Une bonne dose de Heavy Metal en-veux-tu-en-voilà !

S’il y a bien un domaine nouveau dans l’univers du Heavy Metal, c’est l’Heroic Fantasy. Quoi de mieux pour cette musique forte que la chevalerie avec des épées pour remplacer les guitares, quel animal mythique autre que le Dragon ne peut mieux représenter la puissance ?

Heureusement que Bloodbound y a pensé…

Interviewer : Willhelm von Graffenberg
Interviewés : The ARRS
Photos : Sunickann

Interviewer : Willhelm von Graffenberg
Interviewés : Primal Age
Photos : Sunickann

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 3/10

Bon allez, je vais spoiler directement – vu que je vais perdre… hum « passer » plus de temps à donner des détails sur le groupe qu’à vous vanter l’intérêt incommensurable de vous le procurer – : j’ai pris davantage de temps à chercher des différences entre Dark Passion Play de Nightwish et Lost in forever de Beyond The Black, groupe qui est censé m’intéresser aujourd’hui… enfin probablement vous plus que moi, qu’à y trouver l’originalité que je cherche encore dans ce clonage édulcoré…

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

 
Ils reviennent !

Deux ans après un EP prometteur, « Toxic Mutation », qui proposait un thrash metal certes efficace mais qui manquait un tout petit peu de personnalité pour ne pas faire partie de la longue liste des groupes de thrash old school qui ressemblent comme deux gouttes de bière à une autre formation du genre, Holycide remet le couvert avec son premier full length « Annihilate… then ask ! », avec le même line up !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Quand les membres du groupe de death/thrash metal Necromancer forment un groupe de heavy metal avec un autre batteur, ça donne Vultures Vengeance. Formé en 2009, le quatuor Italien sort une démo (“Rising”) en 2015 et cet EP “Where the Time dwelt in” à l’automne 2016.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Moi quand je vois qu’un groupe vient de Bayonne, par pur chauvinisme, je suis tenté de mettre immédiatement 10/10.

Parce que ça fait réellement plaisir de voir que le nombre de formations issues du Pays Basque est en train de grossir, avec systématiquement de la qualité à la clé.

A l’annonce faite par Sainte ombre, ce sont les premiers mots qui me sont venus.
Ce groupe si généreux et talentueux qui m’avait mis une claque formidable à Nantes avec Bel’O’Kan, et qui ensuite nous a fait rêver avec un « Contes et châtiments » en 2010, qui a continué après avec un énorme « Cornélia… » publié en 2013 et qui, bien entendu, entre temps, a enchaîné les concerts… m’avait invité lors d’une date. J’avais remercié le groupe pour l’invitation mais avait décliné l’offre.

Live report : Willhelm von Graffenberg
Photos : Sunickann

Reuno aurait prononcé cette saillie restée légendaire lors d’un concert de Lofofora : « Gisors, est-ce que tu bandes encore ? ».

Si la question mérite débat, tout a été mis en œuvre pour ce premier Gisors Metal Fest pour que turgescence il y ait.
La Salle des Fêtes de Gisors, c’est pas l’Elysée Montmartre…

On s’en doute…