Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Il y a des labels desquels on sait d’avance à quoi s’en tenir : High Roller Records nous signe régulièrement de groupes à l’esprit old school pour le plus grand plaisir des nostalgiques de la période fin seventies – mid eighties et ce n’est pas avec Screamer que la donne va changer.
Formé en 2009, le quatuor Suédois, après une démo cette même année (“Never going down”) nous envoie déjà son troisième album après “Adrenaline Distractions” (2011) et “Phoenix” (2013).
Deux singles en 2013 et 2015 et voilà ce petit “Hell Machine” qui fleure bon le heavy metal old school et la NWOBHM.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Déjà, je ne vous infligerai pas un cours sur Gilles Deleuze. Ce serait une façon bien pédante de meubler une chronique mais les choix du trio colombien de Corps-sans-Organes ont de quoi surprendre car, oui, les mecs ne sont pas Français.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9.9/10
Vous aimez les grosses orchestrations épiques de Fleshgod Apocalypse ? Vous aimez la lourdeur du Death d’Amon Amarth ? Vous aimerez assurément The immortal Wars d’Ex Deo.
Fleshgod Apocalypse a ses thématiques (les « the », la mythologie grecque, la royauté), Amon Amarth a ses vikings et sa mythologie scandinave, Ex Deo a également sa thématique : l’Antiquité romaine (ses victoires, ses défaites et – comme ma bite – son histoire). C’est simple, vous avez entre les oreilles la BO d’un péplum boosté à la distorsion, plus balaise que Deux heures moins le quart avant Jésus Christ (avec tout mon respect pour ce film culte de Jean Yanne) : le légionnaire va transpirer sous sa cuirasse ! (« un seul remède : Schlingus ! »).
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8,5/10
Du bon Heavy qui colle ça vous tente ? Si Abba faisait du Metal ? On les appellerait Battle Beast.
Attention ceci est loin d’être une critique : il est vrai qu’un amateur de veste à patch et bière n’aime pas forcément le disco… Mais il faut quand même remarquer que leur refrains avaient le don de vous rester en tête, des mélodies de claviers qui – on ne sait pas pourquoi – vous font rouler des épaules…
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