Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10.
Superbe, il n’y a pas grand-chose de plus à dire de ce nouvel album de Thy Catafalque. Meta (2016) et Sgùrr (2015) m’avaient déjà époustouflé, le seul reproche que je pouvais leur faire alors étant parfois l’aspect décousu de certaines compositions, toujours très ambitieuses, mais Geometria est d’une homogénéité parfaite, approchant la perfection.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Six titres d’à peine trois minutes, dix-neuf minutes au total. Voilà un petit EP de pur Thrash Metal old school qui mérite au moins d’exister.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 7,5/10.
Écouter un album sur lequel une seule personne joue tous les instruments est souvent un quitte ou double quant au contenu musical. En s’apercevant, en plus, que cette même personne a composé, enregistré et mixé ledit album, l’envie de remettre l’écoute à plus tard se fait sentir.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 10/10.
Comme attendu de ce groupe qui n’a jamais déçu ses fans, Amorphis nous livre son treizième chef-d’œuvre Queen of Time.
Note du SoilChroniqueur (Forlorn) : 7,5/10.
Ce qui s’avère être le plus intéressant n’est pas ce que nous avons là en soi, mais plutôt comment nous en sommes arrivé là. Godsmack, dans l’industrie musicale, c’est pas n’importe qui. Groupe créé depuis 23 ans à ce jour. Presque tous leurs albums se sont faufilés pour plus ou moins de temps en numéro 1 des ventes aux USA. Quand on parle de métal traditionnel, le nom de Godsmack finit toujours par être cité et c’est rarement en mal et, franchement, c’est pas pour rien.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 7,5/10.
Children of the Reptile signe son second album, The End, chez Lords of Metal. Cette formation de Caroline du Nord âgée de neuf ans avait sorti en auto prod un EP, Manifesto of the reptilian Agenda, en 2012, suivi d’un premier album, Children of the Reptilian, en 2013, puis The four Weapons EP en 2016.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Il y a des “pattes” identifiables entre mille. Un simple coup d’œil sur l’artwork de cet Unleashed upon this World des Chemicaust, avec ces tronches zombiesques desquelles un œil aime bien dire merde à l’autre, avec quelques gaillards sympathiques casqués, en armes et masques à gaz prêts à jouer à World War Z, et bim : on sait que si Ed Repka est de la partie, on va avoir droit à un album de Thrash Metal, de Death Metal ou de Thrash/Death Metal, de préférence old school.