Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Les revoilà ! Deux ans après leur premier album Coming to your Town, Ruins vient enfoncer le clou (rouillé) avec treize nouveaux titres pour le moins apocalyptiques. Panzer Squad ne fait pas dans la dentelle, on le savait, mais leur Thrash Metal extrême, qu’on peut apparenter à un Protector sous amphétamines, désosse tout être vivant à des kilomètres à la ronde.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 10/10.
Cast the Stone est une formation de Saint Louis, active depuis 2002. Le groupe est fondé par Mark Kloeppel, guitariste qui officie également chez Misery Index qu’il rejoint en 2006.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Définitivement, je vais finir par émigrer dans les contrées d’Amérique du Sud tant ces pays sont les berceaux de formations on ne peut plus evil pratiquant un Black/Death Metal passéiste au possible et restant englué dans une musique crasse sans la moindre concession, ce genre de groupe qui n’a que mépris et irrespect de la Chrétienté, blasphématoire à en provoquer des AVC aux âmes bien pensantes des associations catholico-prout-prout qui iront surement de leurs petits commentaires qui provoqueront des fou-rires à… à peu près tout le monde !

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
Jeune formation californienne de 2017, Graven Maul sort sa première nuisance sonore en indépendant le 12 janvier dernier sous la forme d’un EP, puis le label Redefining Darkness Records le réédite ce mois de juillet.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 7,5/10.
Actifs depuis 2016, les Californiens d’Extremity font paraitre cette année Coffin Birth sous le label 20 Buck Spin, un an tout juste après leur premier EP Extremely fucking dead. Leur Death Metal n’est en rien avant-gardiste, il reprend la bonne ou les bonnes vieilles recettes qui ont permis de nourrir bon nombre de hardos avides de Metal extrême dans les années 80 jusqu’à 90.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Il n’y a pas si longtemps, un bon camarade me remettait en place alors que je lui affirmais que je considérais Madball comme faisant partie de la seconde division du Hardcore. C’est vrai qu’en termes de charisme, d’attitude et de représentativité, le groupe incarne tout l’esprit new-yorkais mais, musicalement, je trouve que la formation a tout dit dès ses débuts en 1994 avec Set it off.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Je trouvais le nom du groupe vraiment craignos mais, attiré par le logo illisible et la pochette à l’ancienne, j’ai succombé à Manor of infinite Forms, deuxième album des Canadiens de Tomb Mold.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10.
“L’abomination est de retour”. Une chose est sure, depuis 2011, elle revient périodiquement !
Pensez donc :
– 2013 : un split avec les death/thrashers chiliens de Ripper (South American Thrash Death Assault)
– 2014 : un EP promo, un EP (Revenge, comprenant une reprise du “Reaper” de Bathory) et un premier full length (Ejecución en nombre de su Dios) qui reprend tous les titres déjà sortis avec quelques nouveaux.
– 2015 : un nouvel EP, Diabolical Ectoplasm.
– 2016 : deux splits albums avec Vomit of Doom (Invocations from the Abyss) puis avec Indomitor (Death Temple, comprenant une reprise “Morbid Visions” de Sepultura).
– 2018 : ce nouveau full length, Solve et Coagula, avec six titres déjà parus précédemment et six nouveaux.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Récapitulons : un groupe belge qui arrive à faire sonner du Death Metal old school à la Suédoise comme celle de l’école US. En voilà un programme ! Que ce soit le logo, l’artwork, et l’attaque des riffs sous accordés, on nage dans les eaux des premiers Entombed, Dismember, Unleashed, Grave… avec un chant proche des Cannibal Corpse, Jungle Rot ou autre Suffocation. Quant au niveau technique, rien à redire ! Tempo principalement rapide, batteur multibras, chant guttural et possédé, on a la totale : un vrai retour de 25-30 ans en arrière.

Note du SoilChroniqueur (Le Reverend) : 9/10.
Après un psaume sur l’occulte, un autre célébrant l’avènement du diable et cinq degrés d’insanité éructés tels des Tables de Loi, les Lyonnais de Cult of Occult nous reviennent avec un nouveau cantique noir, Anti Life.