Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10.
Sous un patronyme pareil, on était en droit de s’imaginer ce groupe comme provenant d’une contrée asiatique comme la Chine ou le Japon : je t’en foutrais, ce trio vient de Frösön… en Suède. Bref, 偏執症者 (« Paranoid » en japonais) brouille les pistes et nous met en adoration devant l’inventeur du copier-coller.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Nos amis Alsaciens vous le confirmeront : de l’autre côté de la frontière Sud-Alsacienne, la distance séparant Lörrach de Weil am Rhein n’est pas énorme, à peine six kilomètres… C’est dire si les accointances entre le Necronomicon originaire de la première ville et le Destruction de la deuxième sont nombreuses.
Note du SoilChroniqueur (Kenpachi) : 9/10.
Le Deathcore, ce genre musical longtemps critiqué, que beaucoup pensent essoufflé, qu’une multitude n’a de cesse de présenter comme un effet de mode éphémère pour adolescent en manque de sensations, qui voient le genre mort, ou du moins à son dernier souffle… Encore un énième album qui déplaira ? Certainement pas !
Photos + report : Metalfreak
Qu’on se le dise une bonne fois pour toute en début de chaque journée de ce report mais il a fait une putain de chaleur pendant les trois jours du premier weekend d’août pour cette nouvelle édition du Sylak.
Ce festival qui gagne en crédibilité d’année en année nous a encore offert trois jours de pure folie, bien loin de la dimension surhumaine d’un Hellfest, mais qui, même en se cantonnant à 10.000 entrées, a fait sold out.
C’est dire si les habitués s’y sentent bien, et si les nouveaux arrivants ont envie de revenir.
Note du SoilChroniqueur (Berkaïal) : 8,5/10.
Plus de dix ans après leur entrée tonitruante et après 2 EPs de fort belle facture, les montagnards de General Cluster livrent avec Greetings from Black Mountains leur premier véritable album. Véritable hymne à leur Chartreuse d’origine (« Mountains »), l’album fait la part belle aux riffs accrocheurs, croisant influences country et southern rock avec le Stoner énergique qu’on connait aux Grenoblois.
Note de la Soilchroniqueuse (Balkiss) : 8,5/10.
Quel est le point commun entre la Garonne et le Mississipi ? Ce sont deux fleuves qui finissent leur course dans le Sud. Et quand le Metal de ces deux sud s’accoquinent, c’est que l’on a à faire à Hell in Town ! Le groupe bordelais distille un Metal sans nom, un peu comme une gnôle fabriquée avec des ingrédients divers et variés mais qui a fort bon goût, comme une cuisine pas mal épicée qui rappelle ses origines sudistes.
Report + photos : Metalfreak
Avant toute chose, il faut que je partage ce qui m’a fait chaud au cœur, mais d’une force…
Comme tout père, dès qu’un petit évènement touche un tant soit peu son enfant, on ressent une fierté immense.
C’est comme ça, on est parent ou on ne l’est pas. Mon fils Lilian est ma plus belle histoire d’amour depuis 2007, et la complicité qui nous lie me touche au quotidien.
Alors de voir que ce petit Loulou d’onze ans à peine m’accompagne à des concerts et a chopé le même virus que moi dès qu’il s’agit de prendre des photos d’artistes, c’est déjà un pur bonheur…
Mais alors lorsqu’on va saluer un groupe que j’aime depuis que j’ai à quelques années près l’age actuel de mon fils – depuis « Raging violence » (1985) pour être précis – et que le chanteur Katon W. De Pena partage son émotion de voir un père et son enfant être fan de son groupe, c’est indescriptible…
Autant dire que, rien que pour ces quelques minutes, ça valait le coup de faire l’aller-retour de Grenoble à Lyon !
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Note du SoilChroniqueur (Le Révérend) : 9/10.
Où on ne va pas parler ici de Robert E.Howard, de John Milius et encore moins d’un acteur bodybuildé… Non, on va parler de musique, quoique tout aussi peu civilisée que le barbare Cimmérien ! Le trio anglais a su en une petite décennie se hisser en véritable patron d’un Doom monolithique où la voix n’est plus qu’une plainte lointaine derrière un rideau sonore d’une lente lourdeur sans nom.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Il faut reconnaitre que ce n’est pas le cas de tous les groupes mais peu de groupes peuvent se vanter, en cinq ans d’ancienneté, d’avoir sorti trois albums et un EP, tous de qualité supérieure.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6/10.
Pas de bol, Foscor poursuit avec Les Irreals Versions la voie quelque peu insipide que j’avais décrite en ces pages lors de la sortie de Les Irreals Visions (2017) : un Dark Métal (moi je parlerais plutôt de Pop sombre) fait uniquement de doux arpèges et de voies claires, de piano et de langueur d’où les grosses guitares sont totalement absentes.