Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10.
La formation allemande Mindreaper est active depuis 2001. 2006 voit la sortie de leur première démo, Fatal Melodies, suivie trois ans plus tard par un EP, Absolute zero. Leur premier album Human Edge (… to the Abyss) parait en 2012 et une seconde démo en 2015, Demo 2015. Ce mois de juin voit l’arrivée du petit dernier, Mirror Construction (… a disordered World), mixé et produit par Andy Classen, ex-Holy Moses et actuellement producteur à plein temps. Son Stage One Studio et ses doigts de fée ont vu passer, outre Holy Moses, des groupes comme Tankard, Rotting Christ, Asphyx, Nervosa, Krisium, Crisix ou encore le groupe allemand à abattre Eisregen. Tout ça pour dire qu’Andy Classen n’est pas un manchot et que l’album qui nous intéresse, Mirror Construction, aura au moins le mérite de ne pas souffrir d’une mauvaise production.
Le Up in Smoke, organisé par Sound of Liberation, et se déroulant dans la mythique salle du Z7, vient d’annoncer les 5 derniers noms de son affiche, dont les Suédois Witchcraft pour un show exclusif, avec leur doom rétro. Les vétérans californiens Farflung qui vont allumer le fest avec leur space-rock, ainsi que The Well, Glanville, The New Death Cult.
Cela s’ajoute à un line-up qui comporte déjà Electric Wizard, Kadavar, Acid King, Dopethrone, Ancestors et une bonne dizaine d’autres !
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ÉVÉNEMENT MUSICAL EXCEPTIONNEL ! DATE UNIQUE EN FRANCE !
C’est Samedi à FONTAINE La Source !
KIP WINGER à Grenoble ! An Acoustic Night…
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Il y a parfois des coïncidences assez cocasses. Je viens juste de terminer la chronique de Witchfyre, vantant les mérites du groupe de par sa capacité à nous reproduire une musique très NWOBHM avec un talent qui frôle l’insolence et j’enchaîne avec ce premier album full length d’Iron Hunter, après un EP Killing Machine de 2017.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
Il y a deux ans, Existence is Horror m’avait laissé plutôt septique. Je reconnaissais l’efficacité des compositions mais également leur manque d’originalité, problème qui en faisait selon moi un album à l’espérance de vie plutôt limité. Cependant, comme j’ai lu dans bon nombre de magazines que Future Cult propulsait le trio américain dans des sphères d’inspiration seulement fréquentées par l’élite, que les compositions renouvelaient complètement le style Black Sludge, etc., je ne pouvais que m’intéresser à ce prétendu OVNI.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9,5/10.
Depuis que j’ai découvert P.H.O.B.O.S. en 2005 avec le premier album Tectonics, je suis la carrière du Français avec la plus grande délectation.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10.
Même si les portugais ne brillent pas par leur Metal prog, ils peuvent nous surprendre de temps à autre comme l’a fait Shell from Oceanic avec son deuxième album purement instrumental How to let go.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
J’avais déjà dit en ces pages tout le bien que je pensais (et pense encore d’ailleurs) de l’album précédent des Français de Decline of the I, Rebellion, il en sera donc de même pour le dernier en date, Escape, censé clôturer la trilogie basée sur les travaux du neurobiologiste Henri Laborit.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10.
Plutôt sympathique, l’idée de Great Dane Records que de remastériser l’unique album d’Heksen sorti il y a deux ans de ça, et de l’agrémenter de trois titres bonus (deux nouveaux titres et une reprise d’Entombed, “Wolverine Blues”) et de compléter le CD de leur première démo Inquisition : the Way of Suffering qui date de 2009.
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10.
On pourrait disserter pendant des heures de l’intérêt à porter à la musique de Deathcode Society, quintette d’Annecy fondé en 2003 et exerçant son art noir dans les empreintes scarifiées d’Emperor et les ténèbres de Dimmu Borgir, tant sa complexité dans l’écriture et l’exécution sont remarquables – et puis je l’avais déjà fait précédemment en décortiquant leur album Eschatonizer de 2015 [ici], pas la peine de redonder : lisez cette chronique et vous saurez tout le bien que j’en pense.