
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
“Chris, Chris, tu aimes toujours le Thrash Metal ?”, me demande-t-il… Ben non, depuis que j’ai écouté Black M à la radio par accident de zapping, j’ai eu une révélation et depuis je ne jure plus que par la musique dans laquelle on a surement déjà marché mais jamais écouté…

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9/10.
J’ai eu envie de ressortir mon pantacourt, mes Vans et mon skateboard à l’écoute de Sorry & pathetic de Two Trains left…
Bon, OK, j’avoue, je n’ai jamais réussi à faire un trick potable en skate sans me vautrer lamentablement… et c’est pas maintenant que ça changera… C’est aussi en écoutant ce genre de skeuds que tu te dis que tu vieillis (et plus si affinité avec la Faucheuse).

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Celui là, on ne l’a pas vu arriver.
Omicida, quintet anglais formé en 2014, sort aujourd’hui son deuxième album, Defrauded Reign, quatre ans après un déjà réussi Certain Death rappelant que Dark Angel avait déjà dit que “Death is certain, life is not” sur Darkness descends en 1986… 1986 étant aussi l’année d’un certain (encore ?) Reign in Blood… Du coup, y a-t-il un quelconque rapport entre Defrauded Reign (in blood) et l’album cultissime de Slayer ?

Note du chroniqueur (Gibet) : 9,5/10.
Le 19 janvier, au théâtre de la Joliette à Marseille se jouait, mis en scène par Agnès Régolo, la première pièce d’Alfred Jarry : Ubu roi. Ce spectacle déjanté mettait en lumière la richesse sarcastique d’une pièce libre et provocatrice (et diablement novatrice pour l’époque) dont les thèmes, traités en toile de fond, la pièce étant avant tout un chef d’œuvre comique, sont la soif de pouvoir, la toute-puissance de l’enfance et l’aliénation par le système.

Note du SoilChroniqueur (Ström) : 7/10.
Pourquoi choisir de chroniquer Jimm quand on est un fan de Metal, tout particulièrement brutal, et qui plus est bien souvent en langues étrangères ? Par nostalgie, sans doute ! Pour les textes en français, il y a quelques années j’écoutais Noir Désir, comme tant d’autres, un peu de Romain Humeau avec ou sans Eiffel, Luke aussi et, maintenant, c’est beaucoup de hip-hop et aussi Stupeflip, un de mes groupes fétiches.

Photos + report : Fast Freddy
Une affiche (mélange de punk hardcore, crossover, trashcore, garage-grunge) proposée par Ziker et le Rock ‘n’ Eat qui visait à te foutre un coup de fouet en milieu de semaine histoire de te faire croire que l’espace d’un instant tu étais en week-end !
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10.
Depuis quelques temps, un élément fondamental me manquait dans les méandres d’albums que je m’évertuais à écouter jusqu’à ce que ma fontanelle fonde comme neige au soleil : la langue française. Notre belle langue, si riche et si difficile à maîtriser à la fois, notamment dans le chant metal.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Voilà un premier album produit en indépendant qui ne devrait pas laisser les labels longtemps insensibles. En effet, les dix titres qui composent Conspiracy Theorist positionnent le trio canadien de Backstabber dans le haut du panier du Death Thrash technique et je compare sans sourciller cette sortie à l’unique album de Mechanist, Inspired Horrific (si vous ne connaissez pas, sachez juste qu’il y a Gene Hoglan dedans, ça devrait suffire à vous convaincre d’écouter).

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Clairement, le temps s’est arrêté en 1985 au Mexique et surtout chez les membres de Steel Night. Déjà, un logo et un artwork qu’on n’osait plus faire depuis plus de trente ans et une attaque des compositions qu’on retrouve dans les grandes heures du Heavy Metal et de la NWoBHM en, plein milieu de la discographie de nos parents !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Le Métal est plein de belles histoires. Ainsi, les Anglais de Blasphemer, qui existent depuis 1992, n’ont sorti leur premier album qu’en 2017 ; démos, compilation, trous de plusieurs années dans son CV, tel a longtemps été le quotidien de cette formation.