Note du SoilChroniqueur (STRÖM) : 6 /10
Une nouvelle occasion pour moi de sortir de ma zone de confort en chroniquant un groupe dans un style où mes références sont assez vieilles. Ce genre de groupe de Rock, pouvant passer de la ballade quasiment pop à des morceaux plus énervés et parfois lourds, empruntant à ce que certains groupes biberonnés à MTV ont digéré du Grunge, n’est pas ma tasse de thé.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
« I live for rock and roll
It’s in my blood, it’s in my soul
Got a fever I can’t control
I live for rock and roll »
(The Rods, “Live”, 1983)
Combien de fois, dès 1983, ai-je pu écouter ce qui devrait être un hymne pour tout hard rocker qui se respecte ! Autant dire que l’histoire d’amour avec The Rods ne date pas d’hier ! Putain, 36 ans pour un groupe que, à l’époque, j’avais découvert grâce à une radio locale qui avait pris ce titre comme générique de début !
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Houlà, alors celui-là, quand je l’ai vu arrivé dans la boîte mail de Soil Chronicles, je l’ai soigneusement planqué à ma team pour me le chroniquer égoïstement !
Hors de question de le laisser à qui que ce soit…
Deuxième album pour les Allemands de Vulture, qui, après avoir coupé tranquillement toutes les têtes en 2017 sur The guillotine, les revoilà pour enterrer les cadavres sur ce petit nouveau Ghastly waves & battered graves.
Depuis près de 5 décennies Alice Cooper est considéré comme le parrain du « shock rock » grâce à des shows surprenants et aujourd’hui encore, il reste l’une des rockstars les plus appréciées à travers le monde. Avec plus de 15 millions d’albums vendus il a réussi à créer des classiques comme « School’s Out » ou […]
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 6/10
Voilà un groupe dont je n’avais, jusqu’alors, jamais entendu parler, jusqu’à ce que le label Chilien Australis Records, en général fournisseur d’excellents groupes de métal extrême old school jusqu’au bout des ongles crochus, m’en envoie un exemplaire, moi qui suis (du verbe suivre, s’il vous plaît) la scène Sud Américaine avec un grand intérêt, de par la qualité des groupes passéistes qui fourmillent là-bas.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10
Actif depuis 2006 et originaire de Shillong, capitale de Meghalaya, état du nord-est de l’Inde, Plague Throat sort un premier EP, An Exordium to Contagion, en 2013 suivi quatre ans plus tard d’un album, The Human Paradox, qui se voit signé par Transcending Obscurity India. Cette année, toujours chez Transcending, voit l’arrivée dans les bacs de leur deuxième EP, Evolutionary Impasse.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Purée, ça remonte, le début de mon histoire d’amour avec Riot…
Depuis 1983 pour être précis, avec le titre “Born in America” issu de l’album du même nom.
C’est seulement ensuite que je m’étais intéressé de trèèès près à ce qui était sorti avant.
Mais là où ma « fanitude » est devenue définitive, c’est avec le monstrueux et intemporel Thundersteel cinq ans plus tard.
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10
Quand il fait noir et que même la lune s’éteint .
Le monde de l’obscurité prend sa place.
Mais quel est donc ce bruit lugubre?
NzgL est le projet de Gaël Liger qui nous propose, avec ce premier EP trois titre Tales From The Pales Moon, un Black Metal très froid.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (STRÖM) : 7 /10
Voici un album qu’il est important de chroniquer bien qu’il soit sorti depuis quelques mois. En effet, l’ambition derrière ce projet indépendant me fait dire qu’il ressortira peut-être bientôt sur un label, ou que le second album sera, lui, propulsé sur le devant de la scène par une grosse écurie.
Né d’une collaboration internationale entre des musiciens d’origine différente, dont l’Egypte, le concept derrière cet album est lié à l’union de tous les peuples, rien de vraiment original je vous l’accorde.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
En latin, cela veut dire “vivre éternellement”.
Ou comment perpétuer avec classe la grandeur et la théâtralité des groupes de doom classique façon Trouble, Solitude Aeturnus, Manilla Road ou surtout leur influence principale, Candlemass ?
On saupoudre le tout d’un soupçon de power metal, on incorpore un rien de thrash metal dans le tout, histoire de rappeler que Bruno Masulli est aussi le maître à penser d’Annihilationmancer et on se retrouve avec une nouvelle offrande d’In Aevum Agere.