Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Salut !
Des fois, tu as des sorties qui te font plaisir, et qui ravissent les plus compliqués des thrashers.
Fatal Embrace, groupe allemand formé en 1993, mais qui n’est vraiment actif que depuis 1997, en est déjà à son sixième album et quelque part, pour un groupe de la nouvelle vague de l’ old school thrash metal, fait déjà office de vétéran.
Pour ma part, je les ai découverts lors de la sortie de leur troisième déluge de décibels, avec un Dark pounding steel (2006) qui enchaînait les tueries absolues (“Assassination”, “Born in blasphemy”, “Storming in my mind” pour ne citer que ceux là) et surtout une reprise de “Evil dead” des cultissimes Death qui a accéléré de façon exponentielle mon intérêt pour ce groupe qui a pris aussi la délicieuse habitude, à quasiment tous ses albums, de nous dégotter une reprise de derrière les fagots comme “Bonded by blood” (Exodus), “Killers” (Iron Maiden), ou, plus surprenant, “Stay hungry” (Twisted Sister).
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 5.5/10
“Lorsqu’une chose évolue, tout ce qui est autour évolue de même.” Paulo Coelho
Ah… Cassiopée. L’une des nombreux martyres de la mythologie grecque. Coupable d’avoir dit que sa fille Andromède était plus belle que les Néréides, nymphes des mers.
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Après vingt ans à œuvrer pour le metalcore, Killswitch Engage nous livre un huitième album encore meilleur que le précédent, bien plus agressif à la frontière du deathcore par moments. Il n’y a, certes, pas d’innovation ou de renouvellement particulier pour Atonement, mais on retiendra certaines mélodies et riffs de guitares qui, dès la première écoute, nous restent dans la tête.
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 10/10
Actif depuis 1996, tout de même, In Thousand Lakes sort deux ans plus tard un album, Lifeless Waters, puis fait une pause. Depuis sa résurrection en 2013, paraîtront un EP en 2014, Martyrs of Evolution et un album en 2017, Age of Decay. Cette fin septembre voit l’arrivée d’un second EP, Evolution, signé par Xtreem Music.
Un sans-faute pour nos Espagnols qui allient magistralement mélodies Maideno-Judassienne haute en couleur à des grooves puissants empruntés au death et des riffs thrashy limite prog. Pas d’emballement dans le tempo, tout se fait sur un mid plus ou moins énergique qui monte en puissance au fil des trois premiers titres pour atteindre la plus haute intensité sur » In the Mirror ».
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Parmi les dictons souvent ressortis à tout va par la sagesse populaire, il y a celui qui consiste à dire que les chiens ne font pas des chats. N’importe quel étudiant en premier mois de zoologie est capable de sortir un principe aussi fondamental, et il est fort à parier que la chose ne lui ait pas échappé depuis bien longtemps.
Et, quelque part, il y a des principes héréditaires qui ne trompent pas non plus… Et là, on ne parle pas éthologie, zoologie ou de toute autre science portant sur les animaux et qui finit en -logie… même si le groupe californien Hatriot, pour son troisième album, continue à se la jouer bestial comme tout groupe de (bon) thrash metal qui se respecte. Là encore, on parle d’évidences !
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Comme le dirait un bon ami, Fulci, ça pèse !
Le trio pèse car il est italien, il joue du Brutal Death et il adore les films de zombies. Point barre. Cela et le fait que ça envoie de la sanguette au kilo, façon début de Cannibal Corpse en plus technique, voire de vieux relents de Mortician, le son dégueulasse en moins, le tout enrobé de quelques interludes horrifiques du meilleur effet.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Ne vous laissez pas avoir par l’apparence froide et clinique de la pochette, si Abhorrot était médecin, il n’utiliserait que le marteau et la scie. Heureusement que le logo bave un peu, on se sent déjà en terrain plus connu.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
A raison d’un album presque tous les ans, on ne peut que se féliciter du rendement de The Dead Daisies qui en est déjà à son cinquième album en sept années d’existence. Bon, ok, on se rapproche un peu plus près de la tracklist et on s’aperçoit que l’album n’est composé que de reprises, dont certaines, qui plus est, sont déjà sorties sur des albums précédents et d’autres sont des live.
Bien, soit, question nouveautés, on repassera, et on se dit que c’est encore un énième best of de reprises que certains groupes nous servent histoire de faire dans l’album alimentaire. Peut être, mais quelque part, l’acquisition de ce Locked and Loaded, si elle n’est pas obligatoire, n’en est pas loin !
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10
Vision of Atlantis, groupe multinational de metal symphonique dont il ne reste des fondateurs du groupe autrichien que le batteur Thomas Caser, qui a continué l’aventure avec la belle voix française Clémentine Delauney, en duo avec la voix italienne Michele Guaitoli, est de retour avec un nouvel album, Wanderers, qui mérite d’être écouté et réécouté, avec la meilleure sono dont vous disposez, afin de bien savourer toute cette tripotée d’orchestrations impressionnantes et cet excellent rendu de la production et du mixage.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7.5/10
Un bon petit Thrash des familles vous tente ?
Alors un bon Freakings devrait vous allez à ravir.
Ce groupe Suisse, à défaut d’être aussi ponctuel que ses congénères, vient avec son quatrième opus Rise Of Violence nous faire un « Coucou » après le premier album No Way Out en 2011, puis Gladiator en 2014 et enfin Toxic End en 2017.
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