Note du SoilChroniqueur (Noname) : 8,5/10
Ça fait donc une semaine que je me passe cet album en boucle. Je ne pensais pas revivre ça depuis le lycée en 2004. On va y aller franco : cet album est incroyable.
Sincère, sans artifice et direct, The Nothing est l’antithèse de ce qu’a pu être l’horreur Remember Who You Are. Ici, il n’y a pas de chialades ou de poncifs redondants et forcés. Hormis sur l’introduction mais qui (curieusement) passe naturellement comme s’il fallait expulser ça directement dès le début. Pour que le reste puisse mieux te péter à la gueule ensuite.
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) :9/10
Formé dans le Maryland en 2007, Visceral Disgorge publie un album en 2011, Ingesting Putridity, un album plein de poésie, d’amour et d’histoires de licornes gambadant dans les prés, tout comme Slithering Evisceration qui parait ce 13 septembre, signé par Agonia Records.
Avec des titres traduits comme « Architectes de la chair déformée », « Apparition de la putridité » ou encore « Transpercé sous la torture », il est fort à parier que notre quintet de Baltimore ne va pas faire dans la dentelle. Ou éventuellement faire caca dedans, oui, ça c’est possible. Bon, en même temps, « dégorgement viscéral », ça a déjà de quoi nous mettre la puce à l’oreille quant au contenu des paroles et éventuellement du registre qui en résulte.
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Live report : Quantum, Metalfreak & Bloodybarbie
Photos : Bloodybarbie & Metalfreak
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Tous les deux ou trois ans, Blood Red Throne se pointe avec un nouvel album. Et tous les deux ou trois ans, c’est la même branlée Death Metal.
Ce que j’apprécie dans la formation, c’est de lorgner sur les territoires les plus brutaux (on les compare souvent à Bloodbath, Cannibal Corpse ou ce bon vieux Vomitory) mais les mecs ont vraiment un petit truc en plus.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Je sortais de l’écoute de plusieurs disques de Brutal Death quand je me suis mis en tête de m’intéresser à Useless, obscure formation polonaise, et indépendante, de Black Metal. Si je mets de côté le changement radical de production (pour comparer, ce serait comme sortir du sauna pour plonger dans la neige), ma curiosité a été bien récompensée car la musique du quatuor a beaucoup d’arguments pour séduire les Trve, amateurs de sonorités rêches, de chant cru et d’ambiances mortuaires.
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Photos + report : Metalfreak
Ça y est, les choses sérieuses commencent : on a à peine englouti le petit déjeuner de l’hôtel qu’il faut déjà penser à zapper l’apéro et se rendre sur le site du festival.
La nuit a été chaude, c’est le moins qu’on puisse dire, et le soleil tape déjà sévèrement !
Les organismes vont encore prendre cher, la canicule est elle aussi au rendez-vous, une fois de plus.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Alors que Manor of Infinite Forms (2018) n’en finit toujours pas de me claquer le beignet, voici donc les Canadiens de Tomb Mold qui reviennent à l’assaut avec Planetary Clairvoyance, leur troisième album.
Il y a des groupes qui n’ont pas besoin d’avoir une discographie énorme pour s’imposer, c’est le cas du quatuor. Avec son style pesant et épais à la Blood Incantation, Disma, Funebrarum, tout en ayant ses propres particularités, Tomb Mold est très rapidement devenu une référence moderne en matière de Death Metal, cette réputation d’excellence n’étant en rien usurpée et ne devant rien à un quelconque phénomène de mode.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
La belle petite autoproduction que voilà !
Devastruction, sorte de compromis tant nominatif que musical de Destruction et Devastation, est formé à Dortmund en 2011 sous le nom d’Incivism (et sortira deux démos sous ce nom) avant d’en changer en 2016. C’est l’année suivante que sortira un EP Alien thrash force attack, déjà en autoproduction, sur lequel figura le titre “Thrashers from out of space” composé lors des années Incivism et présent sur la deuxième démo Stay Thrash (2013).
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Photos + report : Metalfreak
Le rendez-vous est devenu incontournable.
Chaque année, début août, le Sylak nous propose une affiche sur trois jours qui fait rêver de plus en plus de fans de metal et, et ce n’est pas la première fois, le festival est sold out.
Live report : Quantum, Metalfreak & Bloodybarbie
Photos : Bloodybarbie & Metalfreak
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