Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

S’il y a un groupe pour lequel j’ai une affection particulière dans le thrash metal, c’est bien les Espagnols de Crisix que j’avais découverts alors qu’ils sortaient leur troisième album “From blue to black” et qui m’a collé une baffe dont je ressens encore les picotements !

Note du SoilChroniqueur (Metal Script) : 9/10

J’ai découvert Divided Mutitude avec leur précédent album éponyme de 2015 qui avait bien piqué ma curiosité de par sa qualité. C’est en les voyant défiler dans mes propositions sur youtube (leur single ‘‘Counterparts’’) tout récemment que j’ai appris que les Norvégiens (le prog a, je crois, définitivement détrôné le black en terre viking) venaient de sortir leur sixième album studio. Et quel album ! « Faceless Aggressor » est, de loin, l’album le plus abouti de la formation : moderne, puissant, mélodique, groovy durant certains passages, et une reverb très bien gérée qui envoie dans l’espace dès l’introduction.

Photos + report : Fast Freddy

Pour lutter contre le froid qui prend petit à petit ses quartiers dans le Forez, le Fil Smac a eu la très bonne idée de nous concocter une date qui a réchauffé les chaumières ! Jugez plutôt : Dagoba et Betraying The Martyrs, combos français dont la renommée dépasse de loin les frontières hexagonales épaulés par les Stéphanois de Burn Your Karma en guise de détonateur d’une soirée qui aura tenu ses promesses ! Let’s start a war !

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 6.5/10

« Dans le jardin d’Eden, il y a des pommes superbes, des pêches juteuses, des abricots moelleux… tous les fruits sont à l’avenant sauf les poires qui sont à lavement. » Marc Escaryol.

Petit calembour du matin ravive l’écrivain ! Et de l’humour, il va m’en falloir une bonne dose avant d’entamer l’écoute d’Edenbridge parce que le groupe touche à un style que j’ai toujours trouvé mal analysé et très surcoté.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10

Une fois n’est pas coutume, je vais faire long. Aussi, pour ceux qui n’ont ni le temps ni l’envie de lire un pavé, la chronique sera scindée en deux parties : la première dédiée à l’album, la seconde à la date parisienne du 05/11 de cette année.

Note du SoilChroniqueur (STRÖM) : 5/10

J’ai beaucoup de mal avec deux genres dont les codes me semblent trop contraignants : Le Slam Death Metal et le War Metal. Il faut dire aussi, je ne suis pas un spécialiste. Et je ne risque pas d’en devenir un car les groupes qui me font envie sont peu nombreux. Néanmoins, j’avais entendu un peu de Morbid Triumph, E.P d’Antichrist Siege Machine, et cela m’avait plu. Alors j’ignore ce qu’il s’est passé chez eux ou dans mes oreilles mais leur nouvel effort me laisse indifférent. Je mets la moyenne car je pense que les amateurs apprécieront, mais je trouve qu’il ne se passe pas grand chose sur cette galette. Le chant est poussif, même si c’est probablement fait exprès, et les compos m’en touchent une sans faire bouger l’autre comme dirait un illustre président.

Note Soilchroniqueur (Celtikwar) : 6/10

Groupe originaire du Havre, Sounds Against Vultures a tout ce qu’il faut pour surprendre.

Leur nouvel album « The dice are Loaded » vous présente un Noise Metal qui peut vous déranger. Après, le but est donné avec le style, on prend des sonorités qui dérangent et on essaye d’en faire de la musique. « Shorn Sheep » par exemple, avec ses sons clairs, aurait de quoi rendre fou même les plus sains d’esprit.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10

« Il y a eu dans le monde autant de pestes que de guerres. Et pourtant pestes et guerres trouvent les gens toujours aussi dépourvus. » Albert Camus.

Faisons un petit bond en arrière si vous le voulez bien, du temps où la musique n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui, où la musique métal n’était que le méandre futuriste inaccessible à cette époque. Nous sommes au temps des grands rois scandinaves, de Håkon VI très exactement. Oslo devient à ce moment-là un ville très puissante, qui atteindra même une apogée économique exceptionnelle pour l’époque. Puis vint l’année 1349 et l’arrivée de la Peste Noire qui causa son déclin aussi exponentiel que l’était sa puissance.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

Rings of Saturn a réussi à me rendre curieux. Curieux d’écouter ce que donnait la musique de mecs qui, à ce qu’il paraît, ont une bonne grande gueule et un bon gros ego à gérer. Vous me direz, à juste titre, qu’ils ne sont pas les seuls mais comme ils jouent du Deathcore, j’ai, à priori, la moquerie facile. Mais comme je me suis bien fait récemment retourné par le dernier Infant Annihilator, il n’y avait aucune raison valable pour que je n’écoute pas « Gidim », cinquième album des Américains.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Cela avait peut-être commencé comme une grosse farce mais, six excellents albums plus tard, autant admettre que Cannabis Corpse est une formation à part entière et que son Death Metal, principalement influencé par les vieux Cannibal Corpse bien sûr, tient incroyablement bien la route.

Sans tout connaître sur le bout des doigts, j’avais adoré « Tube of the Resinated », l’avant-dernier « Left Hand Pass » frôlait la perfection, et c’est donc avec un plaisir non feint que l’on retrouve le trio américain pour onze nouvelles pièces de choix.