Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Le plus américain des groupes portugais est de retour ! Ironsword, toujours aussi fortement influencé par Omen, Manowar, Cirith Ungol et surtout Manilla Road est de retour avec ce cinquième album “Servants of steel” après les excellents “Ironsword” (2002), “Return of the warrior” (2004), “Overlords of chaos” (2008) et “None but the brave” (2015).
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
On va commencer par là : pour savoir quelque chose sur Death. Void. Terror., il va falloir s’accrocher : ça vient de Suisse (à priori de Zürich) et ça fait partie de l’Helvetic Underground Committee. On sait aussi que ce “To the great monolith II” est la suite du “To the great monolith” premier du nom sorti en 2018, que les titres sont totalement incompréhensibles, quelque part à l’image de la musique de la formation.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10
Il était attendu, ce 17e album d’Annihilator ! Déjà parce que la bande à Jeff Waters a su faire monter la sauce : tu penses, un premier single “Psycho ward” début novembre 2019, un second “Armed to the teeth” le mois suivant, puis “Dressed up to evil” juste une semaine avant la sortie de ce “Ballistic, sadistic”, ça avait de quoi faire monter la sauce chez plus d’un fan hardcore du groupe, au point qu’ils devaient avoir les dents du fond qui baignaient… Quelque part, limite, j’en fais partie, de ces personnes innondées bucco-plombairement !
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 5,5/10
Ne me jugez pas, j’ai sincèrement aimé « In a Reverie » (1999). Pas maintenant non, mais à l’époque oui. J’avais la vingtaine, je devais certainement trouver Cristina Scabbia canon, y avait un truc un peu nouveau dans la musique de Lacuna Coil, ou tout du moins de différent, bref je n’ai pas à me justifier non plus.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,99/10
En 1998, la scène black metal française accouchait d’un album devenu une référence sur la scène extrême non seulement hexagonale mais également en dehors de nos frontières. “Les blessures de l’âme” ont mis Seth sur un piédestal duquel encore aujourd’hui, plus de vingt ans après, il est difficile de les faire descendre. Une reformation en 2011 après six ans de split, une sortie de son premier album remasterisé chez Season Of Mist, un “The howling spirit” en 2013… et enfin ce live, le premier du groupe et qui reprend cet album en intégralité !
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Je n’ai pas cherché à comprendre pourquoi un groupe grec s’appelait comme une ville du Nord de la Russie, il reste qu’Arkhangelsk joue du Black Métal et que compte tenu de son pays d’origine, c’est forcément bien non ? Le fait qu’il y ait un ancien Suicidal Angels à la basse n’influe en rien sur mon jugement, je ne suis pas vraiment amateur du Thrash pratiqué par ce dernier.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
“It’s the return of the darkness and evil
It’s the return of the fire and flame
It’s the return of my master Satan
It’s the return of desire and pain”
(Bathory, “The return of the darkness and evil”, “The return……….”, 1985)
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7.5/10
Qui a laissé sortir les chiens ?
Dog N Style est une formation montante de Hard Stoner originaire d’Épinal, qui après un très bon « Pub’s Calling » sorti en 2016, a enchaîné les concerts. Sur la route on fait des rencontres et c’est ainsi que le groupe croise Rudy Lenners (Scorpions) qui décide de produire le second album « Only Stronger » enregistré en Belgique et sorti depuis octobre 2019.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille): 8,5/10
Présent sur la scène underground finlandaise depuis 1987, Necropsy sort la première de ses sept démos en 1989. Suivront deux EP, un split avec Unholy Domain, un premier album en 2011 puis le second deux ans plus tard. Cette mi-janvier voit la sortie de leur troisième EP, Exitus, signé par Xtreem Music.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Sept années se sont écoulées depuis le dernier album du groupe de Singapour Impiety, sans doute ce qu’il se fait de plus brutal sur le continent Asiatique, et ce n’est sûrement pas avec ce “Versus all Gods”, neuvième méfait du trio, qu’il va se faire détrôner. Sept ans d’attente pour avoir un successeur à “Ravage and conquer” qui avait mis d’accord tous les indécrottable du metal extrême.
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