Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10
Que dire ? Esoteric, avec son septième album, vient d’engendrer la perfection, un disque qui supplantera peut-être dans mon cœur « Subconscious Dissolution into the Continum ». Et même si c’est l’ensemble de la discographie des Anglais qui mérite un 10/10, « A Pyrrhic Existence » me semble pourtant un nouveau sommet en matières d’écriture.
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Note du SoilChroniqueur (STRÖM) : Zéro Objectivité /10
Ma voix est sur cet E.P !
Je ne suis pas chanteur, malgré des aspirations durant ma jeunesse, je ne suis pas musicien, je ne fais même pas de radio. Quantité de gens entendent ma voix, certains préféreraient sans doute se faire enfoncer des clous de chemin de fer à la place, mais c’est mon boulot !
Comment les infâmes sons provenant de ma bouche se sont retrouvés sur le morceau d’un groupe de Newcaste-Upon-Tyne ?
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Septième album pour les Polonais d’Arkona, connus et reconnus depuis 1996 et le premier album « Imperium » pour l’excellente tenue de leur Pagan Black Métal. Pas de déception à l’horizon avec les six nouvelles compositions de « Age of Capricorn », on navigue encore une fois dans les très hautes sphères du Black épique.
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 7 /10
Sentience voit le jour dans le New Jersey en 2014 et fait paraître cette même année un EP, Beyond the Curse of Death. En 2016, la formation change de nom pour Sentient Horror et sortira un album, Ungodly Forms en 2016 puis un EP, The Crypts Below en 2018. Cette fin novembre voit l’arrivée dans les bacs de Morbid Realms signé par Testimony Records avec comme seul rescapé du line-up originel, Matt Moliti, l’indéboulonnable guitariste growleur.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Avec un nom pareil, Snorlax, qui est celui du Pokemon connu au Japon sous le nom de Kabigon, et qui ressemblerait à celui d’un médicament à ne prendre que sur ordonnance, toujours est-il que, Pokémon ou pas, laxatif ou pas, Snorlax est le projet solo de l’Australien Brendan Auld (Consumed, Descent, Necroseptic, Siberian Hell Sounds, ex-Dire Wolf) qui a vu le jour en 2017.
Une demo (“Splintering”) en 2018, un split avec les black / crust de Drugoth (“The spirit of darkness”) l’année suivante et cet EP “II” en 2020.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 9/10
On nous a toujours dit : il ne faut pas juger sur la première impression (surtout si celle-ci dure 1min30). Et pourtant, j’ai failli détester cet album dès les premiers blasts du premier morceau. Quelle idée de commencer sans préliminaires !
En tout cas ce premier morceau « The Sun And Cold » mélange parfaitement la brutalité du death mélo et la douceur du djent/metalcore au chant clair. Cela donne une sorte de mariage entre du Between The Buried and Me ou Textures avec du Insomnium, Amorphis, At The Gates ou du Katatonia (période death), voire même des riffs et des blasts Black Metal ou encore Deathcore (comme le morceau « Dark »).
Lire l'articleStoned Jesus + Glowsun + Somali Yacht Club à l’Alhambra (Paris) le 18/11/ ...
par Bloodybarbie
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10
Il ne faut pas réveiller la bête qui gronde.
Phill Cambell n’a aucunement l’envie de raccrocher les guitares et c’est très bien pour nous. En plus des tournées qui s’enchaînent avec Phill Campbell And The Bastards Sons, le guitariste a trouvé du temps et appelé des amis de longue date pour enregistrer « Old Lions Still Roar« .
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 10/10
“Voilà, c’est fini
On a tant ressassé les mêmes théories
On a tellement tiré chacun de notre côté
Que voilà c’est fini”
Du Jean-Louis Aubert pour illustrer un live de Slayer, tu y crois, toi ? Et pourtant c’est bien fini : Slayer a fini sa tournée d’adieux, Araya, Bostaph, King et Holt laissent orphelins des milliers de thrashers qui seront restés fidèles depuis 1983 et “Show no mercy”, année où mon adoration pour ce groupe a débuté.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Bon, les mecs auraient été Suédois, on n’aurait pu enlever le qualificatif « Crust » à leur musique car le son que j’entends me fait tout bonnement penser à celui de l’école suédoise des années 90. Mais admettons, je ne vais pas chicaner. Il est tout de même plus intéressant de se demander ce à quoi peut bien ressembler la fusion d’Extreme Noise Terror, Paradise Lost et Vallenfyre.
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