Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9 /10

Attention, culte !

Sur la scène grecque, Death Courier a été l’un des premiers groupes à jouer un death metal aussi cru. Formé en 1987, il sort toute une série de demos jusqu’en 1989 avant de nous proposer une compilation “Rotten lives” de quelques titres demos et de morceaux live, notamment avec des reprises de Death (“Evil dead”) et de Sodom (“Sodomy and lust”). S’ensuivront un split (“Decapitated compilation EP” avec Septicemia, Could Be Worse et Neurosis – les thrashers grecs –) et un EP (“Necrorgasm”) en 1990, puis un album “Demise” en 1992 bien salué par la critique. C’est en 1993 que le groupe se sépare…

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7.5/10

Un peu de douceur dans votre monde de noirceur.
Nombreux parmi vous sont amateurs de bruits, aiment la bestialité de la musique extrême pour sa vulgarité, sa noirceur, sa douleur… Nombreux parmi vous préfèrent le noir et la tristesse…
On va aujourd’hui vous faire ouvrir les yeux et vous apporter de la lumière.
Que la lumière soit.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10

Frontiers Records signe le premier album d’Archon Angel, réunissant des artistes venus d’Italie, de France et des US. Faut dire que le label italien n’en est pas à son premier coup d’essai et est même coutumier de l’exercice.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 10/10

Alors eux, je ne voulais pas louper leur nouvel album !

Il y a un an de ça, au Hellfest 2019, le dimanche à 10h30, je pars découvrir une formation dont je n’avais absolument jamais écouté la moindre note jusqu’alors : DDENT !

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.5/10

« Le Normand est toujours en deçà de la vérité ; et le Gascon, toujours au-delà. » Proverbe français

Petite dédicace à notre correcteur, qui est tout sauf un vulgaire blanco (attention en cette période de crise toutefois) et qui a la particularité difficilement avouable d’être normand. On recrute vraiment n’importe qui dans ce webzine…

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Aaaah, la Lituanie : son équipe de basket, sa capitale Vilnius, son attaquant de pointe Edgaras Jankauskas, ses plokštainis, sa Švyturys, sa (ses ?) Kaunas, Anthony Kiedis (si si !), les parents de l’acteur Charles Bronson, ou quelques groupes de metal déjà passés par nos chroniqueurs comme Phrenetix (>> ici <<) ou Au-Dessus (>> là <<).

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Et de cinq !
Dix ans de carrière et déjà cinq albums dans la musette, et pas n’importe quels albums.
L’histoire commence en 2010, le groupe s’articule autour du bassiste Danyael Williams (ex-Dark Angel), du batteur Wayne DeVecchi (ex-Doom Society, ex-Hellhound, ex-Imagika), des guitaristes Roberto « Peck » Proietti (ex-Eldritch) et Steve Rice (Imagika, ex-Gotham) et du chanteur Josh « Crimson » Gibson (ex-Severpull). On passera sur les nombreux soucis de line up qui ont fait qu’il n’y a jamais eu deux albums de Kill Ritual sortis avec la même formation et il ne reste désormais plus que Steve Rice comme membre originel.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

On va finir par le savoir : dès qu’un groupe de heavy / speed metal pointe le bout de son nez, pour peu que ça piétine allègrement le côté old school de la force, ça me titille de suite les pantoufles !

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9/10

Universal Disorder, combo originaire de Gotland en Suède et Oulu en Finlande, composé de deux musiciens, a vu le jour en 2019 avec un premier EP intitulé “Act I : A Pilgrimage in the Chaotic Streams of Creation and Uncreation” qui est passé inaperçu malgré le fait qu’il soit d’excellente facture.

Cette année le groupe nous offre la suite avec de nouveau un EP de deux titres de grande qualité, en écoutant cette œuvre vous comprendrez aisément qu’il n’est pas toujours utile de faire de long discours. A peine plus de 19 minutes pour vous emmener vers d’autres horizons.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 5/10

Poin Poin Poinnn.

Ces fameux trois sons de trompettes que l’on entend souvent quand une blague ne prend pas…

C’est un peu comme ceci que l’on pourrait annoncer la sortie de cet album.

Frontiers Records sait très bien le faire pourtant, réunir des grand talents, leur écrire des titres et demander aux interprètes de jouer le jeu, puis on balance cela proprement à la production qui nous donne un son tout beau, une pochette qui pète et hop, le tour est joué.

Aujourd’hui le label a décidé de réunir Russel Allen de Symphony X et Anette Olzon, l’ancienne voix de Nightwish. Deux très grands noms, alors on se dit que forcément on devrait avoir droit à de grands moments musicaux.