Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8.5/10
« La musique c’est le complément de la parole, du bruit et du silence qui relie, notre corps et notre esprit conscient et inconscient, à tous les univers sensibles et insensibles, perceptibles et imperceptibles, finis et infinis. » Jean (Quan)Toba
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8/10
“La lune est le rêve du soleil.” Paul Klee
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Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8.5/10
0 (Null), groupe Islandais, a été formé à Reykjavik en 2012.
Certains membres ne sont pas inconnus puisqu’ils font partie de Misþyrming, Naðra and Carpe Noctem. Un premier album a vu le jour en 2014, « Null & Void » et les chroniques furent élogieuses.
« None » débute l’album avec une sonorité très sombre qui représente parfaitement le côté dépressif du groupe. Couplez cela à des riffs lents et pesants et vous obtiendrez une teinte Doom. S.S agrémente le titre de sa voix claire, puis ses hurlements malsains viennent transcender ce titre.
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Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9/10
Dans les années 90, la Norvège a été le berceau de la seconde vague du Black Metal.
Les sonorités typiques de cette époque qui ont inspiré de nombreux groupes, période où les albums étaient mixés avec les moyens du bord dans le fin fond d’une cave ou d’un garage.
Quoiqu’il en soit, ce son était la signature de cet âge.
Avec son troisième album, Sverdena nous renvoie à cette grande ère.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Pour la quatrième fois depuis 2003, Venomous Concept vient nous cracher ses insanités et sa passion pour les politiques avec une colère qu’ils ne cherchent ni à contenir, encore moins à cacher !
Le super groupe articulé autour du bassiste Shane Embury (Napalm Death, Absolute Power, Bent Sea, Born to Murder the World, Brujeria, Hicks Kinison, Insidious Disease, Lock Up, Menace, Tronos, War of the Second Dragon, Blood from the Soul, Dark Sky Burial, Mutation, ex-Antichrist, ex-Azagthoth, ex-Intestinal Infestation, ex-Meathook Seed, ex-Unseen Terror, ex-Warhammer, ex-Liquid Graveyard, ex-Drop Dead, ex-Malformed Earthborn), du batteur Danny Herrera (Napalm Death), du hurleur Kevin Sharp (Lock Up, Primate, ex-Brutal Truth, ex-Damaged) et du guitariste John Cooke (Corrupt Moral Altar, Out for Blood, Vicious Bastard, War of the Second Dragon, ex-The Atrocity Exhibit, ex-Iron Witch) revient quatre années après le dévastateur Kick Me Silly – VC III pour nous esquinter oreilles et cervicales à grand renfort de riffs d’une sauvagerie incroyable, sur des tempos principalement en mode full-speed et un chant particulièrement rageur et saturé !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Ce n’est pas qu’on a failli attendre mais il s’est quand même passé vingt-trois années entre le seul et unique album des Floridiens d’Intoxicated, “Metal Neck”, et ce nouvel EP, « Walled« .
Intoxicated, c’est le trio formé par deux membres du groupe de Party Metal Andrew WK, à savoir le bassiste Gregg Roberts et le guitariste Erik Payne, qui se prend aussi le chant dans le groupe qui nous intéresse aujourd’hui : à noter que ces deux gaillards ont aussi fait partie du groupe de Metalcore Pain Principle désormais disparu après trois albums.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10
… Chronique sous forme d’épanadiplose narrative…
“Ce premier volet montre d’ores et déjà que le Black Metal peut voir naître en son sein des œuvres ambitieuses capables de marquer l’histoire du genre : Panzerfaust ne laisse rien au hasard, chaque riff, chaque ambiance, chaque répétition, chaque ligne d’un chant vénéneux, chaque changement de rythme est là pour plonger l’auditeur dans une sensation de malaise : la guerre a eu des reporters et des photographes capables de la décrire dans ce qu’elle peut apporter de plus inhumain… Panzerfaust, eux, en à peine plus d’une demie heure, en assure sa bande son !
Épouvantable, malsain, magnifique !”
C’est en ces termes que je clôturais la chronique du premier volet des The Suns of Perdition sorti en juin 2019.
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Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8/10
Dix ans que le combo québécois existe et, aujourd’hui, il nous offre un troisième opus sous forme d’un EP. Pourquoi EP, me direz-vous, alors que celui-ci renferme dix titres ?
Tout simplement parce que From the Void to Existence ne dure qu’un peu plus de vingt-sept minutes : vous aurez ici un véritable concentré de Black Metal atmosphérique.
Rajoutez à cela de magnifiques mélodies et voilà ce que distille The Lightbringer.
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10
Stinky devient une valeur sûre de la scène hardcore française, le groupe qui monte et qui va encore franchir une marche avec Of lost Things, leur troisième album paru ce 12 juin, signé par M-Theory Audio.
Nos nantais étaient bien vénèr’ sur Against Wind and Tide et montaient encore d’un cran avec From dead-end Street taillé pour faire mal dans les pits. Aussi, à l’annonce de Of lost Things, trois possibilités s’offraient à nous : soit ils maintenaient dans cette veine avec des titres taillés pour la scène, soit ils montaient encore d’un cran et rangeaient Get the Shot dans la catégorie glam, soit ils changeaient de direction en conservant bien sûr une âme et une trame punk hardcore.
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 7/10
« La conscience à l’âme est comme le miroir où quand on est trop laid on ne veut plus se voir. » Proverbe français
Qu’est-ce que la conscience?
Combien de fois cette question subsidiaire a été posée durant les cours de philosophie? J’en ai mangé de la conscience pendant mon année de terminale littéraire, en raison de huit heures de philosophie par semaine. De même que les groupes qui choisissent des noms étranges, je commence à m’en gaver jusqu’à me remplir le gosier en dépassant toute satiété. Mais j’étais loin de me douter que je tomberais sur un groupe qui porte le nom d’un des principes philosophiques et psychanalytiques les plus discutés depuis la nuit des temps. Appeler son groupe Conscience, il faut le faire parce que c’est un concept tellement vaste et tellement sujet à des interprétations que j’en viens à me dire que ce choix est tout, sauf judicieux. Après, je suis aussi conscient (nest-ce-pas?) qu’il y a parfois un fossé entre la volonté du groupe de faire passer des messages par son nom ou par ses créations. Combien de groupes ont un nom qui, avec le temps, n’a plus rien de cohérent avec ces concepts? Fleshgod Apocalypse en est un parfait exemple : passé du brutal death metal à un metal plus symphonique et plus esthétique dans son iconographie, vous vous apercevez très vite que le nom du groupe n’a plus rien de cohérent du tout avec l’évolution. Alors, bien avant de m’atteler à la chronique de l’album In the Solace of Harm’s Way (« dans le réconfort du mal » en anglais) de Conscience, j’ai mon Jiminy Cricket qui m’a susurré de manière tyrannique que je me posais trop de questions. Ou pas assez? Nous allons voir cela.