Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8.5/10

La mandale venue du Canada, Atræ Bilis ou comment se prendre un 38 tonnes en pleine gueule.

Le seul moment de répit (et encore, le terme n’est pas des plus approprié) réside dans l’intro instrumental « Gnode » du premier opus de ce combo.
Divinihility est un album qui impose la violence et la technique.

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9/10

Troisième album pour le groupe Descend : les Suédois ont décidé de mettre les petits plats dans les grands avec cet opus.
Tout d’abord, l’artwork nous donne une envie irrépressible de prendre possession de cet album afin de pouvoir se plonger dans l’univers de The Deviant: un dégradé de couleurs chaudes laissant apparaître une lune dans laquelle nous pouvons deviner un personnage, une femme peut être … Vêtue d’un long manteau flottant dans cette sphère orangée tandis qu’une foule massée à ses pieds donne l’impression de l’idolâtrer.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

Quand tu jettes un œil curieux aux CV des protagonistes d’Oncology, tu captes vite que l’on a affaire à des types qui ne vivent que pour le brutal death. L’avantage de cela, c’est que fort de ces nombreuses expériences, les musiciens ont acquis une technique qui fait mouche à chaque instant. Du coup, ce deuxième album pue la réussite à plein nez.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Alors eux, ils ont raison de se réclamer de Slayer, Exodus ou Testament tant leur thrash metal old school semble provenir tout droit de la Bay Area !
Old school parce qu’ils nous font replonger en plein milieu des eighties, lorsque le genre suintait tant l’urgence que l’insouciance, et qui surtout commençait à nous prouver qu’il pouvait faire preuve d’une technique imparable !

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9/10

En 2017, Vermilia voyait le jour en Finlande, groupe composé d’une artiste féminine qui distille une musique ancrée dans la culture Finlandaise. Après l’album Kätkyt paru en 2018, nous attendions avec impatience une nouvelle offrande de Vermilia.
Alors qu’en est-il de cet E.P. ?
Pour que je puisse apprécier un album il faut que l’artiste me fasse voyager, nous sommes face a un projet Finnois qui distille un Black/Pagan avec un titre d’album qui signifie « Histoires inachevées du père » : forcément, quand j’ai lu ces quelques mots, je me suis posé, j’ai vissé mon casque sur mes oreilles… puis j’ai laissé parler la musique…

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10

A la base, je voulais chroniquer un disque des Américains d’Atoll. Je ne sais pas pourquoi, j’avais déjà plein de blagues en tête mais, comme ils n’ont rien produit cette année, je me suis alors retourné vers une valeur sûre, mais rare, hollandaise : Disavowed. Je dis « rare » car si le groupe existe depuis 2001, « Revocation of the Fallen » n’est que leur troisième album, le précédent remontant déjà à 2007. Bref, ça sent quand même plus le projet solo qu’autre chose…

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Ne vous laissez pas piéger par la belle introduction (très réussie) toute en douceur d' »Eternal Misery« , Decayed Flesh pratique bien le brutal death. Le trio indonésien signe donc son premier album avec Brutal Mind et putain, quelle belle découverte !

Alors que je n’en attendais rien, je me fais littéralement concasser les esgourdes par le savoir-faire quasi animal des trois compères. Et c’est notamment l’une des choses que j’apprécie le plus chez les groupes qui officient en trio : c’est quand les instruments ne sont pas sur-produits, les guitares doublées ou triplées inutilement et qu’on peut se dire que, sur scène, ce serait sans doute la même fessée.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Un nouvel album de Vicious Rumors, ça a toujours eu l’effet de me mettre les pantoufles en ebullition tant ma fan-attitude les concernant est énorme !
J’ai beau me montrer le plus critique possible, même s’ils ont sorti par le passé des albums moins perfor(m)ants que les excellents Soldiers of the night (1985), Digital dictator (1988), Cyberchrist (1998) ou Warball (2006) avec les pourtant très bons Electric punishment (2013) ou Razorback killers (2011), jamais le groupe ne m’a déçu.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 10/10

En plat principal, tu reprendrais bien un peu de réacteur n°4 toujours aussi radioactif depuis ce fameux 26 avril 1986 ? Ça tombe bien puisque le groupe de Tchernobyl metal Cytotoxin vient de nous présenter sa quatrième offrande aux rayonnements ionisants qui vont une fois de plus affoler tous les compteurs Geiger alentours. Nuklearth est sorti ce 21 aout, signé par Unique Leader Records, alors assied toi à cette table de ce restaurant décharné de Prypiat et régale-toi.

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8.5/10

God’s Bastard nous vient de Brooklyn et nous offre un Black Metal aux sonorités très intéressante.
Last Standing Village est un E.P trois titres dans lequel vous allez pouvoir apprécier toute la maîtrise des deux musiciens qui composent le combo : en effet à l’écoute de cet E.P, la première chose que l’on constate, c’est que chaque titre possède sa propre identité et tout l’intérêt réside en cela.