Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Actif depuis 2003, le groupe norvégien Töxik Death a déjà sorti un EP en 2007, Happy fukking Holocaust, un premier split en 2013, Nekrothrash, avec Deathhammer, Nekromantheon et Carniwhöre, un premier album, Speed Metal Hell et un deuxième split, Victims of burning Death, avec Condor l’année suivante.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
ENFIN ! Le voilà enfin, ce nouvel album par l’un des maîtres du Death Metal en France ! C’est qu’il se sera fait attendre, ce nouveau méfait de Mercyless, “The Mother of all Plagues”, bien nommé en ces périodes troubles.
Dis donc, l’air de rien, Mercyless, c’est trente-trois ans de carrière, l’âge du Christ… Et depuis 1987, ce sont trois démos, cultes pour certaines, sept albums, deux lives, deux splits (l’un avec Crusher, l’autre avec Avulsed), deux compilations, du single et ce, malgré dix ans d’arrêt !
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille): 7/10
Si je te dis Lazio de Rome, tu me dis tout de suite… Lectern, bravo ! Nos Romains sont actifs sur la scène death metal depuis 1999, quand même, sortent un EP cette année-là puis font une petite pause de dix ans. 2010 et 2014 verront la parution de deux autres EP et s’enchaineront très vite trois albums dont le dernier en date Deheadment for Betrayal de 2018 et signé par Via Nocturna.
Lectern, c’est du death metal vieille école qui sent bon la Floride, ou du moins l’Amérique. S’il est vrai que les compos sont imprégnées de Morbid Angel, Deicide ou Obituary, il ne faut pas négliger les influences assez franches de Suffocation, Autopsy ou encore Cannibal Corpse. Ça en fait des jolis noms collés bout à bout, et on viendrait même à souhaiter un festival réunissant tous ces groupes prestigieux. Mais revenons à Lectern : avec de telles influences bien ancrées, comment sortir du lot parmi les milliers de groupes jouant le même registre ? Ben voilà, c’est là le hic. C’est peut-être pour ça que tu n’en n’as jamais entendu parler…
Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 7.5/10
Vingt ans que Vanish existe, ça méritait bien un p’tit quelque chose.
Pour marquer cette double décennie, voici donc venir un E.P intitulé Altered Insanity, composé de quatre titres dans la droite lignée de ce que nous ont toujours offert le combo Teuton.
Le cinquième morceau est en fait une reprise magistrale du cultissime « Heaven & Hell » de Black Sabbath, un hommage à ce groupe mais aussi au grand Ronnie James Dio. Rien que pour cette reprise, il faut vous jeter sur cet E.P..
De nombreux invités sont intervenus vocalement sur cet E.P dont Tim Ripper Owens (ex-Judas Priest, ex-Iced Earth) et Ralf Scheepers (Primal Fear).
Pour ce qui est des titres, à aucun moment le groupe ne sort de sa zone de confort, malheureusement.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
S’il y a parmi vous des amateurs de la scène black metal américaine, vous connaissez forcément Black Funeral. Et pour cause, la formation existe depuis 1994 et vient de sortir cette année son dixième album : « Scourge of Lamashtu« .
De plus, si l’on met de rares écarts de conduite (« Ordog« , en 2005), la formation reste constante dans la qualité sur un créneau où peu nombreux sont ceux qui osent se risquer : le mélange de black et de dark ambient. En France, je pourrais citer l’excellent Spektr, c’est à peu près tout.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
A force de n’entendre que des productions léchées et de ne voir que des photos de groupe fignolant leur image, j’avais fini par perdre de vue un truc pourtant fondamental : le black metal peut encore être une musique dure, crade, violente, malsaine. Non, il n’y a pas plus que du post black à se mettre sous la dent, les Anglais de Capel Beulah revendiquant haut et fort leur addiction aux sonorités les plus crues. Et ça fait un bien fou.
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Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 8,5/10
Ce nouvel et très attendu opus arrive deux ans après le très bon Avatar Country, concept album délirant autour d’un pays imaginaire et des tribulations de son roi, Jonas Jarlsby, guitariste et membre fondateur du combo.
Comme annoncé récemment par Johannes Eckerström, chanteur et figure de proue du groupe, le roi s’en est retourné dans son pays : cela sera donc la fin de la parenthèse « Avatar Country » et un revirement vers un concept plus sombre, avec comme fil rouge l’évolution et les relations entre l’homme et la machine.
Les fans de la première heure vont être ravis car ce « chasseur cueilleur » est certainement l’album le plus rentre dedans des suédois depuis 10 ans. La preuve en est le premier single « Silence in the Age of Apes », qu’on prend telle une mandale dans la tronche, avec sa rythmique martiale et le growl de Johannes.
Dans le même style, « When all but Force has Failed» est bougrement efficace en à peine trois minutes, BIM !
Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8/10
Décidément, les States nous gâtent et ce n’est certainement pas Prophets Of The Apocalypse et son album « Threshold Of War » qui nous ferons dire le contraire.
Première chose à noter, c’est un one man, band chose assez rare dans ce style pour que cela soit souligné et vous pouvez me croire ceci n’altère en rien la qualité de cet opus.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Aujourd’hui, je vais faire une bonne action. Je vais m’intéresser à un one-man-band brésilien non signé, Eternal Necrosys, qui vient de sortir son troisième album (les deux précédents étant tout deux parus en 2019).
Le programme de ce « Genital Deformity Alive« , bien que simple, s’avère toutefois très plaisant. Déjà, je trouve la pochette aussi accrocheuse que foncièrement dégueulasse, la perspective de me faire bouffer les couilles par des rongeurs n’étant pas ce que je qualifierais de « journée plaisante ».
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
C’est vrai qu’elle se fait salement molester, la divinité, durant les un peu moins de trente minutes que dure « Unearthing the Void« . Il faut dire que Molested Divinity ne fait pas dans la dentelle : pur brutal death hyper technique, la trépanation n’est pas en option.
Après, les Turcs savent de quoi ils causent. Déjà parce que la formation compte dans ses rangs des musiciens aguerris (dont le bassiste de l’excellent Burial Invocation), ensuite parce que chacun à son poste tricote ferme, enfin parce que le groupe s’est offert une production en béton qui ne laisse pas beaucoup d’espace pour respirer.
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