Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10

Depuis la triste disparation d’Angelcorpse, autant Pete Helmkamp semble être aux abonnés absents, autant Gene Palubicki a parfaitement su relever la tête avec le monstrueux Perdition Temple. Après avoir fait une entrée triomphale sur la scène extrême en 2010 grâce à un premier album, « Edict of the Antichrist Elect« , tout simplement parfait, le trio nous concasse toujours les oreilles avec ce qu’il sait faire de mieux : un black death brutal qui reprend le meilleur d’Angelcorpse, d’Order from Chaos ou encore d’Impiety en y adjoignant une légère touche de Morbid Angel.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

“Old school Power/Thrash Metal dans l’esprit de Sanctuary et d’Overkill (…) combinant Power, Progressif, Thrash et Doom Metal”, qu’ils disent sur leur Facebook !
On veut bien les croire à l’écoute de leur cinquième album en huit années d’existence : le moins qu’on puisse dire, c’est que le trio bulgare – qui compte en son sein un batteur-guitariste en la personne de Staffa – n’a pas mis longtemps avant de sortir ce The Fifth of Doom à peine dix-sept mois après un Fighting the Poison déjà bien apprécié par votre serviteur, et on notera qu’ils sont passés de Punishment 18 Records à Iron Shield Records dans l’intervalle !

Note du SoilChroniqueur (Moky) : 8,5/10

Bordeaux, son pinard et ses bûcherons de Disabled. Les dézingueurs en chef sont remis un peu à l’honneur ici après avoir défoncé bien des conduits auditifs dans les années 90. L’un des plus américains des groupes de death metal de par chez nous a retrouvé au fond d’un tiroir poussiéreux quelques titres démos venant des sessions d’enregistrement du cultissime « Faith Ablation« .

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10

Un peu de Rock Funk cela fait aussi du bien.

Needle Sharp est une formation parisienne officiant depuis 2012 et qui vient de sortir un nouvel Ep, « Dark Lies Effects« , qui donne une bonne image de son potentiel.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8.5/10

« Le pessimiste se plaint du vent, l’optimiste espère qu’il va changer, le réaliste ajuste ses voiles. » William Arthur Ward

Ce jour, je m’attelle à un genre musical que je n’ai encore jamais écouté, tout du moins à ma connaissance parce qu’au vu de ce qui s’annonce, il est fort probable que si : le crust punk. Alors, comme tout nouveau genre que j’aborde, j’ai fait mes petites recherches mais pas trop ! Parce que sinon, grande serait la tentation d’influencer mes ressentis sur la musique, alors je me suis contenté d’une vulgaire page Wikipedia qui explique, deux points ouvrez les guillemets : « Le crust punk est une forme musicale dérivée du punk hardcore et de l’anarcho-punk, mélangée à des riffs de metal.

Gojira, Tagada Jones, Metal Church, Necroted, Corey Taylor, Neck Cemetery, Kambrium, Zero Theorem, Humavoid, Robby Krieger, Flying Colors, Sabaton, Black Stone Cherry, I don’t know how but they found me, Anaal Nathrakh, Cult Of Lilith

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Embarquement immédiat pour Taiwan via Kiniro Mosaic Airlines et son tout premier album :
« On the Verge of Death« . Akua Kuster sera le seul personnel naviguant et fera office de pilote, de cuistot et d’hôtesse. D’ailleurs, un seul plat vous sera servi durant le vol et il est composé entièrement à base de petites écolières hachées après avoir été copieusement molestées.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10

Bloodhunter est actif sur la scène metal espagnole depuis 2008. Leur première démo sortira cinq ans plus tard après de multiples changements de lineup. Deux albums suivront, Bloodhunter en 2014 et The End of Faith en 2017. Ils seraient sur l’écriture du troisième ; aussi, pour nous faire patienter, ils rééditent Bloodhunter et pour cette occasion y joignent un Live enregistré à Madrid et comportant six titres. La version digitale est disponible depuis le 3 juillet et les versions physiques sortent ce 4 septembre.

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9/10

On ne présente plus Septicflesh… Le combo très prolifique du milieu des années 90 jusqu’à la fin de celles-ci, avait été plus calme depuis le début des années 2000 jusqu’à l’arrivée de l’album Codex Omega qui avait permis au groupe de revenir sur le devant de la scène en enchaînant avec une énorme tournée à travers le globe ; le show titanesque qu’ils ont offert au Hellfest 2018 n’a fait que renforcer leur notoriété au sein du public.

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10
Un nouvel album homoyme est généralement synonyme d’un nouveau ou un retour aux origines surtout après 5 ans d’arrêt (mais ô combien de concerts) !