Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10
“L’ermite croit qu’il a trouvé Dieu parce qu’il a trouvé la solitude.” Henry de Montherlant
Je ne sais pas si ça vous le fait, mais souvent quand j’aborde un album ou un style de Metal en particulier, j’ai parfois un groupe qui se greffe dans mes pensées et qui tourne en boucle, parasitant ma capacité d’analyse et, plus grave, d’écoute. Quel lien on pourrait faire pour interpréter cela, je l’ignore. Cela fait partie du domaine de l’inconscient, comme une sorte de mécanisme de défense sournois, pour nous empêcher d’aller au plus profond de nous-mêmes. Souvent, j’ai remarqué que les groupes qui s’inséraient machinalement dans mon esprit avaient un rapport aléatoire avec le sujet de l’écoute. Et ce qui est plus embêtant c’est que l’écoute du groupe nuisible ne suffit pas à le conjurer! Résultat : je perds lamentablement du temps à écouter plus de fois que de raison un album alors que je pourrais le faire en un temps record. Ici, c’est Triptykon qui me parasitait, allez donc faire le lien avec celui que je devais étudier et qui se nomme Eremit.
[Loin de moi l’idée d’excuser mes retards de chronique à travers ce post, attention !]
Note du SoilChroniqueur (Lecks) : 7,5/10
Trio U.S. formé à Los Angeles en Californie dans les années 2011 après la sortie de son premier EP Gemini en 2017, il faudra attendre encore deux ans pour voir arriver un premier album, signé chez Sliptrick Records, soit près de neuf ans depuis la formation d’origine. « Oh, neuf ans, les gars !!! » On aura vu mieux en termes de productivité, j’espère que le deuxième album sortira plus rapidement. Bref, le groupe nous revient cette fois avec son premier album d’onze titres qui, sans révolutionner le genre, reste fortement sympathique.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 6/10
Voici une jeune formation française à qui l’on souhaite un bel avenir. Silverstage est un groupe de Heavy Metal existant depuis 2015 et qui vient de sortir son premier opus ‘Heart n’ Balls‘ ce début d’année via le label M&O Music.
Il émane de cet album une étonnante sympathie. On a envie d’aimer. Il est vrai, on ne sait pourquoi, dès les première notes de « All I need », on trouve la musique sympa et la guitare transpire de gentillesse : on aimerait bien passer un bon moment avec eux. Dans leur Heavy Metal très années 80 (« For the Light » et sa ligne de basse très groovy) avec le doux chant de Marianne G. Wolf, on est surpris de se voir secouer les épaules.
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