
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Ok ok… je sais pertinemment que l’exercice de la chronique des splits est la spécialité de mon grimpe-au-poireau préféré Quantum, mais le Hägar Dünor de Soil Chronicles, quand il doit parler des groupes de thrash metal, il se retrouve aussi motivé qu’un Hanouna devant expliquer un programme culturel de chez Arte !
Autant dire que c’est avec un plaisir non dissimulé que je me retrouve à m’occuper de ce split qui ne regroupe non pas deux, mais trois groupes de thrash metal, Portugais qui plus est !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10
C’est qu’ils m’ont fait peur, en 2017, les Australiens de Harlott !
Après trois albums relativement bien foutus, nommés Origin (2013), Proliferation (2015) et Extinction (2017), j’ai bien cru qu’ils en avaient terminé, d’autant que le dernier titres du dernier album était “Epitaph” !
Si ça, ce n’était pas de l’écriture de testament (non, on ne parle pas du groupe de Chuck Billy, du moins pas tout de suite), ça y ressemblait quand même beaucoup.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10
Depuis 2017 et la sortie du respectable Back On The Lash, Warrior Soul et son leader charismatique Kory Clarke semble vouloir retrouver un prolifique rythme de croisière à raison d’un album presque tous les ans.
Et quand on entend la (trop courte) claque qu’a été Rock ‘n’ Roll Disease sortie en juin 2019, on se dit, pour peu qu’on soit comme moi un véritable fan de la première heure, qu’il fait bon assister à cette remontée en puissance d’un des groupes les plus charismatique – et aussi des plus sous-estimés – du milieu hard rock !
Alors si le groupe semblait en perte de vitesse entre le plus en dedans Fucker (1996) et le plus dispensable Stiff Middle Finger (2012), au milieu desquels on a quand même l’excellent Destroy The War Machine (2009), il est clair que, depuis, Kory Clarke and Co a repris du poil de la bête !
Bien sur, comme dit dans la chronique de l’album précèdent, Warrior Soul a quelque peu ralenti le tempo, mais n’en reste pas moins d’une efficacité qui lui est propre.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Quand on est un grand fan de thrash metal old school, il est évident qu’on a parfois envie de retrouver, à défaut de découvrir quelque chose de plus original dans le genre, les sons qu’on a adoré lors de l’explosion du genre !
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Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8,5/10
Un duo venu des States… Pas plus surprenant que ça, me direz-vous !
Sauf qu’ici, il n’y a pas de guitares, enfin presque pas dans cet album !

Interview du groupe Deathawaits avant leur passage au Polguestergeist Fest.
Par John Correstan

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8/10
“Dans certains coins d’Irlande, le sommeil qui ne connaît pas de réveil est toujours suivi d’un réveil qui ne connaît pas de sommeil.” Mary Wilson Little
Me voilà repris la main dans le sac. Je me jure assez fréquemment de ne pas faire de chronique concernant des groupes à chanteuse parce que les groupes que j’aime se comptent sur les doigts d’une main. J’ai en effet beaucoup de mal avec les voix féminines dans le metal et tous les stéréotypes qui gravitent autour. Ayant tendance à mettre en avant la frontwoman surtout comme un objet de désir (c’est probablement une opinion un peu trop tranchée, je l’admets et m’en excuse), je constate qu’il y a très peu de voix féminines qui se démarquent et qui font tilt du genre « oh tiens! C’est untelle qui chante! » Alors, loin de moi l’idée de dire que les chants clairs féminins sont mauvais, du tout! Simplement ils se ressemblent trop à mon goût et font que j’y porte très peu d’intérêt.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
La Pologne et ses groupes de black metal : toute une institution et chaque formation semble vouloir rivaliser soit de brutalité, soit de froideur !
Dans le cas d’Odium Humani Generis (Haine de la Race Humaine en latin), venu directement du froid de Łódź, on se retrouve avec une sorte de black metal très cru, oscillant entre le dépressif, le raw et l’atmosphérique, qui sonne comme une invitation à explorer les paysages très froids d’une banlieue glacée en périphérie d’une grande ville !

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8/10
37mn et 40 secondes de Doom / Death metal pour le premier album de ce combo Américain.
La musique de Void Rot avance en écrasant tout sur son passage: une batterie calée au millimètre qui n’offrira aucun blast à son auditeur, la voix de John mixé en arrière-plan ne fait que renforcer l’ambiance qui règne dans Descending Pillars . Malgré des influences marquées, le groupe arrive à imposer son propre style et c’est là tout l’intérêt de cet album : puissant, profond, homogène qui ravira les amateurs du genre.