Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 8,5/10

Les super groupes, ce n’est pas mon truc.
Ça attire forcément du monde par la somme de talents et / ou de personnalités du rock / metal réunies, mais force est de constater que cela fait rarement mouche… sauf pour celui-ci !

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8.5/10

Les anglais actifs depuis 2013 nous offrent ici leur premier album. Réputés pour leur shows scéniques, voyons ce que le groupe à dans le ventre avec Ar-Caosaji .

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Quelle année pourrie ! Vraiment !
Tu te retrouves en plein désastre sanitaire, et ta liberté est en fonction du bon déroulement des incompétences gouvernementales.
Bref, on ne va pas épiloguer 107 ans sur le pourquoi du comment, et ce n’est même pas la peine de continuer d’évoquer le sujet sous peine de me voir reprendre une tournée de mauvaise-humeurite aiguë, qui pourrait être bien plus dangereuse que tous les virus préfabriqués qu’on nous colle dans l’atmosphère depuis quelques temps !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Qu’on se le dise, Michael Sanchez de Tucson (Arizona) est tout seul pour foutre tout ce bordel !
Lui qui s’occupe de la guitare et des claviers dans le groupe de death metal progressif Pain Patterns et qui a été bassiste / guitariste pour deux albums chez les power metalleux de Judicator a décidé de fonder son propre projet solo avec King Ov Wyrms !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Décidément, depuis l’incroyable Diabolic de 2013, Accu§er ne sait pas ce que c’est que de produire de mauvais albums !
Entre The Forlorn Divide (2016) et The Mastery (2018), le quatuor teuton sembla avoir décidé de nous coller une nouvelle mandale tous les deux ans : quel retour sur le devant de la scène thrash metal depuis le retour du nom Accu§er en 2008.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

C’est que ça ne chôme pas, chez Sardonic Witchery !
Projet solo du multi instrumentiste Portugais Ricardo “King Demogorgon” Mota (désormais basé à Dallas et son univers impitoyable du Texas) fondé en 2012, on en est déjà aux troisième album full length après Kult of the Underground Warrior (2014) et King of the Midnight Legions (2017) et au milieu desquels on a vu un EP de deux titres The Maniac of Steel (2016), un live (Live in Houston en 2015) et pas moins de six splits !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Hep hep, Frameto (Antirouille, pour ceux qui ne suivent pas), regarde ce que j’écoute, là !
C’est glauque, c’est deathgueulasse, ça dégouline de partout, ça riffe très épais, c’est sous accordé : bref, c’est pas ce que tu aurais voulu chroniquer, hein, dis ? Ben trop taaaaard !
C’est moi que je m’y colle !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Il me faut bien l’avouer, le folk n’étant pas ma came, je ne m’étais pas plus intéressé que ça à la carrière de Thanateros, pourtant fondé en 2000 malgré un break de 2010 à 2018.
Donc c’est vrai qu’après avoir écouté le premier album The First Rite (2001), j’ai zappé la suite de la carrière du groupe, et ça aurait surement continué si Echozone ne m’avait pas envoyé la réédition de cet album Insomnia, originellement sorti en septembre 2019 chez Calygram Records.

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9.5/10

C’est une histoire un peu particulière qui s’articule autour de Khaos: en effet, Icare, le groupe helvète a écrit cet opus en 2016 mais n’avait jamais été partagé avec le public.
Voilà cette erreur réparée. A qui devons-nous cette excellente décision ? Au groupe lui-même ou à leur nouveau label Division Records ?
Ca, je ne pourrai le dire: ce qui est sûr, c’est que nous avons entre les mains un album très dense, sombre et violent.
Il est très difficile de trouver un équivalent ou quelque chose qui puisse s’en approcher.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Mais comment font-ils ?
Il y a deux ans, les Troyens d’ Embryonic Cells nous collaient un Horizon des plus crédibles entre les oreilles, avec un black metal bien mélodique – tout en étant bien rapide – et épique !
Aujourd’hui, les voilà de retour avec un nouveau bassiste et sur une formule en trio sans claviers !
On se dit que la musique des Aubois va perdre en relief…