Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8.5/10

“Le sorcier tue, mais n’hérite jamais.” Proverbe nigritien

Vous vous souvenez du phénomène Harry Potter? En tout cas, ma génération, celles des années 90, doit s’en souvenir. Cela avait été un incroyable phénomène de mode, un truc de dingue. Qui touchait les générations d’avant, et certaines d’aujourd’hui. Je dis ça parce que dans le metal, on a tous cet effet de cirque qui consiste à attendre une sortie avec impatience, au point de guetter la moindre annonce, de mettre son compte bancaire en ligne en marque-pages, prêts à dégainer le premier comme Lucky Luke. Dans la vie d’un chroniqueur, c’est pareil. On guette sur les listes les albums ou autres qui nous tombent dessus.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Lorsque j’ai vu dans la boite mail de Soil Chronicles qu’on recevait en mp3 les titres de la réédition vinyle de cet album, je me suis demandé de suite comment ça se faisait qu’on n’avait jamais chroniqué le moindre album d’Angel Dust !
Une relecture rapide de la discographie du groupe a vite permis de comprendre que le groupe de Dortmund avait sorti son dernier album en date Of human bondage alors que le webzine n’existait encore pas.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Si Lucifer’s Hammer est pour moi, et ce depuis l’adolescence, le titre d’un morceau de Warlord que j’ai le plus écouté dans les années 80, … and the cannons of destruction have begun (1984) des californiens restant à mes oreilles une référence dans le heavy / power metal des mid eighties, c’est aussi et surtout le nom d’une nouvelle de science-fiction post-apocalyptique signée Larry Niven et Jerry Pournelle et publiée en 1977 qui a donné son nom à ce quatuor chilien fondé en 2012 !

Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 10/10

C’est donc en 2017 que les citrouilles furent a nouveau réunies pour une triomphale tournée mondiale pendant laquelle le groupe proposa un magnifique show d’environ trois heures – d’ailleurs la date parisienne fut l’une des plus petites audience avec un petit Zénith même pas au max, on es loin des 10000 personne présente a Madrid.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

L’air de rien, ça fait trente ans que Decayed nous envoie régulièrement ses albums d’un bon vieux black metal qu’ils perpétuent avec la même rage que lors de la première invasion du genre dans les années 90.
Et ce n’est pas avec ce quatorzième album que les choses vont changer.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Il aura fallu trois albums pour que Ravager se montre comme l’un des futurs très grands du thrash metal allemand !

Après les prometteurs “Eradicate… Annihilate… Exterminate…” (2017) et “Thrashletics” (2019), le quintet qui n’a toujours pas eu la moindre variation de line up depuis ses débuts en 2014, nous envoie avec la régularité d’une horloge comtoise – ou d’un coucou suisse, au choix – son troisième album d’un thrash metal old school des plus ébou-riff-ants !

Photos et report : Fast Freddy

Il est des soirées dont on se souvient ! Celle du 9 juin 2021 au Rock ‘n’ Eat en fera partie car elle était synonyme de reprise des concerts après cette « bonne » période de merde qui, espérons-le, est maintenant derrière nous !

Edit 24/02/2022 :

(Metalfreak)
Le communiqué et l’affiche sont on ne peut plus parlantes : inutile d’en rajouter !
Nous, on aime !!!

Note du SoilChroniqueur (Gothicmelody) : 6,5/10

Dalriada sort un nouvel album intitulé « Őszelő ».
Il y a beaucoup d’artistes invités sur ce nouvel opus. Comme à leur habitude, les textes sont en hongrois, mais c’est assez facile de trouver une traduction et pour la promo de l’album, un résumé des chansons était présent ce qui permet de comprendre l’univers et le thème de l’album. A part trois chansons qui sont sur le thème de la nature et sur le monde en général, le thème principal porte autour de la guerre et est lié à l’histoire de la Hongrie. Dalriada représente bien son pays. Dans cet album, nous sommes plongés dans le dix-huitième et dix-neuvième siècle avec la guerre d’indépendance du pays, la fin de la Première Guerre mondiale avec le traité du Trianon et les héros du pays.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10

« Qui entre pape au conclave en sort cardinal » Proverbe français

Je ne sais pas exactement pourquoi mais le mot conclave me semble être un mot important, avec une grande puissance. Cela me rappelle un peu le principe de l’égrégore, et surtout tout son pouvoir. Il faut savoir que, si l’égrégore désigne en temps normal le principe d’assemblage des forces d’un groupe d’individu pour se réunir dans un but commun, il est aussi un concept très important dans le chamanisme et l’ésotérisme. Le pouvoir de la pensée commune est une chose qui revient fréquemment dans les croyances et il existe une vraie métaphysique concernant ce pouvoir.