
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Alors là, ceux qui aiment classer les groupes dans des cases parfaitement définies vont se prendre sérieusement la tête avec ce quintet des Alpes Maritimes.
C’est qu’il y a tellement d’influences là-dedans qu’il serait réducteur de les définir comme du Groove / Thrash Metal…

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
C’est old school, c’est rugueux, c’est d’une efficacité remarquable, et c’est on ne peut plus direct.
Pour un premier album, les Franco-Luxembourgeois de Praetor nous collent dix titres sans la moindre concession : un chant clair et rageur, du riff furieux souvent rapide et saccadé, une section rythmique en pleine crise d’épilepsie et des soli incisifs, voilà le programme de ce premier album éponyme.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7/10
Moi qui suis un « vieux », j’ai une remarque à faire : de génération en génération, les musiciens reprennent le flambeau de leurs ainés, avec toujours cette même passion et inspiration, revisitant, recopiant, ou initiant les mêmes ficelles quelques soient les styles en présence, et cela pour notre plus grand plaisir, car c’est souvent habité par une flamme nouvelle !
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Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 6/10
The Last Reign est un groupe US de Deathmélo / Metalcore qui s’est formé en 2015, le groupe a déjà sorti deux albums studio et pas moins de trois EP, ce qui est très correct pour un groupe ayant huit ans d’existence.
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 5/10
“Comparer un homme à Satan, ce n’est pas toujours atténuer l’intérêt qu’il excite.” Georges Meredith
Je pensais avoir découvert beaucoup d’absurdités dans le monde du Metal. Sincèrement, depuis que j’écume cette scène, soit depuis mes treize ans, ce qui fait vingt années pile d’errance, je pensais avoir fait un peu le tour des conneries et autres débilités qui inondent cette scène parfois.
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Note de la SoilChroniqueuse (Mémé Migou et sa pro-thèse) : 7/10
Omnis Malum Et Noceo…
Tout est mauvais et nuisible…
Voilà l’incipit du dernier album quasi éponyme de Okkultist, puisque O.M.E.N. est l’acrostiche de cette sentence. Vous avez deux heures !
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10
Bordel quelle voix !!!
Deathless Legacy est un groupe Italien que je découvre très tard au Metallian Birthday le dimanche 22 mai 2022. Très tard car ils défendaient Rituals of Black Magic sorti en 2018 et que trois albums sont sortis avant celui-ci. Le groupe se forme du côté de Pise en 2006 et le premier opus Rise from the Grave paraît en 2013. Scarlet Records signe Mater Larvarum paru fin décembre dernier.
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(Metalfreak)
Chaque semaine, une sélection des vidéos du moment vous est proposée : avec du lourd, de l’émergent, du surprenant, du connu, du pas connu… mais tous méritent le coup d’œil / oreille !
Alors soyez curieux, il se cache souvent des pépites insoupçonnées dans le lot.
Avec Velkhanos, Dolloster, Evil Invaders (live), Helikon, Wild Mighty Freaks, Lu Silver, Holy Moses, Wasteland Clan, Mythodea (feat. Madeleine Liljestam et Steve Di Giorgio), Craving, Carry The Torch, Black Lava (live), Sypsis, Puerignis, Greengoat, Black Moon Lilith, Stömb (feat. Jørgen Munkeby), Idolatrous, Bad Bones et 22 for Silicon Alone.

Note du SoilChroniqueur (Seblack) : 9,5/10
Semblable et différent ou différent et semblable ? La nuance est mince, voire inexistante et pourtant… A la fin de l’écoute de ce nouvel album de Brouillard, chacun mettra bien ce qu’il voudra derrière ce point d’interrogation. Mais oui cet album est à la fois différent et semblable…. ou semblable et différent. Question à la con, hein ?. Oui mais c’est important les questions, surtout les questions à la con.
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9,25/10
“La pureté des intentions d’un auteur est à rechercher dans la noirceur de ses brouillons.” Stanislaw Jerzy Lec
Sortant tout juste de l’interview faite pour le split de Cercle Noir, je me suis beaucoup questionné sur l’image qui est rendue quand on parle de noirceur dans l’œuvre musicale. Le profond côté « on s’en bat les couilles » de l’interview m’a quand même rappelé, paradoxalement, qu’on parlait d’un style musical censé être très noir, très malsain.
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