Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.75/10

« Je suis persuadé que les personnes les plus belles, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur, sont celles qui n’ont pas la moindre idée de leur charme. Ses yeux cherchèrent les miens avec intensité. » Jennifer Armentrout

Vous l’ignorez sûrement, mais j’ai une passion cachée pour les pierres et les minéraux. Depuis tout petit, je collectionne régulièrement encore les minéraux, glanés au gré de mes visites dans les magasins spécialisés ou les musées.

Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 6,8/10

World Eater… mais ça ne serait pas un titre mythique d’un célèbre groupe anglais ?
Bien sur que oui, mais nous allons plutôt parler ici d’un obscur combo de Death Metal, qui nous vient du New Jersey.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10

Et voici le dernier album en date du groupe Italien Delyria en la personne de III Oracles and Tentacles. Cet opus, troisième du nom, fait suite à « Sulphurous Extinction » sorti en 2016.

Note du SoilChroniqueur (Fast Freddy) : 5,5/10

« Bonjour, on vient de Porto et on fait du Thrash’n’Roll », pourrait être la manière de se présenter pour Jarda, jeune combo portugais qui a sorti au printemps un tout premier EP de cinq titres !

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 7.5/10

« Lucide: Lucifer de l’épée, quel suicide? » Michel Leiris

Il fut une époque où le label Heavy Psych Sounds faisait des splits régulièrement. Ces fameux splits me permettaient à l’époque, et j’étais loin de m’en rendre compte à ce moment précis, de découvrir le genre doom metal et tous les styles associés autour.

Note du SoilChroniqueur (Ymir) : 7/10

Second album pour ce groupe étrange qui se fait appeler Primal Nature, ou plus simplement PRMNTR. Un nom bien mystique pour une musique qui l’est tout autant !

Photos + report : Mitch

NOTE : ceci est le retour d’impressions d’un festivalier, spectateur assidu (septième édition), et non pas d’un chroniqueur accrédité, en mode reporter !

Septième Hellfest, donc, après les éditions 2014, 2016, 2017, 2018, 2019 et le deuxième week-end de 2022 !
Comme traditionnellement, on fait la route depuis Lyon un jour avant, on prend possession de la piaule chez l’habitant en milieu d’après-midi, puis on vient récupérer les bracelets, faire des emplettes à l’Extreme Market, et se mettre dans l’ambiance, vingt-quatre heures avant le début des « vraies » hostilités ; compatir à l’exode des campeurs, du parking jusqu’au camping, qui équipés de remorques ingénieuses, qui à l’arrache et dépassés par le volume de leurs bagages, qui, encore, hyper organisés, avec brioches Pitch et petites boîtes de maïs naïves et contrastant avec leur look de metalleux !