Note de la SoilChroniqueuse (Freya) : 9/10
Aaah, My Dying Bride !
C’est une grande histoire d’amour et de désespoir, bien entendu, entre nous. Une nostalgie mi-figue mi-raisin tout de même. Voici que le glas de la réalité sonne et me fais t’entraîner dans les souvenirs douloureux autant que voluptueux, je te rassure.
L’album de la découverte de cet univers unique, souvent imité, rarement égalé et certainement une des références du groupe, fut pour moi « The Angel and The Dark River » en 1995. Certes le gothic ne m’était pas inconnu, mais résonnait plutôt comme une ombre nébuleuse à côté de styles comme le thrash ou le death que je chérissais déjà beaucoup trop à l’époque.
Note du SoilChroniqueur (Yaiba) : 9,5/10
Lorsque j’ai découvert que The Omnific sortait un nouvel album, j’ai éprouvé une grande excitation. Ce groupe instrumental de metal progressif composé de deux bassistes et d’une batterie est loin d’être ordinaire.
Leur musique est caractérisée par une virtuosité exceptionnelle, avec les deux bassistes qui se font écho de manière harmonieuse, tandis que la batterie ajoute un toucher de percussion pour mettre en valeur les deux instruments. C’est comme si on avait créé un univers sonore où les sons s’entremêlaient pour former une toile complexe et riche.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
On ne peut qu’être admiratifs devant une telle opiniâtreté de la part d’un groupe qui aura subi de nombreuses épreuves au fil d’une carrière qui a débuté en 1975, soit presque cinquante années.
Et surtout, si on regarde bien, sur les dix-sept albums en comptant celui-ci (dont trois sous le nom de Riot V), ils peuvent se targuer non seulement de ne jamais avoir sorti de mauvais albums, mais en plus d’en avoir quelques uns qui ne sont, ni plus ni moins, que des chefs d’oeuvre, “Fire down under” (1981) “Thundersteel” (1988), “The privilege of power” (1990) ou plus récemment “Immortal soul” (2011) et “Unleash the fire” (2014).
Note du SoilChroniqueur (Mitch) : 8.5/10
Last Addiction est un groupe des « terres froides » (entre Lyon et le Nord-Isère) qui monte, fort, régulièrement et efficacement. En toute objectivité, il va être difficile de ne pas être très positif à leur sujet, car ils font tout bien !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Le mail de Stormspell Records, lorsqu’il décrit la musique de LeadBreaker, avait tout pour m’intéresser : “Diesel-fueled, high-octane, pedal to the metal, fist-pumping, neck-breaking heavy metal headbanging mania for fans of early Raven, Anvil, Warfare, Accept, Motörhead… and everything 80’s”.
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Note de la SoilChroniqueuse (HellFé) : 9/10
« Kotomaa » premier titre de l’album, nous met directement en condition. En à peine 42 minutes et 12 titres, je peux te dire que ça déménage. « Rankarumpu », dernier album de Korpiklaani, est un concentré de bonne humeur. Riche en sons, guitares, accordéon, violon et dit comme ça, on peut se poser la question de la nature de cet album : Metal, pas Metal ?
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Note du SoilChroniqueur (Mitch) : 7/10
Bongripper, le genre de groupe qu’on adore ou qu’on déteste, et pour les mêmes raisons !
Quasi dépositaire d’un style à lui tout seul, le doom instrumental lent et long, le quatuor de Chicago nous revient ici avec « Empty », successeur du culte « Terminal » (2018).
Photos + report : Metalfreak
Tout était réuni pour que la soirée soit parfaite. Le lieu, toujours magique, avec le Brin de Zinc. Les groupes : Bastet en première partie d’Iron Kingdom, deux groupes desquels j’ai eu le plaisir de chroniquer les dernières offrandes, respectivement « Bastet » et « On the hunt« . Et le label : Steel Shark Records, tenu de main de maître par un passionné de tout ce qui est heavy metal old school, Pascal « Raskal » Clair.
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Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 6,5/10
Article madeleine de Proust pour votre serviteur avec ce groupe méconnu de Neo Metal, formé il y a un peu moins de 30 ans (putain 30 ans !?!?) en Californie. Alors méconnu pour la globalité de sa carrière, 6 albums, dont 3 très bons au début des années 2000, le grand public rock/metal retiendra leur excellente reprise de « Smooth Criminal » en 2000, issu du moins excellent « ANThology », album que j’ai poncé, en 2001 pendant mes études, avec la chance de voir trois fois le groupe sur scène en Angleterre.
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Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7/10
Salut les gens !
Aujourd’hui, je voulais vous parler du groupe américain Never Elected dont les musiciens viennent de rééditer leur album nommé « Turbulent ».
Originaires de Washington DC, ils se disent inspirés par le grunge des années 80 et 90 avec comme trame, je cite : « L’on y découvre un enfant, un homme en colère qui crie, puis aussi ce qui ressemble à un soi généré par l’IA qui regarde les deux, dépourvu de tout sentiment ou émotion ».