Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7/10

Salut les gens ! Un groupe difficile à juger objectivement. Effectivement, à l’écoute du premier album du groupe Suédois Ataraxia, paru en mars et qui a pour nom « Torments Of Reality », je me suis retrouvé face à un dilemme.
Pourtant, bien qu’ils aient l’air très jeunes, cela ne les empêche pas de jouer dans la gamme d’un thrash bien exécuté, aux rythmiques porteuses, à la musicalité accrocheuse (“Codex failure”), nantie de solos qui vous envolent, tout en brisures de tempos savamment agencés (“1984”) avec des titres comme « Divorced By Itself » brillamment menés.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7/10

Salut les gens !
Aujourd’hui à l’honneur les Nantais de Nervous Decay qui nous proposent un mini EP tiré seulement à 150 exemplaires qui a pour nom « Twisted reverence », et sur lequel on retrouve trois reprises de groupes qui ont forgé le death.
J’imagine que le groupe voulait rendre un hommage à ses héros et le pari est réussi…. Chapeau bas à ces musiciens.

Photos + report : Metalfreak

Lorsque Thomas, éminent patron des lieux, nous place un petit « coup de cœur » sur son évènement, on peut lui faire confiance. Avec les Québécois de Lumière au Brin de Zinc, on était judicieusement en droit de s’attendre à passer une put**n de bonne soirée.

Note de la SoilChroniqueuse (Freya) : 5/10

Tu as déjà expérimenté une course en forêt, une nuit de pluie, volontairement ou pas ?
En écoutant cet album, tu auras au moins une idée des sons multiples que ça peut produire.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

On ne va pas se refaire l’historique de The Troops Of Doom, il a été suffisamment bien décrit lors de la chronique d’ “Antichrist reborn”, l’album précédent, sorti en 2022.
Depuis ? Une “compilation” comprenant les deux EP “The rise of heresy” (2020) et “The absence of light” (2021) avec notamment trois reprises de titres de Sepultura (“Bestial devastation”, “Troops of doom” et “Antichrist”) datant de l’époque où le guitariste Jairo “Tormentor” Guedz y collait ses riffs bestiaux.

Note de la SoilChroniqueuse (Viv Hante) : 7/10 

« Weibermacht » (le pouvoir féminin), tout un programme pour cet album aux huit titres très suggestifs, qui nous transportent par des propositions allant de la musique baroque, au black metal, à l’opéra, au jazz et au classique.
Chaque titre raconte une histoire musicale totalement différente.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Salut les copains, surtout ceux qui aiment parler de cul, de Satan, de luxure, d’alcool et de blasphèmes, car là, y a matière à raconter.
Satanic Priest, avec un nom pareil, il ne fallait pas s’attendre à de la grande littérature et encore moins à quelques chose de musicalement trop sophistiqué : non, ce quatuor salvadorien officie dans un black / thrash metal des plus crus, directement influencé par ce que les années 80 nous ont apporté de plus crade.

Note du SoilChroniqueur (Fast Freddy) : 7,5/10

Plus ça va, moins ça va ! Alors qu’il pourrait partir en cacahuète, ce monde part en couilles et il ne semble pas qu’il y ait un seul endroit de la planète préservé pour des raisons et des prétextes divers et variés.
Heureusement, pour nous sortir de ce marasme et de cette morosité ambiante, on peut toujours trouver refuge dans le thrash metal, pour nous permettre de nous évader, de nous défouler mais également pour refaire le plein d’énergie afin d’affronter la connerie humaine dont les limites ne paraissent jamais atteintes.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Parler du nouveau et troisième full length des Américains de Witch Vomit, quand on s’est déjà occupé de deux sorties précédentes, risque fort de devoir faire des copier-coller de ce qui a déjà été dit.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Ceux-là, on ne les a pas vus arriver !
Quatuor Lyonnais (des)articulé autour du batteur Ugo “La Mouliche” Vittu (Civilian Thrower, Hørdür, La Hess, Michel Anoia, Lovgun, RAN), du guitariste Benjamin “Antipathic” Pic (La Hess, ex-Overmars, AYA†OLLAH!, Veuve S.S.), de l’hurleur Cole Porteur et du bassiste Le Commissaire (La Hess, Lovgun), il arrive avec son premier album “Coaltar” avec la ferme intention de foutre un maximum de bordel !