Anthares – After the war
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Pour sa deuxième vie, on ne peut pas dire que les Bretons d’Anthares ne prennent pas les choses au sérieux !
Une première partie de carrière entre 1996 et 2001, pendant laquelle ont été enregistrés une demo éponyme en 1997 et un premier album “Pro Memoria” deux ans après avant de splitter, puis une reformation en 2013 avec, à la clé, un EP (“2 my last breath”) en 2014, un deuxième album “Addicted to chaos” (2019) et enfin cet “After the war” qui s’annonce d’ores et déjà comme le cassage de nuque de cette fin d’hiver.
Anthropovore – Parthénogenèse
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10
Il y a plusieurs façons d’appréhender le black metal quand on est français.
Il y a peu, j’ai fait la chronique du groupe Abduction et de leur album « Toutes Blessent, la Dernière Tue ». Leur chant en français, leur démarche musicale, contribuent à dispenser une musique « éclairée », poétique, romantique.
Et me voilà face au nouveau méfait du groupe français Anthropovore, vous savez, ce combo composé de deux énergumènes, Stéphane Prados (guitares) et Simon Perrin (guitares, basse et chant) qui chantent, eux aussi, dans la langue de Molière, mais qui jouent, eux, d’un black plutôt old school, légèrement teinté de death, violent, mauvais comme une tique qui éructe sa haine de l’humanité.
Eitrin – Eitrin
Note du SoilChroniqueur (Fast Freddy) : 8,5/10
Eitrin est le fruit de l’association de plusieurs âmes qui errent dans d’illustres combos qui nous secouent la pulpe depuis moult années, voire décennies pour certains, Blut Aus Nord, Mutterlein et Throane, rien que ça ! Ils sortent un album éponyme, leur premier, qui vient célébrer les vingt ans de Debemur Morti Productions, label de qualité qui ne cesse de dénicher des pépites underground !
Rollywoodland – Dark fate for judgement day
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Ici Chris Metalfreak, si vous lisez cette chronique, vous êtes la résistance !
Et si vous voulez que je vous dise ce que j’en pense ? No problemo !
Griffon – De Republica
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.75/10
“Le comble du poète c’est d’être inspiré sans pour autant avoir de muse !” Fabien Blanchot
Attention ! L’alarme de la désobligeance et de la désobéissance va retentir ! On nous reproche souvent à nous, chroniqueurs, de manquer parfois d’objectivité dans nos chroniques et dans nos choix de chroniques. Récemment, entaché d’un léger scandale (à l’échelle infime d’un réseau social bien connu) qui a vu un chroniqueur d’un certain webzine copier tout simplement les lignes d’un précédent report de concert, les webzines sont pointés du doigt pour également le manque d’objectivité.
Dirty Fonzy – Full Speed Ahead
Note du SoilChroniqueur (Fast Freddy) : 8,5/10
Originaires du Tarn, dont ils sont fiers pour l’authenticité et le terroir, les Dirty Fonzy approchent les deux décennies d’existence, rien que ça ! Bientôt vingt ans à bourlinguer à travers un punk rock brut et enragé, à arpenter les scènes, à se relancer au gré des changements de line-up, à faire suer des hordes de keupons dans des pogos survoltés dans les pits et à ravir nos esgourdes à travers nombres de galettes qui viennent jalonner un parcours bien rempli !
Inexistence – Metamorphosis
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
D’habitude, je ne poste que des chroniques ayant trait au metal, hard rock et rock. Cependant, parfois, je fais exception, surtout quand il s’agit du groupe Inexistence qui donne dans le Darkwave / Dark Synth. Aux manettes, un seul homme en la personne de Psycho, guitariste et compositeur au sein du groupe de Black Metal Suicidal Madness.
Sycomore – Antisweet
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10
Il y a des styles qui ne font pas de bruit (sauf quand on les écoute, haha !), des genres qui continuent d’exister par le biais de passionnés comme pour le sludge/stoner. Certains groupes les font exister en mode pur et dur et d’autres, tel que les Français de Sycomore, formation originaire d’Amiens, s’amusent à en briser les codes pour en faire autre chose.
Necrowretch – Swords of Dajjal
Note de la SoilChroniqueuse (Musta) : 8,5/10
Il était temps que je sorte de ma zone de confort, moi qui fais surtout du live report, pour me mettre enfin à la chronique d’albums. Et quel plaisir de démarrer l’aventure avec l’excellent groupe de Black / Death metal français Necrowretch dont je suis une grande fan.
L’annonce de leur nouvel album “Swords Of Dajjal” m’a immédiatement poussée à le chroniquer.
Heads Up – The way of the cure
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Pfiouuuu, putain, ça décoiffe !
Il y a trente ans de ça, on pouvait se secouer la crinière – ou la crête – sur des musiques overspeedées, d’une simplicité qui n’avaient d’égal que leur simplicité et qui étaient bien souvent les bandes originales de films pour (post) adolescents.
Ah ça, à l’époque, du NOFX, Sum 41, Green Day, Blink-182, The Offspring et tous ces descendants directs des Ramones ou Bad Religion version moderne et passés en 45 tours, on en a bouffé par paquets de douze.