Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10

Sorti fin avril, voici « Magdala », premier fruit musical du groupe Mürrmürr, originaire des Hauts-de-France.
Formé en 2021, dans l’ambiance morose des confinements successifs, ce groupe délivre un Post-Black Metal teinté de froideur et de mélancolie.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Allez, une petite chronique sur le pouce, vu que Mass Hysteria a sorti, le 26 mai, un EP sept titres, avant de balancer la suite en automne. Je dis EP et pas album, car on y trouve sept titres.

Note du SoilChroniqueur (Celtikwar) : 6,5/10

Un peu de variété ne peut pas faire de mal.

Embers signifie ce qui reste après le feu. Une flamme très fine, très fragile, qui peut soit s’éteindre, soit faire renaitre un brasier.

Note du SoilChroniqueur (Celtikwar) : 7/10

Un peu de Rock Progressif vous tente?

HamaSaari est une formation, originaire du Mans, née des cendres du groupe Shuffle (quatre des membres en faisaient partie), et qui veut nous proposer un voyage dans de nombreux univers. Le groupe porte le nom d’une île du Nord de l’Europe.

Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 9/10

Il est temps de ressortir ton drapeau Anarchy in the UK et de songer à te faire pousser une belle crête, car les punks Français de Broken Bomb viennent de nous proposer leur premier album « Full Mental Racket ».

Note de la Soilchroniqueuse (Migou) : 8/10

Il est d’usage, ô combien normal, de ne jamais comparer ses enfants entre eux. Chacun a sa propre personnalité, ses atouts comme ses défauts, tout ce qui fait que chaque personne est unique.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10

Ben bordel, pour avoiner, ça avoine plutôt sévère !
Originaire de PACA, Catacomb fait figure de vétéran sur la scène Death Metal française. Formé en 1990, ils sortiront trois démos, deux compilations et deux EPs, dont le dernier Back to Unknown Kadath, qui paraît en 2022.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Et voici Inox du groupe français Novembre.
Attention ! Ceci n’est pas du Metal!

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

S’écouter un album de Locomuerte, c’est l’assurance de voyager entre Paris (parce que, comme leur nom ne l’indique pas, c’est la ville d’origine du groupe) et la frontière entre Tijuana et San Diego, tant ce quatuor de gringos locos nous fait mosher à la façon des Californiens de Suicidal Tendencies, mais aussi des Anthrax des années 80, des vieux Agnostic Front et toutes cette tripotée de groupes thrash qui flirtent sévèrement avec le Hardcore.