Forhist – Forhist
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
De ce que j’ai pu en lire, Forhist est l’hommage de Vindsval au black metal norvégien des années 90. Partant de là, il est aisé d’en déduire que les expérimentations de Blut Aus Nord devraient être laissées au vestiaire, de même que les aspects symphoniques des « Memoria Vetusta » par exemple.
Neptunian Maximalism – Solar Drone Ceremony
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.75/10
« Parfois, la folie procure ce petit quelque chose de doux qui donne tout son sens à notre existence. » Nicolas Carteron
De doux, de doux… Il faut le dire vite! La Folie a quelque chose de piquant surtout. Mais de totalement fascinant et c’est en cela que je me suis lancé dans ce deuxième chapitre d’un groupe que je considère encore aujourd’hui comme l’un des plus barrés que je connaisse. J’avais fait l’expérience du quatrième album en 2020, durant l’été, qui m’avait fait l’effet d’une bombe. J’avais été dans un manque cruel de mansuétude en accordant un 8/10 au dit album tant la complexité musicale m’était, au moment de la chronique, encore difficile à aborder. Il faut dire que déjà, de base, tout ce qui est drone, que ce soit metal ou ambient, voire noise, n’est pas une chose aisée à rencontrer quand on a les tympans sensibles, alors imaginez l’ultra complexité que produirait un mélange de ce drone machin-truc avec des moments psychédéliques, des moments jazz et de la (dark?) ambient.
No Terror In The Bang – Eclosion
Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9/10
No Terror In The Bang, j’ai mis beaucoup de temps à me pencher sur l’album de ce jeune Combo Rouennais. Jeune, enfin, par la création : en revanche, les membres du groupes n’en sont pas à leur coup d’essai car au-delà d’une formation musicale très poussée passant du hip hop, au jazz, au classique sans oublier les musiques de film, il y avait fort à parier que le groupe nous balancerait un album riche et extrêmement varié appuyé par une production de très haute volée.
Mur – Truth
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
En 2019, les Français de Mur m’avaient séduit avec leur premier album, « Brutalism« , mélange radical de black metal rageur et de brutal hardcore. C’était efficace, basique mais très prometteur.
HappyFist – Live Fire
Note du SoilChroniqueur (Antirouille): 9/10
Originaire de Marseille, Happy Fist sort tout d’abord deux tires en 2017 puis un EP, My Choices, My Life, en 2018. Cette mi-avril, nos phocéens sont de retour pour nous cracher leur venin et tirer à balles réelles sur la connerie humaine tout au long des dix titres de Live Fire et crois moi, ça va casser des fions !
Subterraen – Rotten Human Kingdom
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.5/10
« Comment ai-je pu passer à côté ? » (Le chroniqueur plein de culpabilités quand il découvre sa liste béante de retards).
Jours Pâles – Eclosion
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.5/10
« Tout comme il y a deux versions à chaque histoire, il y a deux versions à chaque personne. Une version que nous révélons au monde et l’autre que nous gardons cachée… Une dualité gouvernée par l’équilibre de la lumière et de l’obscurité. Chacun de nous a la capacité d’accomplir le bien et le mal mais ceux qui sont capables de brouiller la ligne de division morale détiennent le vrai pouvoir. » (Emily Thorne)
Breakhead – Allegiance to Materiality
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9,5/10
Ben bordel… C’est quoi cet OVNI ?
Ça y est j’ai spoilé.
Nothing But Real – Nothing But Real
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 6/10
Fusionner l’alternatif ou alterner la fusion. (Ndlr Posteur : Elémentaire mon cher Celtikson!)
Nothing But Real est un quatuor parisien de rock alternatif . Formé en 2018, le groupe sort rapidement deux singles (« Don’t you know » et « Noisy Mind ») qui donnent rapidement à la formation l’occasion de passer le cap de l’album. C’est avec le label M&O music que le groupe franchit cette étape pour ce premier LP sept titre : « Nothing But Real« .
Avaland – Theater of Sorcery
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8/10
“Opéras. Ces mélodrames de grande classe pour tempéraments tragiques.” Roger Lemelin
J’ai toujours eu un peu de mal avec le style power metal. Non pas que je le trouve plus mauvais que les autres, loin de là! Mais je lui trouve fréquemment un vrai souci de rafraichissement, comme si ce style était resté figé sur une époque trop désuète. Je m’attendais donc le moment venu à découvrir enfin le groupe qui me permettrait de revoir mon jugement hâtivement sévère. Et puis les années passèrent, sans qu’aucun déclic n’intervienne. Je m’étais fait une sorte de raison, en me disant que je ne trouverais probablement jamais mon compte, que je suis fait pour les styles de metal très (trop) extrêmes, enfin vous voyez.