Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 10/10

Formé du côté de Valence en 2014, Scarlean sort un premier album, Ghost, en 2016 et auto produit. Mystyk prod signe ensuite le groupe et ce premier album se voit réédité en mai 2019. Cette fin novembre et toujours chez Mystyk prod, sort leur deuxième album, Soulmates.

Si Ghost était un album qui paraissait déjà abouti, il fait du coup pale figure à côté de Soulmates. Je n’ai pas dit que le premier est fade, je dis juste que ce dernier est bien au-delà, à des niveaux bien supérieurs.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10

J’en reprendrais bien un peu. Une fois.

Formation bruxelloise de Metal Alternatif (mélange de Nu Metal avec du Thrash et une grosse voix sur des sons parfois Indus… Bref du Metal Une fois), Burn The Flags vient de sortir son premier album sur le label M&O Music et on espère que vous allez vous arrêter quelques instants pour découvrir ce quatuor prometteur.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10

Quand j’ai jeté un œil au line-up d’Asphodèle, j’ai sauté au plafond. Pensez donc : Wilheim (Au Champ des Morts), Stéphane Bayle (ex-Anorexia Nervosa, Au Champ des Morts), Audrey Sylvain (Amesoeurs, ex-Peste Noire), Spellbound (Aorlhac) et Christian Larsson (lui, je ne le connais pas), ça sentait bon le Black Métal français de haute volée avec ce mélange de musiciens aguerris et de jeunes pousses prometteuses, que du bon en perspective !

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8/10

« Love the machine, hate the factory. » Devise Steampunk

Note du SoilChroniqueur (STRÖM) : 5/10

Unburnt est un projet qui en intéressera plus d’un probablement puisque chacun des membres officie dans d’autres groupes (Odium, Samskaras, We Are Human) et se retrouve ici pour apporter une vision différente de la musique.

Le dilemne qu’a provoqué en moi cet E.P est que, de toute évidence, je ne comprends pas vraiment où ils veulent en venir. La musique est technique et bien furieuse, les compos sont certes bien plus originales que la grosse majorité de ce que vous entendrez en Blackened Death habituellement…

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Aleister revient avec son thrash metal que les anciens fans reconnaîtront de suite, mais avec une foultitude de petites évolutions qui permettent au trio de prendre un nouveau départ en plaçant la barre très haut, ce qui risque de lui permettre de retrouver un statut qu’il mérite sur la scène métal hexagonale !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

On ne va pas se mentir, jusqu’en janvier 2017, mes connaissances concernant les personnages provenant de Nouvelle Calédonie se limitaient aux footballeurs Antoine Kombouaré ou Christian Karembeu, la journaliste Marie-France Cubadda, l’ancien président de l’Union calédonienne Jean-Marie Tjibaou et un ancien ami avec qui j’avais fait mon service national et qui m’a initié aux alcools de chez lui, à la grande douleur de mon œsophage !

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10

D’un côté les General Cluster, de l’autre les Charlie’s Frontier Fun Town et quelques points communs qui les unissent. D’abord Grenoble, ville d’origine (à quelques kilomètres près, et la mienne aussi, (hélas ?)) ; le genre musical ensuite, le stoner et le bassiste Sly, qui pourrait reprendre à son compte une réplique du célèbre film pour une poignée de dollars: « Les General Cluster d’un côté, les Charlie’s Frontier Fun Town de l’autre et moi au beau milieu de tout ça… » oui, bon… On s’éloigne.

Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 9,5/10

Depuis ses débuts, le nom d’Hypno5e est entouré de mystère. Il possède cette part d’obscurité entourée de brume que seuls les plus fervents admirateurs peuvent espérer percer. Celle-ci ne vient pas du groupe en lui-même, , car les artifices intéressent peu le quartette. Ils ne portent pas de masques, n’utilisent pas de pseudo, se présentent à la scène comme à la ville. Cette aura énigmatique, chez eux, vient du plus important : la musique.

Des deux, l’une et l’autre était déjà une œuvre nécessitant de nombreuses écoutes et analyses pour être comprise. Acid Mist Tomorrow, s’il se montrait quelque-part plus accessible, car plus abouti, ne se révélait qu’aux plus persévérants, et ce avec une certaine part laissée à l’interprétation.

Note du SoilChroniqueur (Le Révérend) : 9/10

Voici l’histoire de l’Admiral Masuka, survivant de l’apocalypse nucléaire, errant dans l’espace, à la recherche de dieux pour comprendre sa survie. Voyage introspectif, où l’esprit mute pour finir par se jeter dans un trou noir… Voilà, en un bref résumé, ce que nous conte Verdun dans l’EP “The Cosmic Escape Of Admiral Masuka” (2011), et l’album “The Eternal Drift’s Canticles” (2016) dans un style très marqué sludge doom où chaque note se fait rappeuse, aux nappes brumeuses et noires.